Lors de vos covoiturages, il important de porter un masque, d'aérer la voiture et de se laver les mains avant et après pour lutter contre la circulation du Covid-19
Le magazine Karos :
l'actualité du covoiturage et de l'application
Les différents variants du covid-19 nous poussent à rester vigilant et tous mobilisés. Le covoiturage pour aller au travail peut vous aider à vous déplacer. Lors de vos covoiturages, les bons gestes sont à adopter pour votre santé et celle de vos covoitureurs.
Les gestes barrières à adopter lors de vos covoiturages
Pour limiter le risque de contamination et passer de bons covoiturages, quelques gestes déjà connus au quotidien, sont aussi à privilégier dans nos voitures.
- Porter votre masque
- Aérer régulièrement la voiture
- Lavez vous les mains avant et après votre covoiturage
Dans l’application Karos, nous vous rappellerons régulièrement ces gestes pour garder les bons réflexes. Aussi, il vous sera demandé de confirmer le port du masque.
Karos vous aide au quotidien
Notre objectif chez Karos est de continuer à vous proposer la solution la plus économique, écologique, conviviale et la plus sûre sanitairement possible.
Le covoiturage reste aussi un moyen de se déplacer sûr grâce à vous, comme nous l’avons vu dans notre étude. 91,4 % de nos utilisateurs portent toujours un masque de protection lors de leurs covoiturages. De plus, 84,7 % affirment aérer leur voiture pendant le trajet.
Découvrez ici comment Karos vous accompagne au quotidien dans vos trajets domicile-travail.
Pour covoiturer en toute sécurité, téléchargez Karos
Chercheur dans la transition énergétique dans les transports, Aurélien Bigo, apporte un éclairage sur la place de la voiture dans nos vies actuelles. Comment la voiture a façonné nos modes de vie et comment en sommes nous devenus dépendant ? Il aborde aussi les alternatives possibles à ce système tout voiture ainsi que les leviers de transition vers une mobilité plus sobre.
Est-ce que tu peux te présenter ?
Je m’appelle Aurélien Bigo, je suis chercheur sur la transition énergétique des transports, j’ai fait une thèse sur ce sujet que j’ai terminé fin 2020
Pour les curieux, vous pouvez la retrouver ici
En France, 62% des déplacements toutes distances confondues sont réalisés en voiture, et la majorité des pollutions liées aux transports viennent de ce mode. Comment en est-on arrivé au système “tout voiture”?
C'est une question difficile dans le sens où il y a énormément de facteurs à prendre en compte. Tout d’abord, il y a des explications techniques, et notamment la rapidité de la voiture qui permet de faire des trajets porte-à-porte. Aux débuts de l’automobile, cela lui a donné un avantage comparatif qui a fait son succès et entraîné un désintérêt progressif pour les modes pré-existants, comme la marche, le vélo ou la voiture hippomobile.
Deuxièmement, on a eu des politiques publiques qui ont encouragé le développement de l’automobile, pour favoriser la mobilité et la liberté des populations. Elles ont cherché à maintenir un coût de la voiture relativement faible et ont développé un réseau dense d’infrastructures (voirie, parkings…) pour favoriser son développement. La voiture est devenue la solution la plus pratique pour se déplacer, et la vitesse et la distance des déplacements ont ainsi considérablement augmenté au fil du temps. Autour de ce système voiture s’est développé un écosystème de services (réparation, location, assurance…) et toute une filière industrielle, sur laquelle reposent désormais un grand nombre d’emplois.
Par ailleurs, la voiture a façonné les modes de vie, l’organisation des activités (travail, loisir…) et leur localisation. Nos vies ont pour beaucoup été organisées autour de ce moyen de déplacement qui rend par exemple possible le fait d’habiter plus loin de son travail. Cet aménagement du territoire nous rend aujourd’hui dépendants de la voiture, dans la mesure où elle seule devient efficace, notamment dans les zones péri-urbaines et rurales.
La priorité à la voiture et le traitement réservé aux alternatives à la voiture expliquent aussi son hégémonie.
Certains modes alternatifs sont efficaces selon les environnements urbains, selon les types de déplacements mais toutes ne peuvent pas toujours rendre les mêmes services que la voiture. Les alternatives sont soit moins efficaces (du point de vue de la praticité, vitesse) soit on ne leur a pas encore laissé une place suffisante, on n’a pas mis en place suffisamment d’incitations pour que cela puisse contrer l’efficacité, le côté pratique et les habitudes qu’il y a autour de la voiture individuelle.
