A l'heure de la mondialisation et de l'évangélisation de nombreux services issus de l'économie collaborative, comme le covoiturage et la location de maison entre particuliers, la finance se devait aussi d'avoir son lot d'innovations dans un secteur qui en manque cruellement depuis déjà plusieurs décennies.
Le magazine Karos :
l'actualité du covoiturage et de l'application
Des jeunes sociétés sont alors nées estampillées « Fintech », mais quelle est la signification de « Fintech » ? C'est la convergence des termes « Finance » et « Technologie ». Grâce à l'utilisation des dernières technologies d'ingénierie logicielle et leur structure agile, des jeunes pousses arrivent à proposer un service innovant et disruptif qui comble souvent les premiers clients. Ces services bousculent l'ordre établi puisque ils poussent les banques dans leur retranchement et explorent des nouvelles applications hors des sentiers battus. De là à dire que le secteur bancaire pourrait se faire bousculer il n'y a qu'un pas, et il n'est pas loin d'être franchi ! ;)Les domaines dans lesquels les nouvelles sociétés sont susceptible d'évoluer sont multiples: crédit aux particuliers, gestion des finances personnelles, monnaies virtuelles, paiement électronique, ou encore plateformes de crowdfunding.Lumière aujourd'hui sur un acteur à mi-chemin entre la Fintech et l'économie collaborative avec Prêt d'Union, la première plateforme de crédit personnel entre particuliers en France, lancée en 2011 et premier acteur du genre à émerger en France.
Comment fonctionne Prêt d'Union ?
Prêt d'Union a dû passer par la case légale pour pouvoir lancer son activité commerciale. En effet pour exercer sur le marché du crédit il aura fallu recevoir la validation l'ACPR (autorité de contrôle prudentiel et de résolution) gage de solidité du modèle de la plateforme.Prêt d'Union permet d'un côté à des investisseurs de pouvoir se positionner sur un produit d'épargne innovant, avec des rendements élevés jusque-là réservés aux établissements financiers. De l'autre côté les emprunteurs peuvent bénéficier d'un prêt avec des mensualités dont les taux sont parmi les plus compétitifs du marché. Les projets financés les plus communs sont la rénovation de l'habitat, le crédit automobile, ou encore les projets de trésorerie.
Les piliers de différenciation de Prêt d'Union
La satisfaction des clients, la transparence et l'optimisation de l'expérience utilisateur sont au cœur du modèle de Prêt d'Union. En effet les statistiques d'encours de crédit sont transmises en temps réel sur le site internet de la plateforme, les avis clients accessibles également. Avec plus de 3750 avis déposés Prêt d'Union obtient la note de 9.4/10 sur la plateforme d'avis indépendante Trustpilot.L'optimisation de l'expérience utilisateur est également un élément essentiel du modèle, puisque il est possible de se connecter à la plateforme via son téléphone mobile, son ordinateur personnel ou via une tablette. Réaliser son projet de financement et recevoir une proposition adaptée à son budget depuis son salon est désormais accessible à tous.Pour en savoir plus et découvrir la plateforme rendez-vous sur www.pret-dunion.fr
A l'heure de la mondialisation et de l'évangélisation de nombreux services issus de l'économie collaborative, comme le covoiturage et la location de maison entre particuliers, la finance se devait aussi d'avoir son lot d'innovations dans un secteur qui en manque cruellement depuis déjà plusieurs décennies.
M. Thierry Mandon, Secrétaire d'État chargé de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, décerne à Karos un des cinq Grands Prix de l'édition 2015 du Concours national d'aide à la création d'entreprises de technologies innovantes (i-LAB).
