Le magazine Karos :
l'actualité du covoiturage et de l'application
Chère communauté,
Après avoir vaincu l’esprit vengeur grâce à votre aide, Audrey se retrouve à nouveau dans une situation où elle a besoin de vous. Lisez l’article pour comprendre ce qui lui est arrivé et on se retrouve sur l’application pour la suite.
Les surprises d'Audrey
Audrey, votre interlocutrice privilégiée sur l’appli se baladait une après midi de printemps, un grand panier rempli de cadeaux en chantonnant comme à son habitude. En prévision de Pâques, elle avait déniché de belles surprises pour sa communauté. Elle sait qu’ils raffolent de cadeaux surtout à Pâques. Eblouie, le soleil dans les yeux, elle ne les vit pas arriver.
Une horde d’énormes lapins se ruèrent vers elle et lui dérobèrent son beau panier...
... reprenant aussitôt leur course et la laissant abasourdie. Rodée aux situations d’urgence, Audrey se ressaisit rapidement et se mit à leur poursuite. Mais ils sont si rapides et semblent connaître leur chemin par cœur ; ils s’éloignent de plus en plus et l’écart semble irrattrapable.
La ruse des lapins voleurs
Une fois à l’abri des regards, le plus fort d’entre eux se saisit du lourd panier sous le regard admiratif des plus petits et le plaça dans un gigantesque coffre-fort pouvant s’ouvrir à l’aide de 5 mots-clés.
Après une réflexion intense, il fut décidé que chaque mot-clé permettant d’ouvrir le coffre-fort serait crypté pour que jamais ce trésor ne leur soit dérobé. Chaque lapin dû choisir un mot clé et le crypter afin que l’ouverture du coffre-fort soit 5 fois plus difficile pour quiconque essaie de récupérer le butin.
La communauté à la rescousse
Mais ceci était sans compter sur la volonté d’Audrey de faire plaisir à sa communauté à l’occasion de Pâques. Elle réussit à se procurer les énigmes et compte sur vous pour l’aider à les déchiffrer !
Elle fait appel à la mobilisation de toute sa communauté pour l’aider à résoudre les 5 énigmes et récupérer les cadeaux !
A la fin d’un covoiturage, vous avez une chance d’obtenir une énigme et des indices. Tentez de la résoudre mais méfiez-vous : les lapins sont très malins ! Entraidez-vous pour trouver les solutions aux énigmes avant qu’il ne soit trop tard.
Comment aider Audrey ?
- À la fin de vos covoiturages, gagnez un des œufs contenant les énigmes
- Déchiffrez les énigmes en demandant de l’aide à vos amis
- Vérifiez votre solution en inscrivant le mot-clé sur l’écran “Mes codes promos”
- Echangez vos solutions avec celles de vos covoitureurs pour remplir la grille
Le mot final est constitué des 4 lettres en couleur mais attention malins comme ils sont, je ne serais pas étonnée que chaque lettre puisse revenir plusieurs fois dans le mot.
Renseignez le mot final dans les codes promos pour avoir une chance de remporter une part du butin de Pâques !
Les conditions du jeu
Les 30 équipages qui auront résolu le plus d'énigmes entre le 6 et le 11 avril 2021 à minuit, seront récompensés. Pour que la solution d’une énigme soit comptabilisée, elle devra être validée dans l’écran “Mes codes promo” sur l’application.
Tous les mois, nous vous présentons un membre de l’équipe Karos ! Aujourd’hui, découvrez Aurélien, notre responsable Mobile qui s’applique à faire de Karos la meilleure application.
Si tu devais résumer ton parcours ?
Après mon Bac S, j'ai fait un IUT Services et Réseaux de Communication (intitulé maintenant Métiers du Multimédia et de l'Internet) à Laval, puis une école d'ingénieurs à Marseille, Polytech Marseille dans la filière Réseaux et Multimédia.
Pendant mes études, les cours en développement mobile n'existaient pas encore, je me suis auto-formé dès 2008 au développement Android. C'est comme ça que j'ai pu rejoindre l'agence Clicmobile où j'ai travaillé sur des applications dans des secteurs variés tels que la musique, l’événementiel ou la banque. J'ai ensuite intégré Viadeo, le réseau social professionnel français, pour développer from scratch l'application Android pour smartphone et tablette.