Enfin, autour de cette forte utilisation de la voiture se sont développées des habitudes fortes mais aussi des imaginaires positifs véhiculés par la publicité, qui tendent à laisser croire que la voiture individuelle est indispensable pour quasiment toute la population et que cette situation ne pourra pas changer à l’avenir.
Le tableau est clair. Dans le périurbain, il est encore plus frappant : 90% des trajets domicile-travail sont réalisés en voiture. Quels autres modes de transport peuvent venir remplacer la voiture ?
Je suis convaincu qu’il y a des solutions. Dans les centres villes et entre les grandes métropoles, où la densité de population est forte, le transport ferroviaire massifié est ce qu’il y a de plus efficace (tgv, le métro, tram…). Lorsque l’on sort de ces zones-là, en zones moins denses, il faut passer à des modes de transport qui sont moins massifiés pour éviter qu’ils soient peu remplis et donc peu efficaces d’un point de vue économique et environnemental.
Après le ferroviaire, les modes de transports suivants vont être les modes routiers; les bus, les cars. Ils ont notamment une zone de pertinence dans le périurbain dense.
Si les flux sont dispersés il est compliqué de mettre en place une ligne. Il faut alors développer l’intermodalité pour ramener des gens vers des modes qui sont plus massifiés (vélo + transport en commun notamment).
Lorsque l’on descend encore en termes de massification on tombe sur l’objet voiture, qui doit être le plus rempli possible, via le covoiturage. Je pense que c’est dans ces zones relativement peu denses, quand les flux sont suffisamment forts pour qu’il y ait un potentiel pour le covoiturage que l’effet environnemental est le plus intéressant : il y a un potentiel à saisir.
Et si l’on passe à des flux qui sont encore moins massifiés ça peut être intéressant de développer des véhicules individuels, voire deux places, qui sont beaucoup plus petits, légers, plus sobres en énergie par rapport à la voiture telle qu’on la connaît aujourd’hui, qui est majoritairement un véhicule de 5 places. Plutôt que d’avoir des véhicules d’environ 1.3t comme on a aujourd’hui, on peut passer à une palette de véhicules entre le vélo classique et la voiture actuelle, dont les plus proches de cette dernière sont les voiturettes (Citroën Ami, Renault Twizy) et autres quadricycles légers. Ce sont des véhicules qui sont moins coûteux que la voiture, et qui pourraient typiquement remplacer les deuxièmes véhicules des ménages multi motorisé qui sont environ 50% dans les zones rurales, 35% à l’ordre national.
Si l’on regarde du côté des modes actifs, le vélo peut couvrir une partie des flux en zone peu dense. Le vélo équipé d’une assistance électrique encore plus : il permet d’avoir un public plus large. Sans oublier le vélo cargo, le vélo pliant (pour l’intermodalité), les vélomobiles, qu’on peut également considérer comme des véhicules intermédiaires entre le vélo et la voiture. Récemment un vélomobile a même battu le record de vitesse de véhicule à propulsion humaine : 144 km/h !
Aujourd’hui la part modale du covoiturage reste faible en France ; Quel est ton regard sur le potentiel du covoiturage si on regarde le chemin à parcourir d’ici 2030 ?
Cela dépend sur quelles zones on raisonne, et des scénarios que l’on choisit. Certaines estimations prévoient qu’autour de 15% des baisses d'émissions moyennes proviendront du développement du covoiturage. Ceci dit, il est très difficile d’isoler le covoiturage (ou d’autres modes) des autres leviers de réduction des émissions.
Ce qu’il faut retenir, c’est qu’il faut concentrer le développement du covoiturage là où il est le plus pertinent : sur des zones peu denses et sur des usages de covoiturage quotidien. Si l’on concentre le covoiturage sur des usages où la voiture personnelle est privilégiée, alors il aura un impact considérable, car aujourd’hui la majorité des émissions du transport provient de la voiture personnelle.
Au-delà du covoiturage, quelle place pour la sobriété dans la transition vers la mobilité durable ?
Dans la stratégie nationale bas carbone, 5 leviers sont cités : la modération de la demande de transport, le report modal vers les modes actifs et les transports en commun, le meilleur remplissage des véhicules, des leviers d’efficacité énergétique et la décarbonation de l’énergie. Les premiers leviers touchent majoritairement à la sobriété des usages plutôt que des leviers techniques.
Donc si on prend les leviers de demande de transport, report modal, remplissage des véhicules et une partie des leviers d’efficacité (baisse du poids et de la vitesse des véhicules) ce que nous montrent les scénarios de prospectives des transports, c’est que l’on peut diviser par deux la consommation d’énergie par rapport à un scénario tendanciel.
