Le magazine Karos :
l'actualité du covoiturage et de l'application
La Loi d’Orientation des Mobilités a été votée l’année dernière, le mardi 19 novembre 2019. Cette loi a pour vocation de repenser la mobilité dans sa globalité : covoiturage, voitures électriques, régulation de la circulation, forfait mobilité. Elle s’adresse à la fois aux territoires et aux entreprises. L’enjeu est politique, social et environnemental, bien sûr.
Le 9 mai 2020, un décret dédié au Forfait Mobilités Durables (FMD) a été publié au Journal Officiel. Ce forfait a pour objectif d’aider les entreprises à accompagner leurs collaborateurs dans leur mobilité quotidienne, en valorisant des alternatives à la voiture individuelle.
Concrètement, comment ce forfait peut être mis en place et comment Karos vous accompagne ?
Le Forfait Mobilités Durables pour favoriser la mobilité responsable
Par ce forfait, les entreprises sont encouragées à aider leurs collaborateurs à changer leurs habitudes de mobilité pour tendre vers des alternatives éco-responsables. Pour le mettre en place et en définir les contours, les entreprises peuvent passer par des négociations, un accord d’entreprise, un accord de branche ou une décision unilatéral de l’employeur avec concertation du CSE.
Ce forfait peut prendre la forme d’un montant forfaitaire conditionné à une pratique ou d’une prise en charge des frais engagés : location, partage de frais, tickets de transport hors abonnement, ou d’un Titre Mobilité. Il permet la prise en charge des frais de transport par l’employeur, et ce, jusqu’à 600€ par collaborateur. Les moyens de transports pouvant bénéficier de cette participation financière sont :
- le covoiturage
- le vélo
- l’autopartage
- la voiture électrique
- l’hybride
- le transport en commun
- les engins de déplacement en libre service (trottinette, vélo, scooter)
L’enjeu est aussi de répondre aux besoins des équipes avec des alternatives adaptées. Par exemple, mettre à disposition des trottinettes si vos collaborateurs habitent trop loin n’est pas une solution idéale. De plus, il faut aussi les outils pour suivre les performances afin d’être certain de leur efficacité. C’est pourquoi Karos met en place différents leviers pour vous proposer une solution complète : une application mobile dédiée au covoiturage domicile-travail et une plateforme SaaS pour paramétrer votre forfait et suivre les performances.
Une mise en place rapide et un reporting en temps réel
L’un des enjeux du Forfait Mobilités Durables est de le mettre facilement en place et de mesurer son efficacité. Cette réflexion nous la menons déjà chez Karos auprès de nos clients. En effet, notre plateforme SaaS leur permet de suivre l’usage du covoiturage domicile-travail via plusieurs métriques, comme par exemple :
- le nombre d'inscrits
- le nombre de covoiturages réalisés
- les émissions de CO2 évitées
Elle leur permet aussi de personnaliser les avantages de leurs collaborateurs, comme :
- l’assistance retour
- les places réservées
- les cadeaux personnalisés dans la machine à cadeaux
Aujourd’hui, nous allons plus loin en permettant une mise en place du Forfait Mobilités Durables de A à Z et un accès à un reporting complet.
Ainsi, nos entreprises partenaires peuvent choisir les modalités de leur Forfait : montant, liste des collaborateurs concernés, choix des identifiants de connexion (pour plus de sécurité, nous recommandons d’utiliser l’email professionnel), etc. Il est aussi possible de paramétrer le plafond annuel du forfait et la date de réinitialisation des forfaits.
L’accès aux informations est alors complété avec celles du FMD. Ces données sur l’usage de l’application servent de preuve de covoiturages afin de justifier l’utilisation du forfait.
Toutes ces informations sont protégées, puisque nous respectons scrupuleusement la réglementation en vigueur concernant la protection des données personnelles.
Le Forfait Mobilités Durables directement intégré dans l’app Karos
Les collaborateurs utilisateurs de notre application mobile pourront directement activer leur Forfait depuis leur profil. Aujourd’hui, ils peuvent déjà se rattacher à leur entreprise. Nous leur permettons maintenant de débloquer leur FMD et d’avoir accès aux informations laissées par leurs employeurs.
Pour ce faire, l’utilisateur se rend dans ses avantages et clique sur Forfait Mobilités Durables. Ici, il pourra renseigner l’identifiant choisi par son entreprise. Notre algorithme procède à la vérification grâce au fichier fourni par l’employeur pour débloquer le forfait. En deux clics, l’utilisateur a accès aux informations relatives à son forfait (montant, date de remise à zéro, explications adaptées selon s’il est conducteur ou passager, etc). Cela lui sera aussi indiqué lors de la prévisualisation des trajets, avec les avantages que lui apportent son FMD.
L'accompagnement de nos utilisateurs est complet afin qu’ils comprennent de quoi il s’agisse. Le design de l’application et les étapes sont aussi pensés pour faciliter l’expérience utilisateur. Il ne faut pas que cela rende l’utilisation de l’application lourde. Le covoiturage domicile-travail avec Karos c’est simple et efficace.
Pour plus d’informations sur la LOM et le Forfait Mobilités Durables, n’hésitez pas à consulter notre ebook :
ous les mois, nous vous présentons un membre de l’équipe Karos ! Aujourd’hui, découvrez Assirem, notre data scientist, fan de foot et du PSG, qui s’applique à ce que passagers et conducteurs se trouvent via Karos.
Si tu devais résumer ton parcours (scolaire et pro) en 3 lignes ?
Bac scientifique, j’étais le genre d’élève avec les meilleures notes en maths. Puis j’ai fait des maths approfondis, parfois compliqué, parfois passionnant, il fallait s’accrocher. Et j’ai fini par me spécialiser dans le machine learning.