Reconnue pour son innovation technologique de pointe au service du développement durable, Karos est lauréat du 17è Concours national d'aide à la création d'entreprises innovantes (i-LAB) avec mention « Grand Prix ». Cette mention distingue chaque année les cinq projets les plus prometteurs pour l'économie française capables de relever un des grands défis sociétaux définis par l'Agenda stratégique « France Europe 2020 ».Thierry Mandon a déclaré : « Pour cette édition 2015, 54 lauréats nationaux "création-développement" sont récompensés, et 5 Grands Prix décernés pour saluer les projets les plus prometteurs pour relever les grands défis socio-économiques de notre temps. Car l'innovation est un enjeu pour la croissance et pour l'emploi, mais également pour apporter des réponses nouvelles aux défis de notre société dans le domaine du numérique, de la santé, du développement durable, et de tant d'autres ».Olivier Binet et Tristan Croiset, co-fondateurs de Karos, sont très honorés par cette reconnaissance exceptionnelle, qui s'accompagne d'un soutien financier très significatif : « Ce Grand Prix i-LAB va nous permettre d'accélérer fortement le développement technologique et scientifique de notre service innovant de covoiturage quotidien, en renforçant notre équipe technique et nos efforts de R&D, afin de développer les nombreuses fonctionnalités additionnelles réclamées par nos utilisateurs et nos clients. »Ils rendent hommage à tous les membres de leur équipe, qui travaillent tous les jours avec passion pour « rendre enfin possible le covoiturage sur les trajets quotidiens, réduire le nombre de véhicules en circulation et la congestion associée, améliorer la qualité de l'air et ralentir significativement le processus en cours de réchauffement climatique ».
- Consulter le dossier de presse du Concours
- Consulter le livret du Palmarès 2015
- CP Karos - Grand Prix i-Lab - 1 juillet 2015.pdf
Crédit photo: MENESR/XR Pictures
M. Thierry Mandon, Secrétaire d'État chargé de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, décerne à Karos un des cinq Grands Prix de l'édition 2015 du Concours national d'aide à la création d'entreprises de technologies innovantes (i-LAB).
Tous les matins, les membres de notre équipe viennent au bureau avec la même ambition : réduire le nombre de véhicules en circulation pour éradiquer les embouteillages et améliorer significativement la qualité de l'air que nous respirons. C'est la mission de Karos.
Il était donc tout naturel que nous organisions, à l'occasion de la Semaine Européenne du Développement Durableet en partenariat avec le ministère de l'Ecologie et du Développement Durable, l'événement « Le covoiturage quotidien, moteur de la transition énergétique » pour présenter aux territoires et aux entreprises une solution qui peut radicalement limiter la pollution et les émissions de gaz à effet de serre.
NO2, PM25 et gaz à effet de serre
En octobre 2013 l'OMS a classé la pollution de l'air extérieur comme cancérigène certain pour l'homme. La voiture n'est bien entendu pas l'unique responsable, mais elle contribue significativement à l'émission de deux polluants majeurs : le dioxyde d'azote (NO 2) et les microparticules de moins de 2,5 micromètres (PM25).Il est estimé que la voiture est responsable de 70% des émissions de NO2. Les données fournies par Airparif montrent d'ailleurs une corrélation très nette entre la concentration de NO2 dans l'air et les heures de pointe de circulation automobile. Alors que le seuil des normes de l'Organisation Mondiale de la Santé s'élève à 40 µg/m3 de NO2 dans l'air, nous sommes en général bien au-dessus en région parisienne. Les données d'Airparif nous ont en effet permis de recenser, 126 épisodes de très forte concentration (moyenne horaire supérieure à 200 µg/m3) depuis le 1er janvier 2014. A ces niveaux de concentration, le dioxyde d'azote entraîne immédiatement une inflammation des voies respiratoires. Si les pots catalytiques ont permis de réduire quasiment à zéro les émissions de NO2 des véhicules à essence, le problème reste entier pour les véhicules diesel, qui représentent aujourd'hui 61% du parc automobile français.Les particules fines de moins de 2,5 micromètres (PM25) entrainent des maladies cardiovasculaires et respiratoires et des cancers du poumon. Selon une étude de la Commission Européenne, l'exposition à ces microparticules réduit l'espérance de vie de 8,2 mois et est à l'origine de 42 000 morts prématurées chaque année en France. En Île-de-France, on estime que l'automobile est responsable à hauteur de 30% des émissions de PM25. Elles proviennent directement du phénomène de combustion en sortie du pot d'échappement mais aussi beaucoup de l'usure des pneus, des freins et des routes. L'OMS a défini un objectif de concentration de l'air en PM25 de 10 µg/m3 d'air. L'air francilien est quasi-systématiquement au-dessus de cette limite et nous avons enregistré 9 pics au-dessus de 80 µg/m3 depuis le 1er janvier 2014. Rien d'étonnant que, dans ce contexte, la France soit poursuivie par la Commission européenne pour non-respect des valeurs limites de l'OMS.En ce qui concerne les gaz à effet de serre, l'automobile constitue la troisième source d'émission, 14% du total. On parle ici essentiellement de CO2. L'objectif fixé par le protocole de Kyoto est de diviser les émissions par 4 d'ici 2050 et de les éliminer complètement d'ici la fin du siècle. Le challenge est immense. L'automobile doit participer à ces efforts massifs de réduction des émissions.