Aujourd’hui, si l’on regarde la stratégie de la France et son implémentation, une grande partie des moyens se concentrent sur des leviers assez technologiques plus que de sobriété. Je pense notamment à la modération de la demande de transport via l'aménagement du territoire et de nos modes de vie, peu traitée actuellement. Ces leviers de sobriété sont pourtant cruciaux, notamment pour obtenir des baisses d’émissions à court terme. Pour rattraper ce retard, il faudra combiner tous les leviers, développer une économie de demain qui soutient des entreprises durables, comme Karos, qui allient à la fois technologie et sobriété.
L’importance de ces leviers de sobriété est cruciale quand on regarde au-delà de l’impact carbone. Pour la voiture, la réduction des externalités négatives que ce soit la congestion, la pollution de l’air, l’accidentologie, la sédentarité, la consommation de ressources, de métaux sont liées à la sobriété, plus qu’à la voiture électrique et autonome. Les leviers de sobriété ont bien plus de co-bénéfices que les leviers technologiques, raison de plus pour les solliciter de manière plus ambitieuse.
Chercheur dans la transition énergétique dans les transports, Aurélien Bigo, apporte un éclairage sur la place de la voiture dans nos vies actuelles. Comment la voiture a façonné nos modes de vie et comment en sommes nous devenus dépendant ? Il aborde aussi les alternatives possibles à ce système tout voiture ainsi que les leviers de transition vers une mobilité plus sobre.
L'intelligence artificielle est un algorithme qui permet à une application d'apprendre en permanence
L'intelligence artificielle (IA) est l'ensemble des théories et des techniques mises en œuvre pour créer des machines capables de simuler l'intelligence humaine.
Un peu abstrait comme définition… Tentons d’y voir un peu plus clair !
L’intelligence artificielle qu'est-ce que c’est ?
L'intelligence artificielle peut prendre la forme d’un algorithme qui va analyser en autonomie une très grande quantité de données, pour prendre la bonne décision face à une situation.
On parle d’intelligence car l’IA va adapter ses décisions en fonction des résultats qu'elle obtient, c’est le machine learning. La machine analyse les résultats et les interprète pour savoir quoi faire à l’avenir. C’est un apprentissage permanent.
L’objectif est que ces intelligences artificielles puissent répondre à des problématiques réelles, de notre quotidien.
L’histoire de l’intelligence artificielle
Historiquement, l'idée d'intelligence artificielle semble émerger dans les années 1950 quand Alan Turing se demande si une machine peut « penser ».
Une autre origine probable est la publication, en 1949, par Warren Weaver d'un rapport sur la traduction des langues et son automatisation. Ce rapport suggère qu'une machine pourrait alors faire cette tâche qui semble typiquement faisable que par intelligence humaine.
Pendant de longues années, l’intelligence artificielle va intriguer et occuper bon nombre de chercheurs. C’est à partir des années 90, que se développent des machines basées sur de l’IA, ressemblant de plus en plus à l’image collective que l’on s’en fait aujourd’hui.
Par exemple, en mai 1997, l’ordinateur Deep Blue a battu Garry Kasparov au jeu d'échecs lors d'un match revanche de six parties !
Dans les années 2000, le Web devient plus puissant avec de nouvelles infrastructures de calcul permettant d'explorer des quantités énormes de données sans précédent. C'est l'apprentissage profond ou “deep learning”. Et cocorico : l'un des pionniers est le français Yann Le Cun !
Focus sur : le test du Turing
On parle d’intelligence artificielle, mais c’est quoi une “intelligence” ? C’est un réel défi pour en donner une définition précise. Un défi qu’a voulu relever Alan Turing, mathématicien britannique.
En 1950, Alan Turing propose “le jeu de l’imitation” qui fixait un objectif précis à la science naissante des ordinateurs. Une machine peut-elle simuler une discussion que l’on pourrait avoir avec un humain ?
Pour ce test, il vous faut :
- un juge
- un être humain
- la machine à tester
Le test se passe de la manière suivante :
Le juge va dialoguer d'une part avec la machine et d'autre part avec l’humain à l'aide d'un terminal, mais sans pouvoir les voir.
Au fil de la discussion, le juge va interroger l’humain et la machine. Il devra, ensuite, indiquer qui est une machine, qui est un humain.
Jusqu'à ce jour, aucun logiciel n'a encore réussi ce test, à savoir se comporter de façon à être jugé comme étant un humain.
Ça donne quoi chez Karos ?
Vous vous demandez quel est le rapport entre Karos, appli de covoiturage quotidien, et l’IA ?
Tout l’intérêt d’utiliser Karos est là. Grâce à notre IA, nous rendons le covoiturage simple, autonome et efficace.
