Le magazine Karos :
l'actualité du covoiturage et de l'application
Le concept de marque employeur fait référence aux leviers mis en place par une entreprise pour fidéliser et capter de nouveaux collaborateurs.
Les objectifs :
- structurer votre politique de communication RH,
- diminuer le turnover (fidéliser les collaborateurs),
- augmenter la notoriété de l’entreprise,
- la rendre attractive en tant qu’employeur.
Elle porte aussi l’identité sociale de l’entreprise : ses valeurs, ses ambitions de recrutement, sa culture en somme.
La marque employeur est, toutefois, à distinguer de l’image globale de l’entreprise, qui concerne d’autres domaines (communication, produit, recherche et développement,...). Cependant, les deux peuvent avoir des répercussions l’une sur l’autre, car une distorsion entre la marque employeur et l’image de l’entreprise peut faire fuir les collaborateurs.
Par exemple, la marque de smoothies Innocent reste cohérente, en adaptant les valeurs selon les attentes de la cible. Leur communication sur les produits et sur la marque se construit sur des valeurs de qualité, de respect et de curiosité. Côté marque employeur, Innocent prône la diversité et se montre soucieux de l’épanouissement de ses talents (outil de communication interne, formation) et accorde une bourse annuelle de 1000€ à un collaborateur pour réaliser un projet personnel.
Car construire sa marque employeur se nourrit de votre vie d’entreprise, voici 5 tendances pour mettre en place une stratégie efficace.
1/ Former vos collaborateurs pour montrer l’intérêt porté
La première tendance importante est la mise en place de programmes de formation. De plus en plus d’entreprises proposent à leurs collaborateurs des formations pour les aider à développer et acquérir de nouvelles compétences. Le fait de montrer à vos collaborateurs que vous cherchez à les faire progresser permet de créer une atmosphère bienveillante. Vos collaborateurs seront aussi reconnaissants et les potentiels talents percevront une réelle attention portée sur la question de l’épanouissement au travail.
Face à l’innovation technologique, le nombre de formations en lien avec celle-ci est en hausse. AXA a poussé à 86% le pourcentage de collaborateurs ayant bénéficié d’au moins une formation sur cette thématique.
La formation peut aussi aider les nouvelles recrues à mieux comprendre les autres métiers. La compagnie financière Richemont propose à ses nouveaux talents deux jours de formation au siège social et des visites dans les ateliers de création. Une façon d’humaniser les produits fabriqués auprès des autres services.
2/ Penser à l’innovation et à l’avenir
Cette deuxième tendance s’inspire du modèle du géant du web : Google et sa règle des 20%. En effet, le groupe permet à ses collaborateurs de se libérer 20% du temps de travail pour la recherche et le développement de projets. Google met à disposition de ses collaborateurs des logiciels, des bases de données, de la technologie pour que les projets aboutissent. Les deux conditions pour concrétiser les projets sont :
- le travail doit être fait au sein des locaux
- les idées doivent être en lien avec les activités de Google
En donnant les moyens à leurs collaborateurs de mettre en place des initiatives personnelle ou collective, les entreprises font d’une pierre deux coups. D’abord, elles valorisent les idées de leurs collaborateurs, lorsqu’elles lancent les innovations suggérées. Ensuite, elles leur permettent de s’épanouir en montant des projets qui leur tiennent à coeur. Vous construisez une marque employeur tournée vers l’avenir. L’enjeu est de rester en phase avec la société actuelle, voire de garder une longueur d’avance.
L’innovation est corrélée à la transformation digitale. Aujourd’hui, grand nombre d’entreprises ont un projet à mi-chemin entre leur activité première et la transformation digitale. Les unes développent de l’activité sur le web. Par exemple, l’Oréal développe une interface qui permet aux consommatrices de tester les produits de la marque grâce à de la réalité augmentée. Elles peuvent visualiser en temps réel le rendu du maquillage sur leur visage.
Les autres investissent dans de nouvelles technologies (intelligence artificielle, cybersécurité), qu’elles envisagent comme des solutions aux problématiques d’avenir. Par exemple, l’entreprise Pichet a choisi d’axer sa transformation numérique sur la question de la mobilité au quotidien. Pour aider ses collaborateurs, cette entreprise a décidé d’utiliser la solution Karos Entreprises et valoriser auprès d’eux l’outil numérique que nous proposons pour optimiser leur trajet domicile-travail.
3/ Accueillir de jeunes talents pour mieux anticiper l’avenir
La troisième tendance concerne les initiatives prises pour recruter la nouvelle génération. Les Millenials ont un nouveau comportement sur le marché du travail, il est donc important de les comprendre pour mieux aborder la question du recrutement.
L’objectif est de valoriser les jeunes talents de l’entreprise pour permettre aux futurs candidats de se projeter dans le groupe.