Je suis maintenant chez Karos depuis 2014, j'étais le 1er salarié.
Qu'est-ce que tu fais exactement chez Karos ?
En tant que responsable Mobile, j'ai plusieurs missions.
La première est de coordonner l'équipe, pour planifier et délivrer les nouvelles fonctionnalités et les améliorations de nos applications. Je propose également des méthodologies et des outils pour renforcer notre vitesse et notre qualité de production.
Mais je suis avant tout un tech, je conçois l'architecture mobile et je développe l'application Android.
Et enfin, en tant que passionné de produit, je suis là pour challenger les propositions UI/UX.
Ton objectif principal ?
Mon objectif principal est de créer le meilleur produit possible.
Aussi bien en termes d'usage, afin d'avoir le produit qui répond le mieux aux attentes et qui soit le plus simple possible à utiliser, qu'en termes de technologie pour que nos applications soient le plus rapide possible et le plus stable possible, sans aucun bug ou crash.
Pourquoi voulais-tu rejoindre Karos ?
Pour moi, faire de l'informatique, c'est être au service des gens, être capable d'améliorer le quotidien grâce à la technologie.
Chez Karos, je suis dans cette optique. J'améliore le quotidien de centaines de milliers de personnes en agissant sur un des moments vu comme le plus pénible de la journée par de nombreuses personnes : le trajet domicile-travail.
Et cerise sur le gâteau, ça fait énormément de bien à la planète !
Qu’est-ce que tu aimes chez Karos ?
Ce que j'aime chez Karos, c'est notre capacité à innover, d'un point vue technologique bien sûr, mais également d'un point de vue business.
Nous avons créé un marché et une technologie pour y répondre, peu d'entreprises se sont créées comme ça.
Ce que j'aime également, c'est notre volonté d'être à l'écoute de nos utilisateurs et de nos clients entreprises et territoires afin de toujours nous remettre en question et nous améliorer.
Ta voiture parfaite, elle a quoi comme fonctionnalité que les autres n’ont pas ?
Ma voiture parfaite, elle serait autosuffisante en énergie, elle pourrait rouler éternellement sans avoir à faire le plein ou la recharger. Peut-être qu'un jour nous saurons faire des panneaux solaires avec un très très haut rendement ?
“Aimer ses trajets” ça rime avec …?
"Utiliser Karos sans arrêt !"
Ta photo sur ton permis de conduire : honteuse ou pas honteuse ?
Alors, je ne dirais pas qu'elle est honteuse, mais j'ai 15 ans quoi... j'ai fait la conduite accompagnée.
Un fun fact sur toi ?
Alors si j'ai une bonne anecdote automobile à raconter, c'était lorsque j'étais en stage au Mexique.
Tous les weekends nous partions après le boulot le vendredi soir en voiture pour de longues heures de route afin de découvrir tous les recoins du pays. Et lorsque nous étions sur la route pour rejoindre la côte pacifique, en pleine nuit, on s'est retrouvé bloqué par un barrage militaire avec véhicules blindés et fusils mitrailleurs.
On ne faisait pas les fiers ! On a appris plus tard que nous étions sur un axe secondaire très emprunté par les narcotrafiquants...
Pour télécharger Karos, c'est par ici !
Et pour découvrir l'équipe, rendez-vous sur notre page Welcome to the Jungle !
Le covoiturage reste un moyen de transport sûr malgré la crise sanitaire liée au covid. Notre étude dispo ici
Depuis le début de la crise sanitaire, nous faisons tout pour garantir la sécurité de nos utilisateurs et pour maintenir notre solution alternative de mobilité quotidienne qui aide plusieurs milliers de personnes partout en France chaque jour. Aujourd’hui, le covoiturage via Karos fait figure d’exemplarité en termes de respect des gestes barrières, en témoigne notre étude menée auprès de 1710 répondants.