Notre application est basée sur l’intelligence artificielle. Notre algorithme va donc analyser une grande quantité de données pour comprendre la mobilité, mieux calculer les propositions de trajets et afficher les covoitureurs les plus pertinents. Il fait ce travail pour chacun de nos utilisateurs.
Les résultats proposés sur Karos sont donc personnalisés : adaptés aux besoins, aux habitudes et aux préférences d’un.e covoitureur.euse. Le tout en préservant votre vie privée !
Et plus il y a de covoiturages réalisés, plus l’algorithme se nourrit et devient performant ! Un vrai petit glouton aujourd’hui, car nous comptons plus de 500 000 utilisateurs. On vous laisse imaginer sa précision 😉
Un exemple concret ? C’est parti !
Prenons Alice, une conductrice sur Karos.
Alice a son itinéraire préféré. Elle refuse donc à chaque fois les propositions en dehors de ses préférences. Aussi, tous les mardis, avant de rentrer chez elle, elle va à la piscine. Son itinéraire est donc différent du reste de la semaine.
Notre IA apprend de ses préférences. Maintenant, Karos ne lui propose que des passagers selon cet itinéraire favoris. Et lui en propose de plus en plus !
Et le mardi, les propositions sont différentes, prenant en compte le crochet par la piscine.
L’objectif ? Vous proposer les covoiturages les plus adaptés à vos besoins, vous simplifier la vie et, évidemment, vous faire aimer vos trajets.
Téléchargez Karos dès maintenant et devenez un as de l’IA !
Découvrez le portrait de Josia, utilisatrice de Karos en Guadeloupe
Tous les mois, retrouvez un portrait d’un ou d’une utilisateur.trice Karos. Chaque membre de la communauté a un parcours différent et intéressant. Pourquoi covoiturer, les bénéfices tirés, les rencontres faites et des anecdotes : tout est là !
Aujourd’hui, découvrez le portrait de Josia, utilisatrice de Karos depuis décembre 2020. Elle nous raconte son parcours sur Karos, pourquoi elle covoiture et quels bénéfices elle en tire au quotidien.
Parlez-nous de vous
Je m'appelle Josia. Je réside en Guadeloupe et je travaille au sein d'une entreprise partenaire de Karos, DAAF-DEAL. J'ai gagné le Grand Challenge Mobilité Durable Karos au sein de mon entreprise 🌱
Sur l'application, je suis Alternante (passagère et conductrice) avec les badges "Confirmé" et "Ambassadeur".
Qu’est-ce qui vous a amené à covoiturer ?
Je covoiturais déjà avec mon compagnon avant que Karos devienne partenaire de mon entreprise. Le passage à l’acte a été facile pour moi, il nous a suffit d’enregistrer nos trajets sur Karos. Il m'arrive de covoiturer avec des collègues notamment pour aller au sport entre midi et deux.
Quels bénéfices ressentez-vous dans votre quotidien ?
Le covoiturage au quotidien permet de ne pas se retrouver seul dans sa voiture. Les premiers temps, j'avais peur que l’application ne s'adapte pas aux imprévus du quotidien qui sont difficiles à anticiper. Après avoir découvert la flexibilité de l’application et avoir trouvé une organisation personnelle, c’est quand même mieux de partager sa voiture.
Que pensez-vous de l’application en elle-même ?
J’ai éprouvé un peu de difficultés aux premières prises en main mais au fil des utilisations, j’ai appris à me familiariser avec l'application et aujourd’hui, c’est devenu un réflexe d’enregistrer mes trajets lorsque j’effectue un trajet.
Que diriez-vous à nos lecteurs pour les convaincre de covoiturer avec Karos ?
Karos est un très bon outil pour le covoiturage du quotidien. L'application est fonctionnelle, accessible et intuitive. Elle me permet au quotidien de trouver rapidement des passagers et des conducteurs qui vont répondre à mes besoins de mobilité. Je la recommande dès que l’occasion se présente à mes collègues et à mes proches.
Vous souhaitez covoiturer avec Karos pour vous rendre au travail ? Téléchargez l’application
Etre plus éco responsable au quotidien en soutenant des actions ethnique, en réduisant nos émissions polluantes et en consommant local
L’actualité nous fait nous questionner sur notre impact sur la planète. D’un point de vue écologique ou social, il nous semble nécessaire de changer nos habitudes quotidiennes. Sans tomber dans la culpabilité ou le stress, certaines actions peuvent être bénéfiques pour l’environnement, pour notre bien-être personnel et pour notre porte-monnaie.