Alors, quelles solutions pour réduire les émissions de NO2, de PM25 et de CO2 ?
En raisonnant à nombre de trajets constants, on peut d'abord réduire les émissions par trajet, ce qui est engagé à travers divers progrès réalisés ces dernières années ou en voie d'aboutir. D'abord avec les filtres à particules, qui équipent désormais 35% des véhicules diesel en circulation. Ensuite les biocarburants de seconde génération, provenant de la partie non comestible des végétaux, qui sont en train de devenir une réalité. Et puis bien sûr la réduction du poids des automobiles et les progrès de moteurs. Enfin, les véhicules hybrides, voire 100% électrique, entament leur progression, mais la transition du parc ne se fera que sur 30 à 40 ans et aura du mal à démarrer tant que les véhicules hybrides coûteront significativement plus cher que les mêmes modèles en version essence ou diesel.Tous ces progrès sont donc intéressants mais leurs effets seront très longs à se matérialiser et l'urgence de la situation nous impose d'adopter une approche plus radicale. Pour réduire rapidement les émissions, il convient de réduire le nombre de trajets réalisés en voiture.
Impossible de demander aux Français d'abandonner la voiture
Pour une majorité de Français, la voiture est un mal nécessaire. L'auto est un outil de mobilité quotidienne, ils ne peuvent tout simplement pas s'en passer. 81% de la population en possèdent une, contre 77% il y a 20 ans. Et les études du BIPE indiquent que 93% d'entre eux assurent n'avoir pas d'autres alternatives pour se déplacer efficacement au quotidien.Pourquoi ? À cause de l'étalement urbain. Les progrès des transports sur les 50 dernières années ont permis d'aller plus vite. Mais, comme l'a parfaitement mis en évidence la conjecture de Yacov Zahavi, « le temps gagné à aller plus vite est en fait gagné pour aller plus loin ». Car les déplacements de la vie quotidienne se font à budget-temps de transport constant. Ainsi, grâce au progrès des moteurs, les émissions de CO 2 auraient dû baisser de 12% entre 1995 et 2014 mais elles ont en réalité augmenté de 6% à cause de l'augmentation de la longueur des trajets (+20% en 20 ans).Plus on étire le territoire, plus la densité baisse. Et comme bien entendu la production de service public est d'autant plus coûteuse que la densité de population est faible, il n'est absolument pas rentable de créer des lignes sur la majorité des territoires.Surtout dans le contexte actuel, où la dépense publique est particulièrement contrainte. Représentant 57% du PIB aujourd'hui, un large consensus se forme aujourd'hui autour d'un objectif de 50% à moyen terme. Nous devons donc faire des efforts massifs à tous les niveaux depuis l'Etat jusqu'aux collectivités locales. Les autorités organisatrices de mobilité ne seront pas épargnées. Bruno Gazeau, président de la Fédération Nationale des Associations d'Usagers des Transports (FNAUT), annonçait la semaine dernière que 20% des agglomérations réduisaient actuellement leur offre de transport en commun. Le Syndicat des Transports d'île-de-France (STIF) présente un déficit (versement transport payé par les entreprises plus contributions publiques nécessaires pour équilibrer ses dépenses de fonctionnement) de plus de 5 milliards d'euros en 2013. En augmentation de 70% sur les 13 dernières années !Bien sûr, en centre-ville, on pourrait tout à fait imaginer interdire à long terme les véhicules essence ou diesel. Car les transports en commun sont denses et efficaces, et le vélo, la trottinette, la marche à pied, les voitures électriques en auto-partage y ont toute leur place.Mais au-delà de ces centres-villes, combattre la voiture est utopique. Il faut plutôt la considérer comme un allié, qui peut organiser le rabattement vers des grands axes de transports en commun structurants, tels ceux du projet du Grand Paris. Car la voiture est le seul moyen efficace d'aller d'un point A à un point B quand au moins un de ces points est éloigné d'un axe majeur de transport en commun.