Au niveau professionnel, j’ai commencé dans une start up géniale qui veut développer du court voiturage et j’y suis encore hehe
Qu’est-ce que tu fais exactement chez Karos ?
Je suis data scientist. Je m’occupe principalement du matching, des algorithmes qui associent passager et conducteur. Et on a tout plein d’autres projets intéressants qui gravitent autour pour améliorer l’expérience utilisateur.
Ma journée type consiste à faire avancer le projet sur lequel je suis, à discuter avec mon équipe de sujets complexes mais passionnants. Souvent utile de faire des dessins au tableau pour expliquer une idée.
Ton objectif principal ?
Contribuer à la brique technologique de haut niveau de la boîte. Et surtout travailler dans la bonne humeur.
Pourquoi voulais-tu rejoindre Karos ?
Pour deux raisons, le projet m’a beaucoup parlé. Rendre les trajets de tous les jours plus efficaces en utilisant les sièges vides des voitures.
Quand on prends du recul deux secondes, c’est dingue qu’un potentiel pareil soit si peu utilisé. De plus, y’a eu un bon fit dès le départ et je voulais découvrir le monde des starts up.
Qu’est-ce que tu aimes chez Karos ?
La passion qui anime chacun dans l’objectif de développer du covoiturage. Il y a une réelle sincérité, une volonté de résultats, de voir cette pratique grandir. On cherche à tirer dans le même sens et c’est motivant. Puis, j’ai développé de belles affinités dans la boîte, c’est génial.
Ta voiture parfaite, elle a quoi comme fonctionnalité que les autres n’ont pas ?
Les fonctionnalités d’aide à la conduite, je trouve ça génial. J’ai découvert le détecteur d’angle mort l’été dernier. Une lumière rouge illumine le pare brise quand on veut tourner et qu’un véhicule approche rapidement dans la zone de l’angle mort. Au début, c’est assez déroutant. Mais au final, ça crée davantage de sécurité. Mais bon, soyons réaliste, la voiture parfaite est autonome !
“Aimer ses trajets” ça rime avec …?
Ecouter de la bonne musique !
Ta photo sur ton permis de conduire : honteuse ou pas honteuse ?
Joker !
Pour télécharger Karos, c’est par ici !
Et pour découvrir l’équipe, rendez-vous sur notre page Welcome to the Jungle !
Dans le contexte actuel, les relations entre collaborateurs évoluent. Le télétravail mis en place depuis les deux derniers mois fait réfléchir à la gestion d’équipe à distance, à la qualité de nos échanges et à l’engagement de chacun.
Avant la pandémie, 6 salariés sur 10 disaient qu’il leur arrivait de se sentir isolé au sein de leur entreprise, alors que 82% étaient en open space ou en bureaux partagés, d’après l’étude de Paris WorkPlace sur les relations au travail.
Malgré la multiplication des interactions, le sentiment d’isolement continue de se développer chez les collaborateurs. Cet isolement est représentatif de la sur sollicitation que les outils de communication virtuels peuvent engendrés. L’isolement est alors possible et réel.
Isolement : du stress à la perte d’engagement
Un stress accentué par la crise sanitaire
D’après l’étude de Paris WorkPlace 2019, 52% des collaborateurs qui se sentent isolés sont souvent ceux qui écoutent le plus souvent de la musique. Contre 32% pour les personnes se sentant rarement voir jamais isolé. Cette tendance montre le cercle vicieux de l’isolement. On ne se sent pas intégré, voir isolé du reste de l’équipe, donc on se réfugie dans sa bulle, se coupant encore plus de ses collaborateurs.
Aujourd’hui face à la crise, 44% des salariés français présentent une détresse psychologique, selon une enquête menée par Empreinte Humaine. Les plus impactés ? Ceux en chômage technique partiel (1/5 en détresse élevée).
Les principales sources de stress sont l’hyper connexion, la surcharge de travail, des difficultés à concilier la vie professionnelle et personnelle, la fatigue mentale et cognitive, etc. Aussi, beaucoup de télétravailleurs peinent également à trouver un endroit où travailler dans de bonnes conditions. Seuls 45 % peuvent ainsi s’isoler toute la journée si besoin. Environ 60 % travaillent dans leur salon, et 25 % dans une pièce fermée qui n’est, initialement, pas prévue pour le travail, comme une chambre. C’est donc des conditions moins adaptées que le bureau et le cadre qu’il offre.
Un engagement de moins en moins fort
Cet isolement va aussi provoquer une insécurité au travail chez le collaborateur concerné. En effet, il craint 20 fois plus d’être licencié. 40% de ceux qui se sentent isolés déclarent avoir peur du licenciement, contre 2% de ceux qui se sentent rarement ou jamais isolés.
Par conséquent, les collaborateurs isolés se projettent beaucoup moins dans leur entreprise : 70% déclarent se projeter pour moins de 5 ans.
Le stress de la crise ne fait qu’aggraver cette tendance. La motivation professionnelle se dégrade au fil des semaines pour près d’un quart des salariés (24 %), un taux qui atteint les 50 % pour ceux qui se sentent en situation de détresse élevée.
Des performances au travail en berne
Les performances des collaborateurs isolés sont aussi moins brillantes. Ils estiment à 6.9/10 leur efficacité au travail en auto-évaluation. Les personnes qui se sentent intégrées s’évaluent à 8.4/10. Cela illustre aussi l’impact psychologique et sur l’image que les collaborateurs perçoivent d’eux-mêmes. Une désévaluation de leur part n’est pas à ignorer. Ils peuvent du fait d’une perte de confiance, se trouver beaucoup trop inefficace. A l’inverse, un collaborateur intégré et valorisé au sein de son équipe va se sentir reconnu pour son travail. Sa confiance en lui sera alimentée, permettant un travail véritablement performant.