Sans être exhaustif, voici des idées pour devenir plus éco-responsable au quotidien.
Revoir sa manière de consommer : favoriser le local et de saison
D’après l’INSEE, en 2015 : 81% de la consommation des Français était “made in France”. Une tendance qui persiste aujourd’hui. Les Français favorisent des entreprises françaises et locales. Derrière ce phénomène, se cache plusieurs enjeux : économique, sociale et environnementale.
Consommer local, c’est réduire les longs transports de marchandises. C’est donc réduire l’impact environnemental considérable de l’importation (17% des émissions de CO2). La réduction des émissions liées à notre consommation est un enjeu de taille.
Pour être plus éco-responsable, cela se passe donc dans nos paniers à la caisse. Pensez à regarder la provenance des produits. La consommation locale est aussi synonyme de saisonnalité. Cela permet de manger de saison et made in France : c’est souvent plus savoureux et plus économique !
Assurance : soutenir des initiatives responsables
Être plus responsable au quotidien passe par soutenir des fournisseurs de service avec qui l’on partage les mêmes valeurs. Cela peut être votre fournisseur d’énergie, votre banque ou encore votre assurance.
Plusieurs entreprises repensent leurs valeurs et leurs gestions. Cela a pour but de donner plus de sens au projet et développer un impact plus positif sur notre société.
En parallèle, des labels se développent pour identifier et valoriser ces entreprises engagées, comme le label B Corp. Cette certification est octroyée aux sociétés commerciales répondant à des exigences sociétales et environnementales, de gouvernance ainsi que de transparence envers le public. Cela permet aussi de valoriser les entreprises avec une réelle stratégie RSE (Responsabilité Sociétale des Entreprises).
Par exemple, la néo assurance habitation 100% digitale, Luko, a obtenu ce label. Le principal point éthique de cette assurance est leur logique de “giveback”. Luko s’engage à redistribuer l’argent non utilisé pour rembourser les sinistres à des associations. Cet argent ne vient pas accroître leurs profits.
Ce genre de démarche se multiplie, nous donnant la possibilité d’allier nécessité et responsabilité.
Mobilité quotidienne : covoiturer pour réduire son empreinte carbone
Les transports ont un réel impact négatif sur la qualité de l’air. En France, le transport est le premier émetteur d’émissions de CO2. Et la voiture individuelle n’est pas en reste. ¾ des Français l’utilisent quotidiennement pour aller au travail, un trajet récurrent, réalisé plusieurs fois par jour et par semaine.
En France, 50% des trajets effectués font moins de 5 kilomètres. En ville, 40% des trajets quotidiens effectués en voiture font moins de 3 km. Sur ces trajets, il semble possible de trouver des alternatives moins polluantes, comme les transports en commun, le vélo ou la marche à pied, quand la météo le permet.
Cependant, pour bon nombre de Français, la voiture est le seul moyen de transport possible pour aller travailler.
Des solutions existent aussi pour réduire son impact environnemental tout en utilisant une voiture, comme le covoiturage quotidien. L’objectif est de partager sa voiture avec d’autres personnes qui réalisent le même trajet. En covoiturant, on réduit le nombre de voitures sur les routes et donc on réduit les émissions de CO2.
S’il peut sembler compliqué de covoiturer au quotidien, des applications dédiées se développent, comme Karos, pour rendre le covoiturage simple, convivial et efficace. Nos utilisateurs en parlent mieux que nous !
Téléchargez Karos et testez le covoiturage quotidien !
Energie : revoir sa consommation
La consommation d’énergie est un point non-négligeable dans notre vie quotidienne. Son impact environnemental est avéré. On entend beaucoup parler de transition énergétique pour tendre vers un mode de vie moins polluant. Il est évident que l’enjeu concerne tout le monde : gros industriels, entreprises et particuliers, etc.
Pour être plus éco-responsable chez soi, il est d’abord intéressant de revoir son fournisseur et, pourquoi pas, de se tourner vers de l’énergie verte. Elle provient de sources d’énergies renouvelables comme l’hydroélectricité, l’éolien ou le solaire. En utilisant ce type d’énergie, vous réduisez votre impact sur l’environnement, car elles ne génèrent pas, voire très peu, de CO2 dans l’air.
Ensuite, l’enjeu est de réduire sa consommation énergétique. Pour cela, on peut limiter l’utilisation des chauffages, débrancher les appareils électriques ne fonctionnant pas, éteindre la lumière quand on quitte une pièce, etc. Tous ces gestes simples deviennent indispensables ! Combiné aux points précédents, on peut devenir plus responsable au quotidien et limiter son impact négatif sur la planète.