Une formidable opportunité : partager les sièges disponibles
Pour réduire le nombre de trajets parcourus en voiture, il n'est donc pas envisageable d'imposer à la population péri-urbaine et rurale de limiter son usage quotidien de leur auto. Mais heureusement, pour faire baisser le nombre de trajets en voiture, il reste une solution : mutualiser, partager les trajets. Et ainsi faire tout autant de trajets mais avec moins de voitures.La bonne nouvelle, c'est que les éléments sont réunis pour faire décoller le covoiturage quotidien.D'abord, la capacité est là. 90% des conducteurs sont seuls dans leur véhicule, ce qui implique une gigantesque réserve de mobilité latente et extrêmement capillaire. Rien qu'en Ile-de-France, 40 millions de sièges libres réalisent un trajet tous les jours. Le potentiel est énorme, exploitons le !Ensuite, la voiture coûte de plus en cher, dans un contexte de stagnation, voire de baisse du pouvoir d'achat. Plus de 5000€ par an, soit 12% du budget total des ménages, plus important que la nourriture ! Avec la sophistication des modèles, les coûts d'entretiens ont notamment explosé (+36% depuis 2000).Et puis, la voiture est de moins en moins un totem social. L'« objet parfaitement magique » de Roland Barthes est désormais considéré par les nouvelles générations comme un outil, une fonction, un moyen de se déplacer. Ce n'est plus un objet personnel, ils sont donc plus enclins à le partager.Autre élément clé, le covoiturage s'est démocratisé sur les trajets de longue distance. Avec Blablacar notamment, qui compte près de 3 millions de membres en France. Les Français partagent de plus en plus leurs véhicules.Enfin, les pouvoirs publics commencent à se mobiliser en faveur du covoiturage. La loi de transition énergétique prévoit d'encourager les entreprises à proposer à leurs salariés une solution de covoiturage dans le cadre de leur Plan de Déplacements d'Entreprise. Le cadre législatif est également posé pour développer des lignes dédiées aux véhicules prioritaires, dont le covoiturage.Toutes les conditions sont donc réunies pour faire décoller le covoiturage sur les trajets quotidiens et ainsi faire augmenter le taux d'occupation des véhicules en circulation (1,14 personnes en moyenne aujourd'hui).Mais bien entendu, pour faire baisser le nombre de voitures en circulation et entrer dans une véritable logique de développement durable, il faut utiliser la capacité de sièges libres existante. C'est-à-dire remplir des véhicules qui auraient de toute façon réalisé ce trajet, avec ou sans passager. Comme Blablacar le fait sur les trajets de longue distance. À ne pas confondre avec les solutions de type « taxis entre particuliers », où les conducteurs sont des chauffeurs en quête de clients, qui augmentent mécaniquement le nombre de véhicules sur la chaussée.