Des résultats probants pour Karos
Notre étude révèle aujourd’hui les résultats sur le respect des gestes barrières lors des trajets quotidiens de nos utilisateurs 1. Il en ressort une exemplarité totale des covoitureurs sur Karos qui va à rebours des affirmations du Premier Ministre Jean Castex et de l’Institut Pasteur présentant le covoiturage comme moins sûr que les transports en commun.
Les résultats du sondage montrent ainsi que 91,4 % de nos utilisateurs portent toujours tous un masque de protection lors de leurs covoiturages, contre seulement 2,2 % jamais.
De plus, 84,7 % des répondants affirment aérer toujours ou souvent l’habitacle du véhicule pendant le trajet.
Enfin, il est important de noter que 92 % des covoiturages réalisés sur Karos depuis le 1er mars 2020 se font avec 1 seul passager dans le véhicule, contre 6,5 % avec deux passagers et seulement 1,5 % avec trois passagers. Nos utilisateurs respectent donc le nombre de passagers maximum autorisés par le Ministère de la Santé (maximum 3 passagers).
Nous travaillons depuis mars 2020 en étroite collaboration avec les équipes des Ministère de la Transition Écologique pour définir des règles sanitaires claires à appliquer lors des covoiturages
Et notre communauté d’utilisateurs montre un comportement exemplaire !
Le covoiturage un moyen de transport sûr
Ces résultats prouvent que le covoiturage avec Karos reste l’un des moyens de transport les plus sûrs qui soient en ces temps de crise sanitaire.
Nous n’avons d’ailleurs jamais reçu la moindre information de la part de nos utilisateurs ou autres, concernant la potentielle contamination entre covoitureurs.
« Nous sommes déconcertés par les propos tenus par le Premier Ministre sur le covoiturage, Jean Castex et l’Institut Pasteur semblent confondre trajets entre proches ou amis et covoiturages effectués via une plateforme professionnelle comme Karos avec les règles sanitaires appliquées” Olivier Binet, président et co-fondateur de Karos
Nous continuons à accompagner nos utilisateurs. Des rappels sont faits régulièrement au cours de leur expérience pour garder les bons réflexes. Aussi, il leur est demandé de confirmer le port du masque pendant les covoiturages. Cela a pour objectif de rassurer l’ensemble de la communauté d’utilisateurs et de continuer l’effort commun contre la propagation du virus. Nous savons qu’une mobilisation collective est la seule réponse face à cette pandémie.
Chez Karos, nous continuons et nous continuerons à vous aider chaque jour à vous déplacer, de la manière la plus économique, écologique et, bien sûr, la plus sûre sanitairement possible.
Nous restons à vos côtés durant cette crise.
1 Sondage anonyme réalisé auprès de 1 710 utilisateurs entre le vendredi 19 mars et le dimanche 21 mars 2021
Avec la crise sanitaire, beaucoup d’habitudes ont été bouleversées. Suite aux confinements, le télétravail a été largement mis en place pour les métiers le permettant. Ainsi, les venues au bureau ont diminué, la vie sur le lieu de travail évolue dans le respect des gestes barrières. Mais alors, quel avenir au bureau physique ? Est-il encore d’actualité ? Grâce à l’étude de Paris Work Place et l’IFOP, nous découvrons des éléments de réponse.
Le bureau reste lieu de travail privilégié
La question se pose légitimement sur l’avenir d’investir dans des locaux physiques. En effet, le télétravail devenant une nouvelle norme, le nombre de collaborateurs qui se rendent sur leur lieu de travail a diminué. Ainsi, les trois quarts des salariés interrogés pronostiquent que « dans peu de temps les salariés travailleront davantage en télétravail qu’au bureau » mais pourtant, ils sont moitié moins nombreux à le souhaiter pour eux-mêmes.
Ainsi, le bureau physique reste le lieu privilégié et en adéquation avec les besoins des collaborateurs. Les résultats de l’étude montrent que les équipes préfèrent travailler au bureau plutôt que chez elles : 63% des interrogés disent préférer travailler au bureau.