Découvrez le jeu concours de Karos et tenter de remporter le super cadeau de Noël !
Ce matin, le père Noël a déposé un cadeau sans nom au pied de notre petit sapin. Plutôt que de garder cette magnifique surprise pour nous, nous avons décidé de l'offrir à la communauté en organisant un grand jeu concours qui récompense les covoitureurs du mois de décembre !
Les règles du jeu
Tous les jours, du 1er au 24 décembre, le premier covoiturage de la journée sera récompensé par une image du calendrier de l'avent Karos. Chaque image donne une chance d'être tiré.e au sort pour gagner le grand cadeau de Noël. Donc plus vous avez d'images, plus vous avez de chance de gagner !
Par exemple :
- Si vous covoiturez les 8, 9 et 17 décembre, vous gagnerez les images 8, 9 et 17 du calendrier de l'avent Karos. Vous aurez 3 chances de gagner le super cadeau.
- Si vous covoiturez le matin ET le soir du 17 décembre, vous gagnez uniquement l'image 17 du calendrier de l'avent Karos. Vous aurez 1 chance de gagner le super cadeau.
Le 27 Décembre nous allons tirer au sort parmi les utilisateurs un grand gagnant à qui nous enverrons le cadeau ! Vous pouvez lire le règlement complet du jeu concours.
Le grand cadeau de Noël du covoiturage
L'utilisateur.trice qui aura la chance d'être tiré.e au sort gagnera un Samsung Galaxy S21 d'une valeur de 649€. Utiliser Karos c'est bien, utiliser Karos avec un téléphone pareil, c'est juste génial !
Nous vous souhaitons les plus beaux covoiturages et de passer d'excellentes fêtes de fin d'année ✨
Sites éloignés du transport en commun, horaires décalés, difficultés à se garer dans des parkings saturés, personnel soignant soucieux de son pouvoir d’achat… les enjeux liés à la mobilité des centres hospitaliers sont nombreux !
Dans un secteur où le turnover des soignants est important, certains établissements de santé peinent à recruter ou à retenir leur personnel. Face à ces problématiques, les directeurs des ressources humaines et responsables RSE se tournent de plus en plus souvent vers le covoiturage.
Karos détaille pour vous 4 raisons de déployer du covoiturage dans votre hôpital.
1. Comment améliorer la qualité de vie du personnel soignant en renforçant leur pouvoir d’achat ?
1957 euros : c’est le salaire médian d’un salarié de la fonction publique hospitalière en 2019 d’après l’INSEE. Avec des horaires décalés et irréguliers, les soignants font souvent partie des 3 français sur 4 qui utilisent la voiture pour se rendre au travail. Quand on sait qu’une voiture coûte en moyenne 5000 euros par an : c’est un sujet important. Le covoiturage est une solution idéale: les passagers covoiturent à un tarif avantageux; les conducteurs amortissent leurs trajets en gagnant minimum 2€/trajet/passager. En moyenne, les soignants qui covoiturent régulièrement sur Karos économisent 97 euros par mois. En Ile de France, Karos vous offre 6 mois de covoiturages gratuits, les économies peuvent être d’autant plus significatives.
Certains partenaires de Karos, comme l’Assistance Publique des Hôpitaux de Paris, ont déjà fait économiser plusieurs centaines de milliers d’euros à leur personnel grâce au covoiturage.
2. Comment améliorer l’accessibilité de mon établissement de santé ?
Un site facilement accessible est un atout RH à ne pas négliger : 49 % des français trouvent leur trajet domicile-travail désagréable, et 66% leur lieu de travail mal desservi ! Les établissements de santé peinent parfois à attirer ou à recruter, le turn-over peut y être important. Pour remédier à ce problème, de nombreux CHU investissent dans des solutions de mobilité durable, comme le covoiturage, pour gagner en attractivité. Sur Karos, le covoiturage permet aux passagers de gagner en moyenne 27 minutes de trajet. Pour les conducteurs, c’est un moyen de rendre le trajet plus convivial, faire passer le temps, et réduire les risques de perte d’attention, importants sur les trajets nocturnes.
Le covoiturage est un mode de transport peu coûteux et facile à mettre en place. Le plus souvent, dans le cas d’hôpitaux multi-sites, la solution Karos permet de gérer le covoiturage pour tous les établissements depuis la même plateforme.