Des freins à lever pour développer la pratique du covoiturage quotidien
Malgré tous ces facteurs encourageants pour le développement du covoiturage, la pratique jusqu'ici ne décolle pas. Après plus d'un an passé à écouter nos beta-testeurs, nous avons identifié 6 freins principaux.D'abord, la peur de l'inconnu. « Qui va monter dans ma voiture ? » « Dans la voiture de qui vais-je monter ? »Ensuite, les contraintes d'organisation imposées : « Je ne vais pas mettre des annonces et organiser un trajet pour gagner seulement 3€ »Troisièmement, un manque de masse critique : « Je ne trouve personne pour covoiturer sur mon trajet », « et si personne ne peut me ramener chez moi au retour ? »Quatrièmement, les horaires variables de travail et les aléas du quotidiens : « Je ne pars pas du bureau tous les soirs à la même heure », « Le lundi et le jeudi je travaille en général dans d'autres locaux »Cinquièmement, la dépendance à un unique équipier, en binôme : « Je dois absolument être au point de rendez-vous tous les jours à la même heure pour retrouver mon covoitureur », « Comment je fais si il est malade ? »Enfin, les histoires d'argent : « On ne va quand même pas se donner des pièces jaunes ? », « C'est pénible de noter les trajets sur un bout de papier »Ces freins expliquent pourquoi seulement 2% des actifs pratiquent le covoiturage régulièrement pour aller travailler alors que, lorsque leur employeur les interroge, ils sont en général 30% à 35% à se déclarer prêt à s'y mettre.
Karos : le covoiturage devient automatique, flexible, simplissime…bref, magique !
Tous ces freins, Karos les lève.Grâce à une approche révolutionnaire basée des technologies informatiques et des algorithmes mathématiques de pointe, le covoiturage s'affranchit des contraintes d'organisation et devient un véritable réseau de transport en commun.Partenaire des entreprises, des territoires et des autorités organisatrices de mobilité, Karos fait du covoiturage quotidien une réalité, en complément des réseaux structurants de transports en commun. Nous pouvons enfin simplement réduire le nombre de véhicules en circulation, faire avancer la transition énergétique et améliorer significativement la qualité de l'air.Alors téléchargez gratuitement Karos et rejoignez l'aventure. Et bien entendu, contactez-nous si vous souhaitez en savoir plus.
Tous les matins, les membres de notre équipe viennent au bureau avec la même ambition : réduire le nombre de véhicules en circulation pour éradiquer les embouteillages et améliorer significativement la qualité de l'air que nous respirons. C'est la mission de Karos.
La Semaine Européenne du Développement Durable, organisée par le Ministère de l'Ecologie, du Développement durable et de l'Energie, présente l'événement "Le covoiturage quotidien, moteur majeur de la transition énergétique", organisé par Karos, solution révolutionnaire de covoiturage quotidien.
La voiture émet des particules fines responsables de 42 000 décès prématurés chaque année en France et constitue la 3e source d'émissions de gaz à effets de serre…Alors que Paris reçoit la COP 21 en décembre prochain, la Semaine du Développement durable est l'occasion de rappeler précisément les impacts néfastes de ce mode de transport, dont 83% des Français ne peuvent pas se passer. Mais c'est aussi, heureusement, une opportunité de présenter des solutions ambitieuses pour accélérer notre transition énergétique et mieux respirer !Une de ces solutions, c'est Karos. En rupture totale avec les solutions traditionnelles, Karos développe des algorithmes d'intelligence artificielle pour rendre le covoiturage quotidien simplissime, et présente ainsi le potentiel de réduire significativement le nombre de véhicules en circulation. Ensemble, nous pouvons désormais améliorer la qualité de l'air et ralentir le réchauffement climatique !