Une fois au sein de vos équipes, vous pouvez aussi valoriser cette jeunesse d’esprit.
Le groupe AccorHotels est parti du constat que l'hôtellerie n’avait pas anticipé trois révolutions digitales importantes du domaine :
- réservation en ligne (Booking),
- comparateur de prix (Trivago),
- économie du partage (Airbnb),
Pour ne plus être dépassé par la nouvelle génération d'entreprises, le PDG d’AccorHotels a mis en place un comité : le shadow comex. Ce comité est constitué de 13 membres, hommes et femmes de moins de 35 ans venus du monde entier, représentants toutes les activités du groupe. Inspiré par le gouvernement britannique et le shadow cabinets, il se réunit 2 fois par mois pour traiter des mêmes sujets que le comité officiel. L’objectif est de positionner la jeune génération comme radar des nouvelles tendances pour les anticiper et se positionner en fonction.
N’hésitez pas à prouver qu’un réel travail intergénérationnel est mené. Il n’est pas négligeable de vous positionner en faveur de l’arrivée de jeunes talents. Construire des équipes hétérogènes niveaux âges vous permet de mettre en place une passation sereine des connaissances entre les expérimentés et les juniors. Cela permet un roulement fluide de vos équipes.
4/ Le bien-être comme levier de différenciation
Une tendance incontournable pour votre marque employeur est la question du bien-être. La qualité de vie au travail permet de vous positionner comme une entreprise bienveillante, soucieuse des conditions de travail de ses collaborateurs et de leur santé mentale. La QVT amène à bien considérer les besoins de vos collaborateurs pour être efficace. Nous vous conseillons de lire notre article sur les 6 incontournables de la QVT pour la mener intelligemment. Elle va toucher vos collaborateurs sur le long terme et va leur prouver votre investissement pour eux au quotidien.
3 axes majeurs font parler d’eux aujourd’hui :
- le bien-être au quotidien
- la politique sociale
- la mobilité
Au quotidien, les entreprises ne manquent pas d'initiatives pour rendre leurs collaborateurs heureux. Le Groupe Crédit Agricole met à disposition des services à la personne, dans plusieurs sites en France : une conciergerie, une garderie, un centre sportif, un espace détente, un mini golf. Ils vont même plus loin en lançant chaque année un sondage en interne pour avoir les retours des salariés. Un moyen efficace de mesurer la satisfaction et d’ajuster, si besoin, les actions menées.
En matière de politique sociale, Kering n’hésite pas à être en avance sur la loi. Ils ont décidé d’harmoniser le congé parental entre les différents pays d’implantation du groupe. Les collaboratrices ont droit à 14 semaines de congés maternité ou adoption et les collaborateurs à 5 jours minimum de congés paternité rémunérés à 100%.
Comme le montre l'enquête sur la mobilité du Baromètre Paris Workplace Ifop-SFL, l’accessibilité du site joue un rôle dans l’attractivité de l’entreprise. BNP Paribas met en place des solutions incitatives en matière de mobilité : mise à disposition de vélos (favoriser des transports doux), application de covoiturage et places réservées aux voitures des covoitureurs (développer cette pratique).
5/ Savoir communiquer sur les initiatives prises
Et il ne suffit pas de se donner beaucoup de mal ! Avoir une belle marque employeur nécessite aussi de bien communiquer sur ce qui plaît aux collaborateurs de l’entreprise : le management, les opportunités offertes, les services mis à disposition, etc.
Votre communication doit être à la hauteur des initiatives portées et refléter la réalité. N'amplifiez pas les faits, mais soyez justes. Un déséquilibre entre votre communication et vos actions pourrait vous porter préjudice.
En effet, cette communication va toucher deux cibles : vos collaborateurs et vos futurs candidats. Elle doit donc fidéliser les premiers et les porter comme ambassadeurs, et améliorer la perception de l’entreprise par les seconds.
Vos collaborateurs sont les plus légitimes à s’exprimer sur leur expérience au sein de l’entreprise. Pourquoi ne pas leur donner le statut d’ambassadeurs ? On parle alors d’“employee advocacy”. Ils trouveront du crédit auprès de potentiels nouveaux talents. Cela va rendre votre entreprise attractive puisque si vos collaborateurs prennent la parole de leur propre initiative, c’est que vous arrivez à leur donner envie de le faire.
Gardez à l’esprit qu’avec le développement du web et des nouvelles technologies, vous devez aussi bien gérer votre e-réputation. La majeur partie des candidats se renseignent en amont sur l’entreprise, principalement via des outils en ligne.
Un bon canal de communication est le réseau social professionnel LinkedIn. Cela vous permettra de développer votre présence sur le web, de garder le contrôle sur les informations diffusées et gérer votre image auprès des candidats. C’est un outil qui regroupe plusieurs objectifs communicationnels.