D’après l’Anact et leur étude sur le télétravail en période de confinement, les répondants se sentent moins efficaces qu’à l’ordinaire. Ce sentiment résulte du fait que la charge de travail n’a pas toujours était adaptée à la situation. Et surtout, le télétravail ne dispense pas des échanges entre manager et équipe afin de faire avancer les projets et s’entraider. Le travail à distance peut faire oublier que nous interagissons avec de vraies personnes.
Le télétravail : loin des yeux, loin du coeur
Aujourd’hui, la pratique du télétravail se démocratise et va peut-être pour certain devenir courante. Souvent, ce mode de travail à distance est valorisé car il permet aux collaborateurs de mieux se concentrer et de ne pas perdre de temps en trajet domicile-travail. En d’autres termes, il permet de meilleures performances et d’améliorer le bien-être de vos collaborateurs.
Pourtant, le télétravail peut multiplie par 2 le sentiment d’isolement : 36% des télétravailleurs se sentent isolés et souvent seul. Seulement 19% ressentent la même chose pour ceux qui ne télétravaillent jamais, toujours d’après l’étude Paris Work Place.
Les changements des derniers temps vont cependant faire du télétravail un mode d’organisation récurrent. Il est donc important de mettre en place des actions pour limiter l’isolement des collaborateurs. Ainsi, l’organisation classique du management est bousculée. On peut parler de télémanagement qui consiste à maintenir la dynamique de groupe à distance. Le confinement a aussi permis de tester de nouvelles actions et de nouveaux outils (comme Zoom, Teams, etc) qui ont permis de créer le lien autrement. La situation ne fait qu’accélérer les nouvelles manières de manager aujourd’hui.
Le bureau physique : l’agora de votre entreprise
L’étude Paris WorkPlace met en lumière le besoin de plus en plus grand des interactions physiques. 77% des collaborateurs interrogés préfèrent les échanges en face-à-face en comparaison au téléphone (10%) et ou par mail/messagerie (13%). Le bureau reste donc le lieu privilégié pour diminuer l’isolement de vos collaborateurs et favoriser les interactions positives.
Selon une étude de BNP Paribas Real Estate menée pendant le confinement, 38% des actifs souhaitent retourner sur leur lieu de travail, avec un rythme adapté, et 32% sont favorables à un entre-deux : retourner en partie sur leur lieu de travail tout en conservant des jours de travail à distance.
Le podium des motivations :
- le souhait d’une reprise de l’activité de l’entreprise (38%)
- les conditions matérielles de leur lieu de travail (32%)
- l’envie de revoir ses collègues après 2 mois à distance (31%)
Après le confinement et le télétravail imposé, le siège social va ainsi devenir un camp de base de passage. Le travail va se répartir sur différents lieux adaptés aux usages de chacun entre le home office, des espaces de coworking ou de corpoworking dédiés à la collaboration interne ou externe. On parle alors de travail multi sites. Cette décentralisation va nécessiter des outils spécifiques pour organiser les déplacements et les interactions réelles entre les équipes et ainsi maintenir le lien et la culture d’entreprise.
Le bureau gardera cette image de l’endroit où l’on se rassemble et où les interactions peuvent se créer. Ce n’est d’ailleurs pas étonnant que les bureaux soient devenus un critère important dans le choix d’une entreprise. En 2019, 43% des interrogés par Paris WorkPlace confirmaient cette tendance (contre, 30% en 2017).
Pensez aussi que le travail mené pour développer les interactions au bureau peut se prolonger au delà de celui-ci.
Les trajets domicile-travail offrent un créneau idéal pour faire interagir ses collaborateurs dans un espace différent du bureau. Nos clients l’affirment, le covoiturage via Karos favorise les relations entre les collaborateurs et renforce le lien social.
Interaction positive : se voir moins mais mieux
Face à l’isolement et au stress, les interactions humaines semblent être la bonne solution. La crise que nous traversons montre à quel point se voir en chair et en os est précieux. Les études montrent combien les interactions humaines sont nécessaires au développement individuel et collectif. Cependant, nous prenons aussi conscience que la quantité ne fait pas qualité. On se verra moins, mais mieux afin d’éviter toutes les sur-sollicitations contre-productives.
Chacun percevra désormais mieux la valeur d’être présent physiquement. Des qualités comme l’empathie, la capacité de transmettre, l’engagement, la solidarité ont pu ainsi se développer et pourront se consolider après la crise.
Il ne faudra pas négliger les impacts psychologiques que le confinement a pu avoir. D’après l’étude d’Empreinte Humaine, seul 1 salarié sur 3 dit que son entreprise met en place des actions autour la sécurité psychologique et la prévention des risques psychosociaux. Christophe Nguyen, Président d’Empreinte Humaine, recommande la mise en place d’un programme de sécurité psychologique et d’un soutien psychologique. Cela peut se faire à différents niveaux par des actions d’abord simples puis de plus en plus poussées selon les besoins de vos équipes : règles sanitaires au bureau, alternatives de mobilité, horaires adaptés, psychologue à disposition, etc.
Le sentiment d’isolement est à éradiquer, le dialogue est à réinstaurer. Cette volonté de se voir physiquement reflète cet instinct que nous avons : nous sommes des êtres sociaux qui ont besoins d’interactions directes, nous avons besoin d’appartenir à un groupe social.
Dans le contexte actuel, les relations entre collaborateurs évoluent. Le télétravail mis en place depuis les deux derniers mois fait réfléchir à la gestion d’équipe à distance, à la qualité de nos échanges et à l’engagement de chacun.
Avant la pandémie, 6 salariés sur 10 disaient qu’il leur arrivait de se sentir isolé au sein de leur entreprise, alors que 82% étaient en open space ou en bureaux partagés, d’après l’étude de Paris WorkPlace sur les relations au travail.