Programme :
10h : Présentation du contexte socio-écologique
- Etat des lieux des impacts néfastes de la voiture sur l'environnement
- Nos contraintes : pour beaucoup, la voiture est un mal nécessaire
- Notre opportunité : capter la réserve existante de sièges libres pour réduire drastiquement le nombre de véhicules en circulation
- Les freins actuels à la pratique du covoiturage courte distance
10h30 : Présentation de Karos, solution innovante de mobilité durable
- Démonstration du service : « Magique, covoiturage quotidien ! »
- Karos au service des entreprises, des campus et des collectivités qui souhaitent adopter une démarche ambitieuse de mobilité durable
11h: Échanges libres entre participants
11h30 : Fin de la matinée d'échanges
Plus d'informations sur : http://evenements.developpement-durable.gouv.fr/campagnes/evenement/4146Les problématiques de transition énergétique et de mobilité durable vous intéressent ? RV au siège de Karos (incubateur Agoranov – 96 bis boulevard Raspail 75006 Paris) le mercredi 3 juin à 10h.### Attention ! Inscription obligatoire. Réservez vos billets gratuitement ici ###Des questions sur cet événement ? Contactez-nous
La Semaine Européenne du Développement Durable, organisée par le Ministère de l'Ecologie, du Développement durable et de l'Energie, présente l'événement "Le covoiturage quotidien, moteur majeur de la transition énergétique", organisé par Karos, solution révolutionnaire de covoiturage quotidien.
AXA Prévoyance vient de publier son baromètre 2015 sur le comportement des Français au volant (étude réalisée par TNS Sofres du 16 au 30 décembre 2014 auprès d'un échantillon national représentatif de 1510 automobilistes).
Si le ">constat général indique que le nombre de bons conducteurs diminue légèrement sur les routes à cause d'un relâchement des pratiques et beaucoup d'individualisme, il est intéressant de noter que la dégradation des comportements des conducteurs est à largement nuancer lorsque d'autres passagers sont à bord.D'abord, les conducteurs prennent moins de risques quand ils sont accompagnés, adoptant des comportements beaucoup plus responsables que la moyenne. Alors qu'ils sont 28% à prendre le volant après avoir bu plus de deux verres d'alcool, la proportion chute à 7% lorsqu'ils transportent un ou des passagers. Sur autoroute, 19% reconnaissent rouler à 160/170 km/h quand ils sont seuls, une proportion qui chute à 5% avec la présence d'un passager dans l'habitacle.Ensuite, dans la mesure où la fatigue et la somnolence au volant augmentent par 8 le risque d'accident, il est clair que covoiturer en tant que passager sur certains de ses trajets quotidiens, par exemple un jour sur deux, est une solution évidente pour améliorer la sécurité routière. Cela permet de profiter de son temps de parcours pour se reposer et ne pas se stresser dans les embouteillages.Enfin, il semble logique qu'à deux à l'avant on soit plus vigilant en cas d'événement dangereux et imprévu, comme par exemple une personne qui traverse soudainement ou une voiture qui freine brusquement. Nous avons tous fait l'expérience d'être alerté par son passager, et donc d'avoir gagné quelques précieuses millisecondes de temps de réaction, dans ce type de situations.Bref, encore une excellente raison de covoiturer sur nos trajets quotidiens !
Durant toute l'année 2014, les médias se sont fait l'écho de l'émergence de nouveaux modèles de mobilité. Le covoiturage est sur toutes les lèvres, le terme est utilisé à outrance… et sans nuance. A force de mélanger les concepts, on en vient à douter de la légalité du covoiturage.
Blablacar, leader français du covoiturage longue distance, est souvent mentionné comme une des plus belles réussites du web français. On cite par ailleurs très souvent le covoiturage comme une opportunité de progrès social et écologique. Plusieurs textes de lois ont créé les conditions du développement de cette pratique, et poussée par des organismes publics de référence comme le CERTU (transports et urbanisme) et l'ADEME (environnement et énergie).
Alors est-ce légal le covoiturage ? Comment s'y retrouver ? Nous proposons un rapide décryptage.
Le covoiturage est un partage de frais
En 2013, la Cour de Cassation avait réagi au lancement du service Uberpop en définissant ce qu’est ou non le covoiturage.