Un besoin de garder du lien social
Le lieu physique du bureau facilite aussi le maintien de liens relationnels entre les équipes. Malgré le développement d’outils en ligne, la communication physique reste une préférence partagée. Le confinement a fortement souligné le rôle social des bureaux (en vert avant le confinement, en violet après le confinement) :
A l’inverse, travailler chez soi en télétravail développe le sentiment d’isolement. L’étude montre que plus le collaborateur reste chez lui, plus il peut se sentir seul. Le télétravail met aussi en lumière l’importance d’une bonne communication interne : entre le manager et son équipe, et entre la direction et les collaborateurs.
Les relations sociales « physiques » ne sont pas optionnelles pour les collaborateurs, elles sont décrites comme étant vitales. La fin du bureau n’adviendra donc pas de si tôt !
De nombreux leviers peuvent aider à garder le lien entre les collaborateurs. Le covoiturage pour aller au travail fait ses preuves. En tant qu'expert en mobilité quotidien, nous pouvons vous accompagner. Grâce à Karos, les équipes sont décloisonnées et les interactions se multiplient entre les équipes. Un réel esprit de communauté se développe.
Pour plus d’informations, découvrez notre offre dédiée aux entreprises :
Retrouvez l’intégralité de l’étude de Paris WorkPlace ici.
Tous les mois, nous vous présentons un membre de l’équipe Karos ! Aujourd’hui, découvrez Anne, notre Head of User Success and CRM qui s’applique à piloter le service utilisateur.
Si tu devais résumer ton parcours en 3 lignes ?
Après une Licence de Sociologie et 5 ans en tant qu'auto-entrepreneur dans le secteur des produits cosmétiques, j'ai effectué une certification logicielle ERP. En 2019 tout en travaillant, j'ai obtenu un Master Management de la Qualité et Relations Clients à l'IAE de Versailles.
Qu'est-ce que tu fais exactement chez Karos ?
Ma mission principale est de piloter le service service utilisateurs et faire monter en compétence l’équipe User Success.
Ma journée type : Quand des utilisateurs rencontrent des problèmes ou ont des remarques, c'est avec mon équipe que nous les écoutons et les aidons.
Ton objectif principal ?
Fidéliser les utilisateurs et leur rendre la vie plus simple grâce à notre accompagnement pour utiliser au mieux l'application Karos !
Pourquoi voulais-tu rejoindre Karos ?
J’ai été attirée par le projet et j’ai utilisé Karos en tant que passagère, cela m’a beaucoup aidé dans mon quotidien.
L’intérêt était tel, que j’ai répondu à une des enquêtes utilisateurs en indiquant que s’ils cherchaient une personne pour piloter leur service client, je proposerai ma candidature.
Qu’est-ce que tu aimes chez Karos ?
J’ai la chance d’avoir une belle équipe. J’apprécie également le fait d’évoluer dans un milieu challengeant grâce à des équipes Tech, Sales et Marketing performantes !
Ta voiture parfaite, elle a quoi comme fonctionnalité que les autres n’ont pas ?
Elle a un logiciel avec une application liée à mon téléphone : Elle vient me chercher en bas chez moi ! Et avec les sièges chauffés !
“Aimer ses trajets” ça rime avec …?
Aimer partager
Ta photo sur ton permis de conduire : honteuse ou pas honteuse ?
Compliquée je dirais ! J'ai l'air d'en vouloir à la terre entière !
Un fun fact sur toi ?
Chez Karos tout le monde a covoituré avec moi ! L'expérience utilisateur jusqu’au bout :)
Pour télécharger Karos, c'est par ici !
Et pour découvrir l'équipe, rendez-vous sur notre page Welcome to the Jungle !
Il y a quelques semaines, nous avons lu le témoignage de David sur Facebook. Utilisateur de Karos, il explique l’impact du covoiturage dans sa vie et celle de ses passagers.
Ces mots ont particulièrement raisonné au sein de l’équipe. Il décrit exactement ce pourquoi nous travaillons tous les jours. Nous avons voulu en savoir plus et nous l’avons contacté. Ravi, il a volontiers répondu à nos questions. Voici son portrait !
Parlez-nous de vous ?
Je m'appelle David. Je réside à Vermelles (62) et je travaille à Annoeullin (59).