Marque employeur : du recrutement à la fidélisation
La marque employeur est à penser de façon globale. Elle ne se limite pas qu’au recrutement, mais concerne aussi des questions de fidélisation des collaborateurs et de bien-être au travail. Gardez à l’esprit qu’elle représente les valeurs sociales de l’entreprise. En développant une stratégie marque employeur, vous donnez aussi à vos équipes les moyens de s’épanouir au travail.
Vous vous demandez d’où vient notre nom, Karos ? Et aussi comment on le prononce ? L’explication est très simple, et prend racines aux prémices des enjeux de mobilité, au 17è siècle !
Des carrosses comme transport en commun
L’idée était très simple : « des carrosses qui feraient toujours les mêmes trajets d’un quartier à l’autre […] et partiraient toujours à heures réglées, quelque petit nombre de personnes qui s’y trouvassent, même à vide s’il ne se présentait personne, sans que ceux qui se serviraient de cette commodité fussent obligés de payer plus que leurs places. »
Cette idée est née des problèmes de circulation dans Paris. Les embouteillages ne sont pas de notre époque mais datent bien depuis que circulent des carrosses dans la ville.
Le système est institué en janvier 1662 par un arrêt du Conseil du Roi, Louis XIV, qui se réjouit de ce nouveau moyen donné au peuple de se mouvoir plus rapidement et plus confortablement pour un coût raisonnable. Le 18 mars 1662, une première ligne est ouverte permettant de rejoindre le jardin du Luxembourg depuis la porte Saint Antoine. Les véhicules s’arrêtent pour laisser monter ou descendre les usagers tout au long de son itinéraire, à la demande de ces derniers.
Un manque de soutien du Parlement de Paris
Mais le Parlement de Paris ne voit pas d’un œil si favorable cette invention. Il impose de nombreuses restrictions, ainsi qu’une hausse des tarifs. Contre l’avis du roi, il est prévu que les « soldats, pages, laquais et autres gens de livrée, même les manœuvres et gens de bras, ne pourront entrer lesdits carrosses, pour la plus grande commodité et liberté des bourgeois et des gens du mérite. » Résultat : les carrosses ne sont plus ouverts à tous mais seulement à une partie de la population…
Le marché devient trop restreint, les carrosses disparaissent définitivement en 1677. La mobilité confortable et rapide de Blaise Pascal pour un coût raisonnable n’avait pas fait long feu.
Aujourd'hui, les Karos sont de retour
Plus de trois siècles plus tard, où en sommes-nous ? Bien sûr, les transports en commun se sont largement développés dans les grandes agglomérations et l’utilisation de l’automobile, transport individuel par excellence, s’est généralisée tout au long du 20è siècle. Mais l’histoire est têtue ! Et le problème que cherchait à adresser Blaise Pascal perdure.
Si aujourd’hui une partie de la population ont les moyens de s’offrir une mobilité quotidienne personnalisée, avec une voiture personnelle, une autre partie de la population doit se tourner vers les transports en commun. Mais 65% des Français n’ont pourtant pas accès aux transports en commun, et donc sont obligés d’investir dans la voiture personnelle (près de 6000€ par an).
C’est pourquoi chez Karos, nous voulons permettre aux autosollistes de prendre des personnes dans leur voiture, en contrepartie d’un partage des frais. Notre objectif : rendre le confort de la voiture individuelle accessible à un plus grand nombre et diminuer les frais liés à la voiture.
Quatre siècles après, toutes les voitures sont des carrosses. Notre technologie d’intelligence artificielle rend le covoiturage domicile-travail simplissime. Chaque siège libre est exploité et partagé efficacement avec la communauté pour que chacun puisse rejoindre sa destination rapidement, confortablement, sans payer le prix fort.
Aujourd'hui, les carrosses de Blaise Pascal prennent leur revanche !
La question peut paraître bateau et sa réponse évidente. Pourtant, il n’a pas toujours été question de rouler à droite, même en France. En effet, rouler à gauche fût pendant longtemps la norme sur les routes du monde. Aujourd'hui encore, un tiers des pays dans le monde roulent à gauche de la chaussée.
Mais alors pourquoi avoir changé de côté ? Retraçons ensemble l’histoire du sens de la route !
Commençons par la gauche
Pendant l'Antiquité, la coutume de circuler à gauche peut être retracée jusqu'en Grèce, Égypte et Rome antique ! Les soldats et les cavaliers, principalement droitiers, marchaient à gauche, portant bouclier et fourreau à gauche, afin de pouvoir dégainer leur épée plus facilement.
Au Moyen Âge, une explication courante relate que les cavaliers, comme ceux de l'Antiquité, circulaient sur la gauche des chemins. En effet, ils tenaient les rênes de la main gauche afin de pouvoir plus facilement tirer leur épée avec leur main droite en cas d'attaque ou d'adresser plus aisément d'amicales salutations.