Enfin, en temps de grève des transports, Karos se substitue au transport en commun et assure une continuité de service. Ce fut le cas sur les 52 sites de l’APHP qui ont réalisé près de 100 000 covoiturages pendant les grèves de 2019.
https://mobilite.karos.fr/hubfs/Videos/Centre-Hospitalier-Versailles.mp4
3. Comment réduire le coût de mes parkings ? Comment éviter la saturation de mon parking d’entreprise ?
Il est souvent difficile de trouver des places disponibles aux abords des hôpitaux, que ce soit pour les personnels soignants ou les visiteurs. Les parkings, régulièrement saturés, représentent un coût important pour les établissements de santé, et n’offrent peu de flexibilité face à l’évolution du nombre de personnel soignant: il est plus facile et nettement moins coûteux de réduire le nombre de voiture se rendant sur le site que d’augmenter la surface de parking disponible. En encourageant le développement du covoiturage, en réservant des places de parking pour les utilisateurs de covoiturage par exemple, des centres hospitaliers désengorgent leurs parkings. Certains sont même capables de réduire la place attribuée à la voiture pour mettre en place des parkings à vélo et vélos électriques.
« Avant Karos, les professionnels se garaient sur l’ensemble de la commune, dans les rues, sur des parkings gratuits. Aujourd’hui, ces rues et ces stationnements sont devenus payants. »
Sonia Gibon, directrice hôtellerie, achat, logistique du CHV
4. Comment réduire l’empreinte écologique de mon établissement de santé ?
Par leur activité, les établissements de santé ont une empreinte écologique importante, et produisent notamment beaucoup de déchets. Pour les sites de plus de 200 collaborateurs, les déplacements de salariés peuvent représenter un volume d’émissions de CO2 et particules fines important. C’est pourquoi, de nombreux centres hospitaliers mettent en place un réseau de covoiturage pour réduire facilement leur impact carbone.
La plateforme Karos Entreprises permet aux établissements de mesurer automatiquement les économies de CO2 réalisées par leurs employés covoitureurs, et de l’inclure dans leur rapport RSE.
A titre d’exemple, les sites de l’APHP ayant déployé Karos ont déjà permis d’éviter près de 150 000 kilos d’émissions de CO2.
Karos vous accompagne dans la mise en place du covoiturage
Leader du covoiturage pour les hôpitaux et établissements de santé, Karos déploie sur 70 sites qui regroupent plus de 110 000 collaborateurs. Plus de 120 000 covoiturages ont été réalisés par nos partenaires qui renouvellent leur partenariat chaque année. En quelques semaines, nos consultants mobilités durable mettent en place la solution Karos et font décoller l'usage du covoiturage dans votre établissement.
Vous aussi, mettez en place le covoiturage pour votre personnel !
Découvrez le portrait de FX, développeur frontend chez Karos. Son objectif : fournir un outil optimal de gestion et suivi du projet de covoiturage de nos clients entreprises et territoires
Tous les mois, nous vous présentons un membre de l’équipe Karos ! Aujourd’hui, découvrez François-Xavier, surnommé FX, notre Développeur front-end qui s’applique à fournir à nos clients la meilleure expérience possible sur nos plateformes SaaS, et automatiser nos processus internes.
Si tu devais résumer ton parcours ?
Après un bac ES, j'ai fait un DUT informatique en alternance, puis j'ai rejoint une chouette école qui s'appelle IN'TECH.
Je suis entré chez Karos en alternance en septembre 2018, et comme je m'y plaisais bien je suis resté.
Qu'est-ce que tu fais exactement chez Karos ?
Je développe les interfaces des SaaS (nos plateformes clients) qu'on met à disposition de nos clients entreprises & territoires, pour les aider à lancer leur projet de covoiturage avec Karos et suivre son évolution.
Depuis peu, je travaille également sur un outil interne, qui permet d'accéder à des ressources, de faire différents paramétrages et de consolider nos process.
Ton objectif principal ?
Fournir à nos clients la meilleure expérience possible, et soulager les équipes de Karos en facilitant et automatisant les processus.
Pourquoi voulais-tu rejoindre Karos ?
C'était super important pour moi que mon travail ait un sens, et d'avoir une équipe avec laquelle je me sente bien.
Coup de pot : on a un impact social, environnemental et financier, l'équipe est incroyable, ET les technos étaient exactement celles que je cherchais.
Qu’est-ce que tu aimes chez Karos ?
Mon équipe de travail, l'équipe au sens large, mes tâches quotidiennes, la farandole de sport qu'on pratique ensemble, les soirées, les petites attentions, les ambitions de la boîte... Y'a de quoi écrire un livre !!!
Ta voiture parfaite, elle a quoi comme fonctionnalité que les autres n’ont pas ?
Les sièges absorbent les prouts... 💨
“Aimer ses trajets” ça rime avec …?
Rouler seul, jamais !