Malgré la multiplication des interactions, le sentiment d’isolement continue de se développer chez les collaborateurs. Cet isolement est représentatif de la sur sollicitation que les outils de communication virtuels peuvent engendrés. L’isolement est alors possible et réel.
Tous les mois, retrouvez un portrait d’un ou d’une utilisateur.trice Karos. Chaque membre de la communauté a un parcours différent et intéressant. Pourquoi covoiturer, les bénéfices tirés, les rencontres faites et des anecdotes : tout est là !
Aujourd’hui, découvrez le portrait d'Alexandre, utilisateur de Karos depuis 2 ans et comptabilise près de 500 covoiturages. Il nous raconte son parcours sur Karos, mais aussi comment il envisage le covoiturage avec la crise sanitaire. Confiant, il est prêt à retrouver ses amis covoitureurs !
Parlez-nous de vous
J’habite au nord de Toulouse. Je travaille chez Airbus depuis 2 ans, en tant que sous traitant en informatique, à Saint-Martin-du-Touch.
Qu’est-ce qui vous a amené à covoiturer ?
Au début je venais en transport en commun. Je faisais 1h50 de transport pour me rendre au bureau. C'était très compliqué, j'ai donc commencé à me renseigner sur des alternatives. L’achat d’une voiture était trop coûteux pour moi à l’époque.
Puis un de mes collègues m'a parlé de Karos et m'a dit que l’application commençait à être très connue chez Airbus. J'ai voulu tester et j'ai très vite trouvé des conducteurs. Je fais 30 min de trajet, c'est révolutionnaire !
Aujourd’hui, mon métier a évolué. Il m'arrive désormais de faire des horaires de nuit. 2 ans après avoir été exclusivement passager, je me suis acheté une voiture. Ceci a été possible car j’ai pu pendant ces 2 années faire des économies et financer cet achat.
Je suis donc passager et conducteur sur Karos.
Quels bénéfices ressentez-vous dans votre quotidien ?
En plus du gain de temps, je me suis aperçu à force d'avoir des covoitureurs différents, qu'on se connaissait tous plus ou moins par le covoiturage ou par le travail. J'ai obtenu en quelques temps un réseau de covoitureurs mais aussi un réseau professionnel solide ! Mes covoitureurs d’Airbus me recommandaient pour des missions ou m'informaient des recherches en cours. J'ai développé de très bonnes relations avec plusieurs d'entre eux. Il nous arrive de nous voir en dehors du travail ou du covoiturage maintenant.
Aujourd’hui, comment envisagez-vous le covoiturage après le 11 mai ?
Depuis le début du confinement je suis en chômage technique. A partir du 11 mai, je reprends le chemin du travail en voiture. Si je trouve quelqu'un sur Karos, je serais totalement partant pour covoiturer et même alterner !
Si mes covoitureurs habituels ne sont pas disponibles pour le moment, je ne verrais aucune gêne à covoiturer avec de nouvelles personnes. En général j'aime bien expliquer aux nouveaux covoitureurs les petites astuces sur Karos pour bien prendre en main l'appli. Malgré la crise, ça ne me gêne pas du tout.
Karos prévoit la mise en place de plusieurs mesures : limitation du nombre de passagers, rappel des consignes sanitaires, etc.
Qu’en pensez-vous ?
La distanciation dans le véhicule en limitant le nombre de passagers à bord me semble le plus pertinent. Rappeler les règles de sécurité dans l’application c'est très bien et le plus possible c’est le mieux.
Pour finir sur une note joyeuse : racontez-nous une anecdote avec vos covoitureurs
Avec deux de mes covoitureurs, nous nous sommes découvert une passion commune : celle du Rock-métal. On se partage les bons festivals et les groupes à écouter. Grâce à eux, j'ai découvert que le festival "Echos et Merveilles" se fait dans ma ville, à quelques minutes de chez moi !
Vous souhaitez covoiturer avec Karos pour vous rendre au travail ? Téléchargez l’application !
Vous vous demandez quel moyen de transport privilégier pour vous rendre au travail avec la reprise progressive ? Chez Karos, nous avons conscience des questions que posent déjà vos trajets habituels, alors pendant cette période particulière, nous voulions vous accompagner plus encore. C’est pourquoi nous avons préparé cette infographie pour vous aider à y voir clair !
Vous pouvez cliquer dessus pour la voir en plus grand :
Si vous êtes en télétravail, rien de mieux que les podcasts ! Ce support audio à écouter partout quand nous le souhaitons est devenu un format de plus en plus apprécié. Les sujets sont variés pour répondre aux questions de tous. Chez Karos, on a nos sujets fétiches : mobilité, tech, écologie, qualité de vie au travail, etc. On vous présente nos préférés, à écouter chez vous ou en vous rendant au travail.
Pourquoi on aime les podcasts ?
Commençons par le début. Le podcast audio s’écoute sur internet. Il peut se rapprocher de l’émission de radio, mais n’est pas lié à la date et l’heure de diffusion.
Aujourd’hui les grandes radios postent sur leurs sites leurs émissions pour permettre à leurs auditeurs de les écouter quand ils le souhaitent. Des sociétés de productions se sont développées, comme Binge Audio ou Louie Média, qui proposent leurs propres podcasts et émissions, selon leur ligne éditoriale.
L’avantage du podcast c’est évidemment de l’écouter quand cela nous convient et dans les conditions que l’on choisit. A la maison, en travaillant, lors de vos trajets : à vous de trouver votre moment podcast. Les thématiques, le format, la durée : il y en a pour tous les goûts !
La mobilité : comment la conjuguer au présent et au futur ?
C’est bien évidemment notre sujet de prédilection et auquel on réfléchit tous les jours. Pour rester à l’affût, on écoute plusieurs podcasts qui questionnent et présentent des solutions pour la mobilité d’aujourd’hui et de demain. Voici nos préférés :
Mobtr, Ré-inventons les mobilités
Mobtr questionne la mobilité d’aujourd’hui et de demain au travers de rencontres et d’interviews. On y découvre des idées et des innovations pour s'approprier la mobilité.