Autre théorie : ils circulaient à gauche pour éviter que les épées ne se touchent, signe de provocation amenant au duel. On ne tient pas vraiment compte des chevaliers gauchers…
Avec le Conestoga, on passe à droite
À la fin du XVIIIè siècle, apparaît sur le marché américain un nouveau type de chariot : le Conestoga. Tiré par 6 à 8 mules attelées par paire et muni de 4 grandes roues, il est robuste et maniable. Il devient donc vite un indispensable du transport fonctionnel (destiné à l'origine au transport du blé en Pennsylvanie).
Ce chariot se répand vite dans tous les pays voisins et des engins similaires apparaissent également en Europe. Caractéristique principale du Conestoga : il ne comporte pas de siège pour le cocher. Cet apparent détail va bouleverser les habitudes de la route. Afin de contrôler au mieux l'attelage, le cocher se place sur le cheval de gauche de la dernière paire (tenant le fouet de la main droite). Ces chariots se mettent alors naturellement à rouler à droite, afin que le cocher puisse surveiller, lors des croisements, le côté exposé aux frôlements possibles par un autre chariot et que le fouet se déploie du côté du champ, et non sur les personnes croisant le chariot.
C’est ainsi qu’en 1792, la Pennsylvanie officialise la conduite à droite : nous y voilà ! Les autres états américains lui emboîtent le pas. En Europe, ce chariot devient célèbre et la même pratique se développe.
À la fin du XVIIIè, la France roule donc à droite. On porte souvent à Napoléon 1er le crédit d'avoir imposé à l'Europe conquise l'obligation de conduire à droite, par opposition aux Britanniques. Napoléon aurait entraîné ses troupes à commencer l'attaque par le flanc droit pour les surprendre. Mais cette explication semble fantaisiste, car il n'y a aucune relation entre le sens de circulation sur les routes et les dispositions tactiques au combat.
Cette tendance de rouler à droite se poursuit avec les premières automobiles. Elles avaient le frein à main à l'extérieur, du côté droit afin qu'il soit serré par la main droite avec plus de force. Le poste de conduite se trouvait donc à droite. À cette époque, la manœuvre du croisement était délicate : sur des routes étroites, les véhicules devaient s'éloigner l'un de l'autre autant que possible. Pour réaliser au mieux cette opération, le conducteur devait se tenir du côté du bas-côté de la route afin d’éviter toutes sorties de route. Le poste de conduite étant à droite, les voitures roulaient donc sur le côté droit de la chaussée.
Plus tard, le frein à main s'est retrouvé au centre de l'habitacle. Certains fabricants d'automobiles ont déplacé le poste de conduite à gauche pour que le frein reste accessible par la main droite, d'autres (comme les Britanniques) n'ont rien changé.
Les anglais persistent à gauche
Le Royaume-Uni n'apprécia que peu le Conestoga. Pour des raisons géographiques, ni les besoins en matière de transports terrestres de marchandises, ni la configuration du réseau routier n'étaient adaptés à ce nouvel engin.
On lui préféra un modèle plus petit, muni d'une seule paire de chevaux et surtout d'un siège de postillon (équivalent du cochet). Afin de ne pas gêner le passager par son fouet, le conducteur se plaçait à droite (le fouet dans la main droite), et pouvait surveiller ainsi les manœuvres sur le côté exposé. Les Britanniques continuèrent donc naturellement à rouler à gauche de la chaussée.
Le "Dagen H"
Dimanche 3 septembre 1967 à 5 heures du matin : la Suède passait de la conduite à gauche à la conduite à droite. Ce fut le "Dagen H", le jour H, pour "Högertrafik", circulation à droite en suédois. Le gouvernement prit cinq années à organiser ce changement dont 85 % des Suédois ne voulaient pas. Pourtant, tous les pays riverains de la Suède (Finlande, Norvège et Danemark) roulaient déjà à droite et la quasi-totalité des voitures avait le volant à gauche.
La veille du jour H, tous les panneaux et feux de signalisation pour la conduite à droite étaient en place, emballés dans du plastique noir, prêts à être dévoilés à l'heure dite. À 4 h 50, tous les véhicules eurent l'obligation de se garer sur le côté droit avant d'être autorisés à repartir à 5 heures... à droite. Le lundi 4 septembre, on dénombrait 125 accidents, aucun mortel. Les lundis précédents, on en avait compté entre 130 et 198. L'Islande suivra l'exemple suédois le 26 mai 1968.
Découvrez Karos : notre application de covoiturage pour aller au travail et calculez les avantages que vous pouvez en tirer !
Tous les mois, retrouvez un portrait d’un ou d’une utilisateur.trice de Karos. Chaque membre de la communauté a un parcours différent et intéressant. Pourquoi covoiturer, les bénéfices tirés, les rencontres faites et des anecdotes : tout est là !