Ta photo sur ton permis de conduire : honteuse ou pas honteuse ?
Plutôt pas honteux, j'ai pas trop changé depuis !
Un fun fact sur toi ?
Je pense acheter (et manger) 40 kg de pâtes par an.
Pour télécharger Karos, c'est par ici !
Et pour découvrir l'équipe, rendez-vous sur notre page Welcome to the Jungle !
L'option coeur-voitureur permet aux conducteurs de ne pas faire payer leurs passagers : la solidarité est encore plus forte avec Karos !
Derrière l’application de covoiturage domicile-travail Karos, c’est un projet à impact. L’objectif principal est de proposer un autre moyen pour se déplacer plus économique, plus convivial et plus respectueux de l’environnement. Aujourd’hui, déjà plus de 500 000 utilisateurs covoiturent avec Karos.
Pour aller plus loin, une fonctionnalité est disponible : l’option "cœur-voitureur". Avec cette option, les conducteurs choisissent de faire covoiturer gratuitement les passagers, sans toucher de contribution de leur part. Mais, les conducteurs et conductrices peuvent toucher la subvention du territoire partenaire, qui finance le covoiturage pour tous ses administrés.
Pourquoi ces conducteurs offrent-ils leurs trajets aux passagers ?
En activant l’option cœur-voitureur, les conducteurs Karos proposent des trajets gratuits à leurs passagers. Leurs motivations sont différentes selon leur profil. Dans un contexte de hausse des prix du carburant, ces conducteurs poussent la solidarité encore plus loin.
Frédéric : redevable de son passé d’auto-stoppeur
« Quand j’étais jeune et sans un rond, j’ai souvent fait du stop. Il y a toujours eu un conducteur sympa pour m’ouvrir sa porte sur le bord de la route et me sortir de mes galères. C’est le moment pour moi de donner en retour. »
Manon : des convictions écologiques pour aller de l’avant
« J’ai fait le choix d’acheter une voiture électrique pour être alignée avec mes engagements écologiques. Tout faire pour prendre un maximum de passagers en covoiturage, c’est rester cohérent à mes valeurs. Chaque matin, je me dis que je contribue à ma petite échelle à diminuer le nombre de voitures sur les routes. »
Anthony : « mes amis, mes amours… mes embouteillages »
« Au début, je le faisais surtout pour l’argent. Mais au fil des semaines et des bavardages dans les embouteillages, j’ai tissé de belles relations et de véritables amitiés. Maintenant je le sais : un nouveau passager c’est un nouvel ami potentiel. Pas question de faire payer un (futur) ami pour un petit trajet dans ma voiture ! Quel que soit le prix du carburant. »
Karos ne prend pas de commissions sur les trajets. Ainsi ces généreux conducteurs proposent des trajets entièrement gratuits à toute la communauté.
Les avantages du covoiturage quotidien
Au-delà de cette fonctionnalité, conducteurs et passagers perçoivent une réelle plus-value à covoiturer pour aller au travail. Les avantages du covoiturage quotidien sont multiples.
100€ d’économisés par mois en moyenne
Pour les conducteurs, ce sont de vraies économies à la fin du mois. Grâce à nos partenaires, les conducteurs perçoivent une contribution qui leur permet de financer un plein d’essence par mois.
26 minutes de gagnées par trajet et des tarifs avantageux
En travaillant avec des collectivités et des entreprises, Karos propose à ses passagers des tarifs très avantageux. Avec leur carte de transport, certains passagers peuvent même covoiturer gratuitement. La voiture devient un moyen de transport en commun !
Ainsi, les passagers peuvent profiter du confort de la voiture au prix d’un ticket de bus. Pour certains, c’est un gain de temps non négligeable : 26 minutes par trajet en moyenne.
97 kg de CO2 en moins par mois
La voiture est une des sources de pollution les plus importantes. On compte en moyenne 1,1 personnes par voiture. On est souvent seul dans notre voiture. Cela entraîne un cercle vicieux et polluant : plus il y a de voitures, plus il y a des problèmes de circulation, plus les émissions de CO2 se multiplient.
En covoiturant, on réduit le nombre de voitures en circulation. Avec Karos, on compte 2,3 personnes par voiture. Ainsi, nos utilisateurs évitent l’émission de 97kg de CO2 par mois ! L’équivalent de 5 jours de chauffage en hiver.
Pour calculer ses avantages personnalisés, il existe la calculette Karos. Une bonne façon de découvrir l’impact positif que peut avoir le covoiturage dans notre quotidien.
Vous souhaitez tester le covoiturage pour aller au travail ? Téléchargez Karos !