Je suis inscrit sur Karos depuis fin octobre 2020. Et sur l'application, je suis conducteur. J'ai d'ailleurs obtenu le badge "confirmé", avec plus de 125 covoiturages effectués.
Qu'est-ce qui vous a amené à covoiturer ?
Chez moi vivent les enfants de ma compagne, dont un qui prend quotidiennement les transports en commun. Il arrive souvent qu'il soit confronté à quelques déconvenues. Ma femme est en recherche d’emploi. Nous regardons beaucoup où sont situées les entreprises par rapport au transport en commun, car à la maison, nous n'avons qu'une voiture.
Alors, quand j'ai découvert l'application sur la page Facebook de ma commune, je me suis vite inscrit.
Déjà, pour être utile aux autres. Pour permettre à des personnes ne possédant pas de voiture d'effectuer une simple ligne droite pour se rendre sur leur lieu de travail, et en un temps raisonnable.
Quels bénéfices tirez-vous de Karos au quotidien ?
Déjà 2 € par trajet. À raison d'un aller-retour par jour pendant une semaine, cela me fait gagner 20 €. Autrement dit, ça me paye l'essence...
Je ne fais pas de détour, puisque l'application calcule les différents trajets possibles. La personne que je prends en voiture est donc sur ma route.
Et enfin la nature aussi y gagne. Puisque vous divisez le nombre de voiture en circulation, et donc la pollution engendrée.
Que pensez-vous de l’application en elle-même ?
L'application est facile d'utilisation. Après avoir ajouté votre lieu de domicile et de travail, ainsi que vos horaires, vous voyez qui peut se trouver sur votre chemin. Que vous soyez conducteur ou passager.
Que diriez-vous à nos lecteurs pour les convaincre de covoiturer avec Karos ?
Si le fait de covoiturer avec des inconnus vous questionne, il y a le chat directement dans l’application. Ainsi, vous échangez avec les différents utilisateurs, et libre à vous d'organiser un covoiturage avec la personne.
Et en cette période particulière avec le covid, Karos est soucieuse des gestes barrières. À chaque trajet, vous avez connaissance d'un message d'information concernant les gestes barrières à adopter. C’est rassurant pour tout le monde.
Vous souhaitez covoiturer avec Karos pour vous rendre au travail ? Téléchargez l’application !
Vous venez de vendre votre ancienne voiture. Vous voulez opter pour une nouvelle voiture neuve. Mais en faisant vos comptes, vous vous demandez s’il vaut mieux acheter la prochaine ou bien passer à la Location avec Option d’Achat (LOA).
Cette pratique se démocratise et devient de plus en plus courante. En 2017, elle a progressé de 25,7 % et cette croissance continue (source : étude ASF). De nombreux concessionnaires proposent cette option pour l’achat de leurs voitures neuves. La LOA consiste à louer une voiture pendant une longue période déterminée (entre 3 et 5 ans), puis d'avoir le choix de l'acheter ou non. Vous versez tous les mois un loyer. Le contrat de location intègre souvent une prestation d’entretien et/ou de maintenance du véhicule. Puis à la fin de la durée de location, 3 options s’offrent à vous :
- Restituer le véhicule en l’état et repartir éventuellement sur un nouveau contrat de LOA
- Devenir propriétaire en payant le solde de la valeur résiduel du contrat
- Revendre le véhicule d’un montant supérieur à la valeur de reprise pour générer une plus-value
Faut-il acheter ou louer sa voiture neuve ?
Cette question peut sembler banale, mais pourtant, elle sera déterminante pour calculer votre budget voiture.
Dans la mesure où vous souhaitez conserver votre voiture dans la durée (5 ans minimum), acheter présente de nombreux avantages. Tout d’abord, vous devenez le propriétaire du véhicule et n’avez donc aucune contrainte quant à son utilisation. Ensuite, vous pouvez revendre votre voiture neuve ou d'occasion à tout moment pour en acquérir une nouvelle. Il n’y aucune notion d’engagement dans le temps. Cette solution est particulièrement adaptée aux conducteurs qui souhaitent gérer eux-mêmes leur véhicule.