On aime : Les sujets sont variés, cela permet de voir la mobilité sous différents angles : il y en a forcément un pour vous ! Du vélo au pétrol, en passant la data, ce podcast vous aidera à mieux définir votre mobilité.
Fréquence de parution : Hebdomadaire
Durée d’un épisode : 30 minutes
Lost in Transportation
Le bureau d'études 6t, spécialisé dans les mobilités durables, et Nicolas Louvet vous emmènent à la découverte des usages de la mobilité. Se déplacer, c’est réaliser des activités, parcourir des quartiers, rencontrer des gens, etc. Ici on tente de comprendre pourquoi et comment se déplace-t-on ? Comment les pratiques de mobilité changent-elles avec la ville, et la ville avec les nouvelles mobilités ?
On aime : avec les questionnements émis et les réponses apportés, on réfléchit véritablement à notre mobilité.
Fréquence de parution : Mensuel
Durée d’un épisode : 15 minutes
"J’ai un Plan" de mobilité
Ce podcast, réalisé par Laure Wagner, part à la rencontre de responsables RH ou RSE qui prennent leur Plan de mobilité au sérieux pour une transition rapide vers la mobilité durable. Les sujets varient pour trouver des moyens d’y parvenir : favoriser les changements de mode, réduire la fréquence des trajets, réduire les distances, etc.
On aime : la mise en relation de la mobilité et du monde du travail. La relation entre les deux est enfin bien évidente. Ce podcast permet de questionner nos trajets domicile-travail.
Fréquence de parution : Mensuel
Durée d’un épisode : 20 minutes
Autour de l’environnement : des alternatives et des rencontres
Les consciences se réveillent sur notre impact sur l’environnement. On comprend de plus en plus comment notre façon de vivre peut dégrader notre planète ou au contraire lui faire du bien. Chez Karos, c’est une thématique clé. Depuis le début, un de nos objectif est de proposer une solution plus éco-responsable pour les trajets domicile-travail. On essaie aussi de vous partager des astuces et des idées pour, petit à petit, rendre notre empreinte environnementale la moins lourde possible !
L’univers des podcasts s’est très bien investi dans cette thématique, voici notre sélection et pourquoi on les écoute :
Basilic
Basilic est un podcast consacré à l’environnement et aux initiatives positives. Chaque semaine, Jeane Clesse, juriste en droit de l’environnement de formation, reçoit un invité qui œuvre pour la protection de l’environnement. Les sujets abordés sont variés : numérique, zéro déchet, pollution, énergie renouvelable…
On aime : la bienveillance et l’optimisme de ce podcast. On y découvre des initiatives positives, qui nous aide à garder espoir. La diversité des thèmes est aussi très appréciables pour découvrir de nouveaux domaines : joaillerie, média, énergie, etc.
Fréquence de parution : Hebdomadaire
Durée d’un épisode : entre 30 et 50 minutes
De cause à effets, le magazine de l'environnement
Produit par France Culture et Aurélie Luneau, De cause à effets est une émission entièrement consacrée à l'environnement. Le titre est évocateur, on y découvre la relation de diverses choses avec l’environnement.
On aime : la diversité des sujets et leur traitement approfondi. Ici, les invités vont au bout des réflexions pour que l’on puisse vraiment comprendre le sujet dans sa globalité.
Aussi, en milieu d’émission, il y a le choix musical d’un des invités, un doux rappel que l’on est à la radio et l’occasion de faire des découvertes musicales.
Fréquence de parution : Hebdomadaire et en direct le dimanche de 16H à 17H
Durée d’un épisode : 1 heure
Les mouvements zéro
Lancée en 2015, le but des Mouvements Zéro est de sensibiliser à la transition écologique et aux gestes éco-responsables. On suit Justine Davasse, la fondatrice, qui part à la rencontre des acteurs de la transition écologique. On y parle de consommation alternative, d’alimentation durable ou de zéro déchet.
On aime : la découverte des initiatives permet vraiment de se mettre à son rythme à sa transition écologique. On y apprend, on réfléchit et on s’inspire. C’est dans cette optique que le plus grand nombre pourra s'approprier ce sujet et participer de bon coeur à la question environnementale. Et pour aller plus loin, des ateliers et des conférences sont aussi organisés par la fondatrice, Justien Davasse.
Fréquence de parution : Hebdomadaire
Durée d’un épisode : de 30 à 50 minutes
Côté tech : penser l’avenir et développer sa veille
On n’aurait pas créé un application si le monde de la tech ne nous passionnait pas un minimum, cela fait aussi parti de l’ADN de Karos. Nous tâchons de rester en veille dans ce domaine, en constante évolution. Un régal d’informations et de découverte !
Nouveau Monde
Jérôme Colombain s'intéresse aux innovations, aux produits high-tech, aux nouvelles technologies. Produit par franceinfo, les thématiques sont très ancrées dans l’actualité. Ainsi, on nous éclaire sur le lien entre les nouvelles technologies et notre quotidien. Et oui ! C’est déjà aujourd’hui que le numérique impacte nos vies.
On aime : l’ancrage dans l’actualité qui rend les problématiques très concrètes pour chacun. On y apprend et on se questionne aussi sur l’avenir, avec un format court mais complet.
Fréquence de parution : Quotidien
Durée d’un épisode : 5 minutes
Les Technos
Ce podcast propose deux formats : les épisodes hebdomadaires où deux chroniqueurs partagent leur veille technologique sous la forme d’une revue de presse. Et les hors série qui développent différentes thématiques telle que les véhicules électriques, les logiciels libres, la domotique,…
On aime : la variété des thématiques et des formats. Ce podcast complet permet de maintenir une vraie veille sur différents sujets.