C’est avant tout une pratique à but non lucratif. Dans le cadre du covoiturage, la participation financière des passagers est donc limitée au partage des coûts. En revanche, le transport de passagers, sous couvert de covoiturage, réalisé dans un but lucratif est illégal. Il constitue en effet une activité de transport public non autorisée.
Un outil important pour bien définir les frais est le barème des frais kilométriques établi chaque année par la Direction générale des finances publiques. Ce barème officialise le coût de déplacement d'un salarié en véhicule particulier. Pour une distance moyenne de 15 000 km par an, ce coût est estimé à environ 0,35 € par km parcouru.
Pour rester dans la légalité du covoiturage, il faut donc que le passager paie un tarif en fonction de ce barèmes et non au-delà.
En covoiturage, le conducteur n'est pas un chauffeur
Le ministère de l'Ecologie, des Transports et du Développement durable définit le covoiturage comme l'utilisation en commun d'un véhicule par un conducteur non professionnel et un ou des passagers majeurs sur un itinéraire ou section d'itinéraire commun.
Pour être plus clair, il y a covoiturage lorsque le trajet aurait, de toute façon, été réalisé par le conducteur. La logique du covoiturage, c'est d'optimiser le taux d'occupation de son véhicule lors d'un de ses trajets.
Il n'y a donc pas covoiturage lorsque qu'un conducteur, comme un chauffeur de taxi ou un VTC, réalise un trajet spécifiquement pour servir les besoins d'un passager.
Distinguer covoiturage et VTC
Le covoiturage, dans la mesure où il consiste à partager les coûts d'un déplacement que l'on aurait de toute façon réalisé, est attractif dès le premier centime. C'est pourquoi le conducteur est intéressé par une contribution minimale du passager, en dessous de 0,35€/km.
A l'inverse, lorsqu'on utilise un véhicule pour répondre à des demandes de trajets spécifiques de la part de passagers, tel un chauffeur, on exerce une activité à part entière, pour laquelle on souhaite être rémunéré et réaliser une marge.
L'émergence de deux modèles distincts : covoiturage et taxi entre particuliers
Ces deux modèles de mobilité n'ont rien à voir. La principale différence est le coût du trajet pour le passager, ce qui implique des usages différents :
- le chauffeur a vocation à être disponible dans les 10 minutes
- le conducteur et le passager s’accordent sur le trajet
Le covoiturage, le vrai, est parfaitement légal
En optimisant le taux de remplissage d'un véhicule qui aurait roulé « à vide », le covoiturage permet de réduire la circulation automobile, les embouteillages, la pollution associée. Favoriser son développement peut donc être moteur de notre transition énergétique.
Durant toute l'année 2014, les médias se sont fait l'écho de l'émergence de nouveaux modèles de mobilité. Le covoiturage est sur toutes les lèvres, le terme est utilisé à outrance… et sans nuance. A force de mélanger les concepts, on en vient à douter de la légalité du covoiturage.
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Titre 1
Karos est partenaire de différents campus en France. Entre autres, les étudiants d’EPITA, Ascencia Business School, la Faculté de Médecine Paris-Saclay, Designir, ISAE Supaero, Bordeaux Sciences Agro, Polytech Grenoble et de l’Université d’Artois sont convaincus par le projet de covoiturage proposé par Karos et bénéficient de nombreux avantages.
C’est chaque semaine que l’équipe Karos sillonne la France et part à la rencontre des étudiants de chacun des campus partenaires pour y faire des “animations”.
Une animation ? Qu’est-ce que c’est ?
Une animation est un temps pendant lequel Karos est présent dans le campus avec des goodies et de la nourriture sympa, allant des pizzas aux viennoiseries, en passant par des bonbons avec boissons, sans oublier la galette des rois (selon la période bien évidemment).
Karos vient donc animer les campus en présentant l’application tout en expliquant les bons plans. Et les étudiants sont ravis des animations Karos : ils s’amusent et sont contents de connaître une application ayant un impact positif sur l’écologie tout en leur faisant gagner de l’argent.