Aujourd’hui, découvrez le portrait Maryline, utilisatrice de Karos depuis janvier 2020. Elle nous raconte son parcours sur Karos, mais aussi les belles rencontres et amitiés qu’elle a tissé avec ses passagers et passagères !
Parlez-nous un peu de vous
J'habite à Romainville et je suis secrétaire hospitalière à Paris à Lariboisière. Je covoiture tous les jours de la semaine !
Quelles sont les circonstances qui vous ont amenée à covoiturer ?
J'ai covoituré pour la 1ère fois suite aux grèves des transports en janvier. A la fois par solidarité mais aussi parce que c'est un très bon moyen de faire de vraies économies sur ma voiture. Notre hôpital a communiqué sur la solution Karos et je l'ai trouvée super intéressante. Le fait que les passagers ne paient pas, me rassurait encore plus car je ne me sentais pas mal à l'aise d'être rétribuée par la région.
Quels bénéfices tirez-vous de Karos dans votre quotidien ?
J'ai fait des rencontres supers ! Je suis restée en lien avec certaines covoitureuses, on s'est fait un restau et des sorties. On compte bien continuer ! En général, je covoiture régulièrement avec 3 collègues de l'hôpital et une professeure en BTS. Elle nous a même offert des chocolats et a sympathisé avec ma fille de 9 ans.
D’ailleurs, ma fille aussi aime beaucoup. Pour elle, tous les matins c'est presque une aventure, la rencontre ou les retrouvailles avec les covoitureurs. Elle adore les découvrir, elle discute, elle questionne. Mes covoitureuses prennent souvent des nouvelles de ma fille, ça fait chaud au coeur.
Vos sujets de discussions phares pendant le covoiturage ?
Ces derniers temps, le coronavirus était un sujet récurrent. Mais maintenant, on discute de sujets variés, on parle de tout et de rien.
Que diriez-vous à nos lecteurs pour les convaincre d’utiliser Karos ?
Que les bouchons n'existent plus ! Une anecdote, on est resté une fois 4h dans les bouchons pendant les grèves. Le temps est passé plus vite : nous avons discuté, rigolé. Mes trajets sont vraiment plus agréables.
Vous souhaitez covoiturer avec Karos pour vous rendre au travail ? Téléchargez l’application !
Dans le contexte actuel, la voiture et son impact écologique sont de plus en plus pointés du doigt. Pourtant, elle est indispensable pour certains et reste le moyen de transport quotidien le plus utilisé. C’est pourquoi avec la Loi d’Orientation des Mobilités et le Forfait Mobilités Durables, on cherche de nouvelles alternatives. Voiture électrique, vélo, navette sont des solutions évoquées. Mais elles nécessitent des budgets parfois conséquents, ou tout simplement ne correspondent pas aux besoins réels.
Et le covoiturage alors ? Il n’oblige pas l’investissement de vos collaborateurs ou de vos administrés dans un nouveau mode de transport. Il réduit l’autosolisme et donc les émissions de CO2 émises par les voitures. Il permet de faire de nouvelles rencontres ou de renforcer les liens avec ses collègues et voisins.
Si vous vous questionnez sur le covoiturage et sur les écueils à éviter, vous êtes au bon endroit. Chez Karos, nous avons déjà pensé à tous les obstacles potentiels et aux solutions pour y faire face.
Voici donc 5 conseils pour mener à bien votre projet de covoiturage.
1. Changer les comportements
Le covoiturage implique de changer ses habitudes. Mettre en place un projet de covoiturage, c’est proposer une nouvelle façon de se déplacer à vos collaborateurs. Pour opérer ce changement de comportement, communiquer sur le projet sera essentiel.
Il faut alors identifier quels angles de communication pourront servir de leviers pour déclencher une prise de conscience. Par exemple, en 2018, selon l’INSEE, la mobilité est devenue le 1er poste de dépense des foyers français. Vos collaborateurs ont certainement ressenti le poids de leur voiture sur leur budget, mais ont-ils vraiment conscience de cet aspect ? Les informer les rendra alors plus à l’écoute du projet. Ils comprendront que le covoiturage est une alternative à portée de main.
2. Lever les freins et interrogations de vos collaborateurs
Vos collaborateurs ont maintenant conscience que le covoiturage peut répondre à certains de leurs besoins. Mais concrètement : comment covoiturer pour venir au travail ? Il est tout à fait normal que vos collaborateurs s’interrogent maintenant sur le concret du covoiturage domicile-travail.
“Je ne veux pas rallonger mon temps de parcours ?” “Comment va se passer le partage des frais ?” “Que se passe-t-il si mon covoiturage du soir est annulé ?”