Fréquence de parution : Hebdomadaire
Durée d’un épisode : 1 heure
Silicon Carne
Ce podcast décrit dans la bonne humeur les dernières actualités de la Silicon Valley et donc toutes les thématiques qui gravitent autour. Un format qui nous permet de nous tenir informer de l’évolution de ce milieu qui peut paraît très opaque.
On aime : le lien fait avec l’actualité et le ton de ce podcast. Le format long permet de vraiment comprendre le thème abordé.
Fréquence de parution : Hebdomadaire
Durée d’un épisode : 1 heure
La vie au bureau : être bien pour être performant
On vous parle souvent de qualité de vie au travail, de RSE et de bien-être. Le travail occupe une part importante dans nos quotidiens. S’y rendre à a réel impact sur la suite de notre journée. C’est aussi pour cela que notre application existe, pour faciliter vos trajets et vous permettre de connaître vos collègues.
Le sujet étant riche, voici les podcasts que l’on écoute régulièrement :
Le bureau
Indispensable est ce podcast produit par Welcome to the jungle, média spécialisé dans le monde du travail. Chaque épisode est présenté sous la forme d’une discussion intimiste. On écoute une personne qui témoigne d’une problématique liée au monde du travail : la recherche d’emploi, la peur de son boss, la gestion de l’open space, etc. Des questions souvent dures et sans réponses, jusqu’à maintenant. Sans langue de bois, Welcome to the jungle veut vous aider à gérer des situations délicates.
On aime : la proximité avec l’invité.e et la vérité des mots nous fait du bien. Ce podcast nous permet aussi de nous questionner sur nous-même et nous amène à mieux gérer la vie de bureau. Une boîte à outils très utile !
Fréquence de parution : Bimensuel
Durée d’un épisode : 30 minutes
Le Gratin
Ce podcast, créé par Pauline Laigneau, vous présente des success story qui donnent envie ! Aucune pression à l’écouter, juste des interviews où chaque personne présente son histoire. Ils présentent aussi des conseils que l’on peut décider de s’appliquer à soi-même.
On aime : ce podcast est un petit coup de boost ! Il motive et rappelle que l’on peut tous réussir, on nous propose des clefs pour y parvenir. Comme le dit sa créatrice : “Ce podcast est ma manière de vous aider à devenir la meilleure version de vous-même”.
Fréquence de parution : Hebdomadaire
Durée d’un épisode : 40 minutes à 1 heure
Mon idée QVT
Produit par My Happy Job, ce podcast nous donne mille idées pour se sentir bien au travail. La Qualité de Vie au Travail est un sujet de plus en plus mit en lumière. Ce podcast apporte donc des idées, des astuces et des solutions pour parvenir à se sentir bien à et dans son travail. Les sujets abordés sont riches : aménagement des espaces, cohésion d'équipe, développement des compétences, prévention santé, relations humaines, reconnaissance, quête de sens, etc.
On aime : le format court permet de vraiment consommer rapidement ce podcast. Malgré le peu de temps, on en ressort à une solution concrète à adopter ! Ce podcast est efficace et se complète avec toutes une série de podcast : Bien dans mon job, ça fait débat et ça me travail, tous produits par My Happy Job.
Fréquence de parution : Hebdomadaire
Durée d’un épisode : 5 minutes
Bonus : les foodcasts qui nous régalent
Et enfin, parce que chez Karos on adore aussi la bonne bouffe et partager nos dernières recettes, voici nos 3 foodcasts préférés !
Bouffons
“Bouffons” décortique un sujet culinaire par épisode en compagnie de deux invités passionnés par le thème, professionnels du milieu ou pas. C’est un podcast dédié à la “bouffe” produit par Nouvelles Écoutes qui explore une multitude de sujets dans une ambiance positive et conviviale.
On aime : l’ambiance justement où chacun échange et peut exposer son point de vue. On apprend, on se questionne, on découvre !
Fréquence de parution : Hebdomadaire
Durée d’un épisode : 20 minutes
À Poêle
C’est le podcast qui met à nu les chef.fe.s de cuisine. Il nous permet de découvrir des grands noms de la restauration, mais aussi des food-entrepreneur.se.s qui marquent notre époque. Des portraits à la fois d’hommes et de femmes qui vont vibrer nos papilles.
On aime : le format portrait et découvrir ce qui anime ces figures du monde de la food. Les discussions sont douces et permet de libérer la parole.
Fréquence de parution : Hebdomadaire
Durée d’un épisode : 45 minutes
Produit par Binge Audio et débutée en 2018, l’émission Casseroles, avec Zazie Tavitian aux manettes, nous fait découvrir des recettes de ses proches, nous invitant dans leur cuisine. On y comprend alors le lien entre les recettes et les souvenirs : comment la cuisine raconte des histoires personnelles. Dans la seconde saison, Casseroles ouvre des problématiques plus vastes, avec toujours au cœur de ses préoccupations la question de l’identité culinaire.
On aime : l’ambiance avec les bruits de cuisine, les petites histoires racontées autour de la recette présentée. Et aussi cette thématique de la cuisine et de l’histoire personnelle, qui a amené Zazie Tavitian à produire un podcast plus intime sur son arrière-arrière-grand-mère déportée, ayant légué un livre de recettes : ce podcast c’est A la recherche Jeanne.
Fréquence de parution : Hebdomadaire
Durée d’un épisode : 45 minutes
A partir du 11 mai 2020, le gouvernement lance le déconfinement progressif. La question du retour au travail occupe nombre d’esprits.
Vous faites peut-être partie des personnes qui ne peuvent pas télétravailler et qui reprennent leur activité. Vous vous demandez comment retourner au travail ou vous êtes déjà un·e adepte du covoiturage via Karos pour vos trajets domicile-travail ? Dans tous les cas, chez Karos nous voulons vous aider à mieux vivre votre mobilité quotidienne. Nous vous accompagnons tous les jours pour vous proposer une solution adaptée à ces circonstances particulières.