L’équipe Karos transmet sa bonne humeur et offre des goodies entre deux parts de pizzas. Des lots sont régulièrement gagnés : certains campus ont gagné une enceinte JBL PartyBox on the go V2, d’autres ont reçu un taureau mécanique pour faire du rodéo.
Pour un aperçu de ce qui se passe lors d'une animation, c'est par ici !
Vous pouvez aussi découvrir l’engouement des étudiants au sujet du covoiturage avec Karos dans cet article.
Pourquoi être campus partenaire de Karos ?
Les campus partenaires de Karos bénéficient de bien des avantages, et ils l’ont bien compris. Le trajet des passagers est pris en charge tandis que le conducteur est rémunéré et peut économiser jusqu’à 200€ par mois. Les conducteurs peuvent également toucher la prime de 100€ mise en place par le gouvernement depuis le 1er janvier 2023. Chaque utilisateur peut aussi parrainer ses amis et ses proches pour gagner 105€.
Alors oui, les avantages sont très incitatifs pour les étudiants, mais le BDE est aussi gagnant dans ce partenariat au niveau financier.
Retrouvez plus d'informations sur le programme mis en place pour les campus juste ici.
Vous voulez que la prochaine animation Karos ait lieu dans votre campus ?
Si vous souhaitez devenir partenaire de Karos et testez notre programme 3MC Campus, vous pouvez nous contacter. Et n’hésitez pas à tester dès maintenant notre application :
Télécharge Karos et découvre le covoiturage !
Afin de faire gagner du temps aux utilisateurs et de renforcer la fiabilité sur Karos, il est possible de se connecter à son compte Île-de-France Mobilités directement depuis notre application.
Cette fonctionnalité permet aux utilisateurs de bénéficier instantanément de l’offre mise en place par notre partenaire Île-de-France Mobilités. En effet, les détenteurs d'un abonnement Navigo actif peuvent bénéficier de trajets offerts.
Cette démarche permet aussi de consolider le partenariat mis en place avec la Région. Nous garantissons la bonne attribution de l’offre aux réels abonnés d’Ile-de-France Mobilités.
Pourquoi se connecter à son compte Île-de-France Mobilités depuis Karos ?
En Ile-de-France, une offre spéciale est mise en place pour les détenteurs d’un abonnement Navigo actif. Par exemple, les passagers ayant un Passe Navigo actif covoiturent gratuitement.
Pour simplifier l’expérience de l’utilisateur et l’informer le plus rapidement possible s’il peut bénéficier de trajets offerts, il est indispensable d’associer son compte Île-de-France Mobilités à Karos directement depuis notre application. Pour associer leurs comptes, il faut que l'utilisateur se connecte à son compte Île-de-France Mobilités depuis Karos. Cela permet aux utilisateurs de valider leur éligibilité à l'offre tarifaire d'Île-de-France Mobilités.
La connexion à son compte Île-de-France Mobilités est immédiate ainsi que l'association des comptes. L'éligibilité à l'offre tarifaire peut être plus longue (24-48h).
Comment bénéficier de l’offre avantageuse en Île-de-France ?
Pour bénéficier de la tarification spéciale en Île-de-France, en tant que conducteur, aucune démarche particulière n’est nécessaire. Pour les passagers, il est indispensable de confirmer auprès de Karos qu’ils possèdent un titre de transport de la région actif. L’offre est valable pour les abonnements suivants : Navigo mensuel, Solidarité Gratuité, Navigo Solidarité et Navigo Annuel et Sénior, Améthyste, Imagine R.
Pour permettre à Karos de vérifier si le passager dispose d'un abonnement, les passagers doivent, depuis l’application Karos, se connecter à leur compte Île-de-France Mobilités. Voici comment faire :
Depuis l’onglet Compte, consultez Mon compte Karos > Mes titres de transport > Activer mon titre de transport.
De là, les utilisateurs peuvent vous renseigner leurs identifiants de leur compte Île-de-France Mobilités. Une fois connecté, c’est bon !