Voici les questions les plus récurrentes. Là encore, il faudra communiquer clairement sur la solution de covoiturage. Notre solution permet d’y répondre concrètement. Par exemple, notre application comprend le trajet habituel grâce à l’intelligence artificielle. Elle se base sur ce trajet pour proposer des covoitureurs sans détours ou perte de temps.
En tant qu’expert de mobilité, nous connaissons ses freins et notre solution est développée pour toujours y répondre au mieux.
3. Avoir une mise en relation efficace
Connaissez-vous les collaborateurs qui habitent à moins de 3 kilomètres de chez vous ? Quels collaborateurs se trouvent sur le trajet d’un autre ?
La mise en relation entre conducteurs et passagers est primordiale. Si celle-ci se fait de manière fluide (des propositions automatiques et adaptées, du choix dans les propositions, etc.), l’usage se développera. À l’inverse, si elle demande trop d’efforts (recherche par soi-même des covoitureurs disponibles, rédaction de l'annonce, etc.), elle découragera les utilisateurs.
Aujourd’hui des solutions technologiques (comme Karos) simple d’utilisation, nécessitant aucune infrastructure technique, vous aide sur la mise en relation et l’organisation des trajets.
4. Transformer le covoiturage en projet vertueux
Pour mener à bien votre projet de covoiturage, il est indispensable de le voir comme un projet vertueux. Pour cela, il faut créer une dynamique positive autour du covoiturage avec des avantages (places de parking réservées, financement des trajets, assistance retour, etc.) Il faut animer votre communauté de collaborateurs covoitureurs (jeu concours, défis, challenge collectif, etc.) Cette dynamique va montrer que vous donnez des moyens pour que ce projet réussisse, donc que vous vous souciez de la mobilité de vos collaborateurs. Cette démarche va développer le sentiment d’appartenance et l’engagement de vos collaborateurs.
5. Mesurer l’impact RH & RSE
Pour mener à bien votre projet de covoiturage, il est indispensable de pouvoir mesurer son efficacité et ses résultats. Chez Karos, nous mettons à votre disposition de façon transparente une série d’indicateurs. Ils ont pour objectif d’être représentatif de la pratique de covoiturage. Vous trouverez ces résultats sur notre plateforme SaaS afin de voir :
- le nombre de covoiturages réalisés sur une période choisie
- la distance du trajet moyen
- les émissions de CO2 évitées
- le nombre d’inscrits
Nos clients peuvent alors enrichirent leurs rapports RSE et confirment leur report modal.
“Dans nos rapports RSE, nous valorisons les émissions de CO2 évitées grâce à la solution de covoiturage Karos”.
Baptiste Vassor, Responsable Innovation à l’UGAP
Aussi, il est important de mesurer les gains de vos collaborateurs : gain en pouvoir d’achat, temps gagné, etc. L’objectif est de suivre les effets positifs du covoiturage sur leur quotidien. Il sera aussi bon de leur communiquer ses résultats afin d’entretenir l’envie de covoiturer.
Ces 5 conseils sont une bonne base pour lancer votre projet de covoiturage. Mais il faut aller plus loin dans la réflexion : comprendre les habitudes de mobilité de vos collaborateurs, les accompagner dans la pratique au quotidien, maintenir l’usage, etc. Pour comprendre ces enjeux, nous vous invitons à découvrir notre solution Karos Entreprises :
Se questionner sur sa mobilité devient de plus en plus répandu et ce pour diverses raisons : environnement, économie, bien-être, etc. Certains optent pour la marche à pieds, d’autres à la trottinette ou encore au vélo. Pourtant la voiture reste le moyen de transport privilégié des Français : ¾ des Français l’utilisent quotidiennement pour aller au travail. C’est pourquoi des alternatives se développent pour permettre à la pratique de la voiture de changer et de répondre aux nouvelles problématiques des Français.
Aujourd’hui, on entend parler de covoiturage domicile-travail et d’autopartage, mais quelle différence y a-t-il vraiment entre ces deux pratiques ?
L’autopartage ou le car sharing : ne pas posséder de voiture
L'autopartage consiste à utiliser un véhicule à plusieurs, par le biais de :
- stations de voitures que l'on peut réserver à l'avance
- de sites de partage de voiture entre particuliers
Généralement, l'opérateur prend en charge la facturation et l'assurance en contrepartie d'une commission.