Quels gestes adopter pour le covoiturage ? Comment se protéger et protéger les autres ? Comment rendre le covoiturage via Karos sécurisant ? Voici nos réponses pour vous aider !
Mieux repérer vos covoitureurs habituels
Le covoiturage domicile-travail est souvent synonyme de nouvelles rencontres. Grâce à cette nouvelle fonctionnalité des “Favoris”, vous allez pouvoir créer une liste de vos covoitureurs et covoitureuses préférés. L’objectif est de les retrouver plus facilement pour créer vos trajets communs rapidement !
Avec la reprise, il sera ainsi plus facile de retrouver vos covoitureurs habituels et en qui vous avez confiance. C’est un point important pour nous afin que vous puissiez retourner au travail l’esprit un peu plus léger.
Pour compléter : découvrez notre infographie sur les différents moyens de se rendre au travail !
Le contexte écologique actuel nous fait réfléchir à nos actions quotidiennes. Textile, alimentation, immobilier,... Tout cela nous questionne sur notre impact environnemental. La manière de nous déplacer arrive dans le top des préoccupations des Français, et pour cause.
Les employeurs aussi sont directement concernés par les transports : les trajets domicile-travail représentent un enjeu majeur pour l'image de leur entreprise et le bien-être de leurs collaborateurs. Tous les détails dans notre infographie dédiée :
En France, le transport est le premier émetteur d’émissions de CO2. C’est le trafic routier qui pollue le plus l’air et, plus précisément, la voiture individuelle. En effet, ¾ des Français l’utilisent quotidiennement pour aller au travail. La voiture est souvent synonyme de liberté, d’autonomie et de confort. Mais aujourd'hui, son impact devient trop néfaste à la fois sur l’environnement et sur notre santé.
Le dioxyde de carbone est reconnu pour irriter nos voies respiratoires. Les particules fines de l'air ambiant ont été classées cancérogènes pour l'être humain car elles causent des maladies respiratoires et cardiovasculaires. On estime à 40 000 le nombre de décès précoces à cause de la pollution.
Mais comment faire lorsqu’il s’agit d’un trajet régulier et dont on peut difficilement se soustraire ?
Les alternatives à la voiture individuelle
Aujourd’hui, plusieurs alternatives peuvent remplacer la voiture individuelle. Cela permet de trouver des solutions pour réduire l’impact écologique de notre mobilité quotidienne.
En France, 50% des trajets effectués font ainsi moins de 5 kilomètres et en ville, 40% des trajets quotidiens effectués en voiture font moins de 3 km. Mais ils sont 2 fois plus polluants qu'un trajet de plus grande distance (surconsommation de carburant quand le moteur est froid, arrêts et redémarrages fréquents,...) ! Il est donc possible sur ces trajets-là d’opter pour une autre solution que la voiture.
Les transports en commun
Il y a bien sûr les transports en commun qui permettent sans aucun doute de circuler plus facilement. Ils présentent trois principaux avantages :
- la sécurité : 15 fois moins d’accidents mortels en bus qu’en voiture
- l’écologique : le tram émet 62 fois moins de CO2 que la voiture
- économique : l’abonnement est moins cher que la voiture (6 000 €/an pour la voiture contre 827,20 €/an pour un Pass Navigo sans compter la participation de l'employeur)
Mais il est vrai qu’en milieu périurbain ou rural, les transports en commun ne sont pas toujours accessibles. Le maillage du réseau crée parfois des zones blanches en terme de mobilité.
Nouveaux moyens de transports : l’autopartage et le vélo
Le vélo devient une alternative de plus en plus répandue en zones urbaines. Les structures, comme les pistes cyclables et la mise à disposition de vélos à la location, y sont pour beaucoup. De fait, le vélo est plus sécurisé que la voiture puisque les cyclistes ont 10 fois moins de risque d’être blessés qu’en voiture. Aussi, rouler à vélo permettrait d'économiser 650 kg de CO2 par personne/an (selon l'ADEME, l’agence de la transition écologique).
L’autopartage permet aussi de repenser sa consommation de la voiture. L’idée est de ne pas posséder sa propre voiture, mais d’en avoir une à disposition et de l’utiliser à plusieurs. Le gestionnaire des voitures à partager prend à sa charge l’assurance en échange d’une contribution. D’après une étude de l’ADEME, chaque voiture en autopartage remplace 10 voitures particulières et libère 9 places de stationnement.
Le covoiturage malin
Partager sa voiture permet de lutter contre l'autosolisme, c’est-à-dire le fait d’être seul dans sa voiture. En moyenne, on compte 1.1 personne par voiture. Grâce au covoiturage, le nombre de voitures en circulation réduit. Par conséquent, les émissions de CO2 diminuent aussi ! Par exemple, nos utilisateurs évitent en moyenne l'émission de 87 kg de CO2 par covoiturage, soit l’équivalent de 3 arbres plantés à chaque trajet réalisé.
En prime, le partage de frais peut aussi être intéressant pour les personnes possédant une voiture. Elle reste le mode de transport le plus cher. Une voiture coûte plus de 6 000€ par an en moyenne, soit le 1er pôle de dépenses des ménages, après le logement.
Seulement, il ne faut pas que le covoiturage soit considéré comme une contrainte : recherche de passagers ou conducteurs, heure de rendez-vous, calcul du partage des frais, etc.
Notre engagement chez Karos
Les différentes solutions présentent des avantages mais ont leurs limites. L’idéal reste de pouvoir combiner plusieurs moyens de transports, pour bénéficier des avantages de chacun.
Une expérience simple et efficace
C’est pourquoi, nous proposons une application de covoiturage intelligente qui comprend les habitudes de nos utilisateurs. Ainsi, c’est notre algorithme qui combine les meilleurs trajets possibles : pas de besoin de se casser la tête à trouver soi-même des covoitureurs ! L’intelligence artificielle analyse les trajets prévus pour les optimiser et faire gagner du temps à tout le monde.
Notre arme secrète : l’intermodalité
Nos trajets proposés mêlent covoiturage et transports en commun. Nos utilisateurs peuvent partager la voiture d’un·e conducteur·trice pour rejoindre la station de train la plus proche par exemple. Cette fonctionnalité de l’application peut :
- leur donner accès à plus de covoitureurs disponibles que s’ils cherchaient exactement le bon trajet de porte à porte.
- faciliter l’accès à des lignes de transport public éloignées de leur domicile
- leur éviter du temps perdu dans les embouteillages des centres villes
Aujourd’hui, c’est en moyenne 26 minutes gagnées par trajet pour nos utilisateurs passagers.
Notre objectif est de simplifier les trajets domicile-travail
Pour cela, nous transformons la voiture en transport en commun, grâce à la mise à disposition des sièges vides. Ainsi, le nombre de voitures en circulation réduit, décongestionnant les routes et réduisant notre empreinte carbone. La moyenne de personnes par voiture passe de 1.1 à 2.3 personnes avec notre application. Ce qui a déjà permis d’éviter l’émission de plus de 4 000 tonnes de CO2 depuis la création de Karos. C’est l’équivalent de 75 000 arbres !
Découvrez en vidéo l’impact écologique de Karos sur l’environnement :
Si une semaine lui est dédiée depuis 2001, c’est bien parce que la courtoisie a tendance à disparaître au volant. Injures, impatience, gestes déplacés, coups de klaxons,... Autant de signes qui prouvent notre manque de politesse sur la route.
Les incivilités au volant augmentent en France malgré les efforts de la Sécurité routière et de l’Association française de Prévention des Comportements au volant (AFPC). D’après une étude Ipsos pour Vinci en février 2018, près de 70% des conducteurs reconnaissent qu’il leur arrive d’injurier les autres automobilistes. C’est pourquoi depuis 2016, la courtoisie au volant fait partie des enseignements obligatoires dispensés aux jeunes conducteurs et est évaluée lors de l’examen du permis de conduire.
Bien sûr, la courtoisie concerne aussi les piétons et tous les individus se déplaçant (trottinettes, vélos, motos...). L’enjeu est de réussir à cohabiter ensemble pour limiter les accidents.
Pour y parvenir, voici les 5 gestes recommandés par la Sécurité Routière pour adopter la courtoisie au volant !
La courtoisie en gardant toujours vos distances de sécurité
Les distances de sécurité sont là pour vous laisser le temps d’agir en cas de freinage brutal ou pour anticiper les gestes du véhicule devant vous. Si celui-ci est trop lent pour vous, ne vous collez pas à lui ! Cela ne fera que renforcer votre frustration. Prenez plutôt de la distance pour pouvoir optimiser votre visibilité de la route et pourquoi pas doubler ce véhicule. Un moyen aussi de garder la circulation fluide.
La courtoisie grâce au développement de votre empathie
Une voiture bloque la route depuis 5 minutes, car elle reprend pour la 6ème fois son créneau ? La personne au volant est sûrement stressée et commence à paniquer en voyant la file de voitures s’accumuler. Klaxonner ne l'encouragera pas, au contraire… Vous avez peut-être vous-même déjà connu cette situation. Personne n’est irréprochable ! Se mettre à la place de l’autre vous aidera à ne pas réagir agressivement. Parfois, un simple sourire peut aider la personne à réussir sa manœuvre.
Si vous voyez que la personne n’y arrive vraiment pas, faites lui un signe (aimable) pour lui faire comprendre qu’un embouteillage est en train de bloquer tout le monde, qu’elle peut se mettre de côté pour laisser passer les véhicules.
La courtoisie en respectant le code de la route, même dans les situations délicates
Nous sommes parfois confrontés à des situations délicates sur la route : embouteillages, accidents, travaux,... Mais ce n’est pas pour autant qu’il faut en oublier son code de la route. C’est souvent dans ces situations qu’un respect des règles établies permet de garder la circulation la plus sécurisante pour tout le monde.
Exemple lors d’un embouteillage sur l’autoroute : n’empruntez pas la voie d’urgence pour remonter la file. Vous pourrez en effet bloquer une personne en réel besoin de la voie et donc vous vous mettriez vous-même et les autres personnes en danger.
La courtoisie en remerciant les autres individus sur votre route
Si simple et si souvent oublié ! Un petit signe de main permet de remercier l’automobiliste ou le piéton et donc d’être poli. C’est la base de la courtoisie au volant.
Si l’on vous cède la priorité, un remerciement confirmera à l’autre automobiliste qu’il a bien fait d’être poli avec vous.
En tant que piéton, lorsqu’un véhicule s’arrête pour vous laisser passer, un geste de remerciement de la main et un sourire en prime ne seront jamais de trop.
La courtoisie en prenant le temps de respirer
On souffle et on garde son calme. Si la courtoisie disparaît une fois au volant, c’est parce que l’on perd notre calme et l’on se laisse submerger par l’agacement. Alors, prenez le temps de souffler 2 secondes avant de vous emporter. Et souvenez vous que le plus important est d’arriver à bon port !
La courtoisie partout, tout le temps (un conseil supplémentaire pour la route)
La courtoisie au volant devrait devenir un état d’esprit à adopter tout au long de l’année, et pas seulement lors de la semaine dédiée en mars. Et pourquoi pas, être courtois et bienveillant aussi dans la vie de tous les jours. Comment ? Le covoiturage c’est déjà de la courtoisie et c’est facile avec Karos !