L’autopartage permet de repenser sa consommation de la voiture. L’idée est de ne pas posséder sa propre voiture, mais d’en avoir une à disposition et de l’utiliser à plusieurs. D’après une étude de l’ADEME, chaque voiture en autopartage remplace 10 voitures particulières et libère 9 places de stationnement. A besoin de mobilité constant, l'autopartage permet de réduire de 30 % en moyenne le nombre de véhicules de fonction ou de service d'une flotte d'entreprise
Le covoiturage quotidien : optimiser ses trajets en voiture
Le covoiturage est le fait de partager sa propre voiture avec quelqu’un qui réalise le même trajet en totalité ou partie. Le partage de frais est une des principales raisons d’être du covoiturage. Le conducteur perçoit une contrepartie et le passager réalise aussi des économies par rapport à d’autres moyens de transports. La seconde raison peut être écologique. Partager sa voiture permet de lutter contre l’autosolisme, c’est-à-dire le fait d’être seul dans sa voiture. En moyenne, on compte 1.1 personnes par voiture. Grâce au covoiturage, le nombre de voitures en circulation réduit.
Seulement, il ne faut pas que le covoiturage soit considéré comme une contrainte : recherche de passagers ou conducteurs, heure de rendez-vous, calcul du partage des frais, etc. C’est pourquoi, chez Karos, nous proposons une application de covoiturage intelligente qui comprend les habitudes de nos utilisateurs. Ainsi, c’est notre algorithme qui combine les meilleurs trajets possibles : pas de besoin de se casser la tête à trouver soi-même des covoitureurs ! L’intelligence artificielle analyse les trajets prévus pour les optimiser et faire gagner du temps à tout le monde.
Passer son permis est pour beaucoup d’entre nous un combat dès les prémices jusqu’à son obtention : budget, inscription, code de la route, heures de conduite accumulées, examen final, etc. Il est parfois difficile de se lancer sachant que cela va nous coûter cher, nous prendre du temps et de l’énergie. Pourtant avoir son permis de conduire est aussi synonyme de liberté, pouvoir aller où l’on veut quand on veut, sans être dépendant des trains ou des copains volontaires.
Aujourd’hui, des solutions vous rendent ce projet plus facile à réaliser. Tour d’horizon de celles-ci !
Financer votre permis avec votre Compte Formation
Une option pour financer votre permis de conduire est de passer par votre Compte de Formation. Ce compte vous permet de cumuler des droits pour valider des formations tout au long de votre carrière professionnelle. L’apprentissage de la conduite fait partie des formations que vous pouvez financer avec votre compte. En effet, le permis B, donc pour conduire une voiture personnelle, est devenu un atout pour votre vie professionnelle. C’est pourquoi il remplit les critères des formations validées par le Compte de Formation.
Il faut cependant remplir quelques critères, à savoir :
- Avoir acquis suffisamment de droits formations sur leur compte CPF
- Expliquer en quoi le permis de conduire permet de sécuriser ou développer votre parcours professionnel
- Choisir une auto-école agréée organisme de formation
- Ne pas avoir fait l’objet d’une suspension de permis B, ni d’une interdiction de le repasser
La Navette : l’auto-école qui vous fait gagner du temps
Les délais pour obtenir son permis de conduire sont parfois très longs, depuis l’apprentissage pour le code de la route jusqu’à l’obtention finale du permis. C’est pourquoi de nouvelles auto écoles viennent bousculer les schémas classiques avec de nouveaux modèles d’apprentissages.
C’est le cas de La Navette par exemple. Leur objectif est que vous obteniez votre permis le plus rapidement possible. En effet, vous pouvez avoir votre permis de conduire en une semaine ! Cela est possible car elle propose donc des formations intensives et rapides, et elle a un grand nombre de places d’examen. La Navette est l’auto-école qui en a le plus sur Paris. Le passage de l’examen de conduite se fait la semaine qui suit celle de la formation.
Pour mettre toutes vos chances de votre côté, un suivi personnalisé permet de vous former selon vos capacités.
Ornikar, l'auto-école en ligne qui révolutionne le permis
De nombreuses auto-écoles en ligne sont apparues au cours des dernières années, proposant des formules simplifiées pour passer le code et le permis plus rapidement et à moindre coût.
C'est le cas d'Ornikar, qui permet à ses utilisateurs d’accéder à un cours de Code de la route complet composé de séries thématiques, tout en leur offrant la possibilité de réviser à n'importe quel moment de la journée et à l'endroit de leur choix. Le passage du permis de conduire quant à lui est facilité grâce à des enseignants de la conduite indépendants disponibles à des heures flexibles. De plus, l'auto-école en ligne Ornikar propose également le financement du permis de conduire via le CPF, de quoi ravir les jeunes actifs ayant encore peu de moyens.
Optimiser vos trajets avec le covoiturage quotidien
Une fois le permis obtenu, pensez à vos trajets quotidiens ! Le trajet domicile-travail est celui que vous allez le plus répéter, alors pourquoi ne pas réaliser des économies grâce à eux et au covoiturage via Karos ? Nos utilisateurs conducteurs économisent jusqu’à un plein d’essence par mois en moyenne. Découvrez le témoignage d’Alexandre qui nous explique les bénéfices d’être conducteur, juste ici !
Nous avons lancé le 19 septembre 2018 une nouvelle offre de transports pour les 38 000 salariés de la zone aéronautique de Toulouse. Transdev et nous sommes lauréats de l’appel d’offre lancé par l’aéroport de Toulouse-Blagnac, Airbus, Safran et ATR dans le cadre du projet Européen COMMUTE, coordonné par Toulouse Métropole.
Les objectifs de ce partenariat sont multiples : offrir une meilleure desserte des sites tout en réduisant les émissions de CO2 de la zone d’activité de Blagnac, amoindrir la congestion automobile aux heures de pointe et optimiser la mobilité des 38 000 salariés en apportant un enrichissement majeur de l’offre de transport déjà existante.
Proposer une nouvelle solution de mobilité quotidienne
L'objectif du projet COMMUTE est de mener des actions pour améliorer notre impact écologie au quotidien. La mobilité est une question centrale. L'enjeu est donc de proposer une solution complète et alternative à la voiture individuelle.
Anne Julia, Responsable Environnement à l’aéroport de Toulouse-Blagnac et cheffe de projet du projet COMMUTE, témoigne des réflexions menées dans le choix de la solution :
"On s’est rendu compte que le covoiturage quotidien domicile-travail n’adressait pas les mêmes questions et les mêmes freins psychologiques que prendre un covoiturage de façon ponctuelle pour aller en vacances ou retrouver des amis."
Aujourd'hui, grâce à Karos, les collaborateurs qui sont utilisateurs de Karos, signifient avec plus de 95% être satisfaits de cette application, mais Anne Julia voit plus loin :
"Notre enjeu maintenant est que l’on doit gagner de nouveaux utilisateurs, mieux faire connaître l’application et porter la bonne parole autour du covoiturage."
"Je ne connaissais pas le covoiturage domicile-travail, Karos a changé cette vision-là."
Grâce à Karos, Marie, salariée à l'Aéroport Toulouse-Blagnac, effectue un gain de temps considérable. Avant Karos, elle devait effectuer un trajet à pieds de 15 minutes pour ensuite rejoindre les transports qui l’amenaient en 45 minutes à l'aéroport. Depuis qu'elle utilise l'application, elle se rend au travail en seulement 20 minutes.
Si vous voulez en savoir plus, vous pouvez visionner le témoignage en intégralité :
Ces derniers jours, notre rythme de vie a été pour le moins chamboulé. Sorties très réduites, travail en pause ou en télétravail, école à la maison, etc. Vous aviez réussi à vous organiser pendant le confinement, mais aujourd’hui cela vous semble compliqué ?
On tente de vous donner quelques conseils pour trouver un nouveau rythme avec le déconfinement.
Chouchouter votre sommeil
Pendant le confinement, de nombreuses personnes ont témoigné d’un sommeil décalé et des difficultés à s’endormir. C’est pourquoi, retrouver un rythme de sommeil plus stable est nécessaire pour reprendre un rythme de vie normal, sans être fatigué.
Pour soigner vos nuits et la qualité de votre sommeil, vous pouvez :
- Ne pas dîner trop tard : on recommande un minimum de 3 heures de digestion avant de se mettre au lit
- Vous méfier des écrans : la lumière bleue produite par vos écrans stimule votre activité cérébrale et peut décaler votre heure d’endormissement
- Reprendre une routine : brossage de dents, douche tiède, tisane, lecture… ces différentes étapes répétées quotidiennement créent un conditionnement mental bénéfique. Cela permet d’indiquer à votre organisme qu’il est temps d’aller se coucher pour trouver le sommeil
Bien séparer les activités de la semaine et celles du week-end
Pendant le confinement, vie privée et vie pro ont dû cohabiter : avancer sur vos missions professionnelles, en étant dans votre salon, gérer l’école à la maison, les courses, les réunions, etc.
Aujourd’hui, pour retrouver votre rythme habituel, il faut redéfinir les limites. L’objectif est de vous sentir moins submergé. Pour cela, vous pouvez établir des listes de tâches et bien délimiter les temps de travail des temps de vie personnelle. La semaine est allouée à votre travail, et le week-end à vos loisirs. L’objectif est d’éviter toute surcharge mentale en devant gérer plusieurs choses en même temps.
Repenser ses trajets pour aller au travail
Maintenant que vous pouvez retourner à votre bureau, identifiez vos anciennes habitudes de travail. Vous allez pouvoir confirmer ou non leur efficacité selon ce que vous avez appris du confinement. De plus, retrouver un environnement familier vous aidera à retrouver vos marques rapidement.
C’est donc l’occasion de repenser votre manière de vous rendre au bureau : transports en commun, voiture, vélo, covoiturage, etc. Pour y voir plus clair en cette période particulière, nous avons réalisé une infographie présentant les avantages et les inconvénients de chacun. Vous pouvez la consulter ici.