Si vous changez régulièrement de voiture (tous les 3 ans en moyenne), le leasing semble plus adapté. Le principe de la LOA repose sur l’usage, et non plus sur la propriété. L’objectif est de pouvoir régulièrement changer de voiture à moindre frais par rapport à un achat. Celui-ci pourra être moins avantageux que la LOA puisque l'investissement sera plus lourd. Si vous avez recours à un crédit pour acheter votre voiture, les mensualités seront probablement supérieures à celles de la location.
Les avantages de la LOA : flexibilité et liberté
On peut résumer les avantages de la LOA par la flexibilité et la liberté qu’elle donne. Ce type de location rend accessible des modèles de voiture que vous ne pensiez pas pouvoir vous offrir. Elle permet aussi de pouvoir changer de voiture sans les contraintes administratives.
- Un véhicule sans engagement d'achat : utiliser un véhicule, sans pour autant avoir besoin de l’acheter
- La liberté de choisir avec plusieurs possibilités à la fin du contrat : rendre le véhicule, l’acheter, ou même le vendre à une tierce personne, souscrire un nouveau contrat de leasing
- Des mensualités réduites : des loyers plus faibles qu’un crédit à la consommation classique
- La possibilité de changer régulièrement et facilement de voiture : changer selon l’évolution des besoins en matière d’espace, de performances ou d’équipements
- Des services inclus selon les contrats : l’assurance, l’entretien ou encore de l’assistance
Une fausse bonne idée la LOA ?
Malgré tous les avantages de la LOA, il y a tout de même des inconvénients à noter. Rien n'est parfait ! Cela explique pourquoi elle n’est pas adaptée à tous les automobilistes.
- Un coût potentiellement important en cas d'achat : ajouter aux mensualités déjà payées le prix d’achat final (calculé en fonction du véhicule et des mensualités)
- Des contraintes d’usage : un forfait kilométrique est inclus. En cas de dépassement, il est possible que des indemnités soient demandées à l’automobiliste. Aucune modification du véhicule n’est permise durant la période de location, car ce dernier doit pouvoir être rendu en l’état à l’échéance du contrat.
- Un dépôt de garantie peut être demandé en début de contrat (10 à 15 % du prix d’achat, restitué si vous ne vous portez pas acquéreur du véhicule à la fin). En cas de dégradation (autre que dans le cadre d’un usage normal), des frais de réparation seront à votre charge
La solution de la LOA (location avec option d’achat) s’avère adaptée aux conducteurs qui souhaitent rouler dans un véhicule neuf et entretenu, tout en ayant un budget mensualisé et maîtrisé. Par ailleurs, si vous souhaitez rester autonome sur l’utilisation de votre voiture (optimisation, kilomètres parcourus) et investir sur le long terme, l’achat pourrait être la meilleure solution.
Vous voilà bien armé pour faire votre choix ! Sachez aussi que la voiture pèse en moyenne 6000€/an sur votre budget. C’est un budget non négligeable… mais pour réaliser des économies sur vos frais, des solutions et astuces existent. Partagez vos trajets pour vous rendre au travail peut s’avérer bénéfique par exemple. Avec Karos, vous pouvez économiser jusqu’à deux pleins d’essence par mois grâce au partage de frais.
Découvrez les autres avantages que vous réserve le covoiturage avec Karos !
Voici le dernier article de notre série sur sur le thème de la Smart City ou Ville Intelligente. Retrouvez les précédents à propos de la construction de nos villes et à propos de la data.
Dans celui-ci, nous nous interrogerons sur la mobilité des habitants d’une Smart City : gestion de la circulation, réduction des émissions polluantes, penser à toutes les typologies de territoires concernés. Comment rendre la mobilité quotidienne adaptée aux enjeux de la Ville Intelligente ?
La mobilité quotidienne, préoccupation 1ère des Français
La mobilité quotidienne suscite beaucoup d’interrogations et devient un des sujets centraux des débats publics. En effet, c’est une des premières préoccupations des Français, et pour cause ! Le transport est devenu le 1er poste de dépense des ménages en 2019 (18% du budget).
Dans la catégorie des transports, ce sont surtout les trajets quotidiens qui pèsent lourds. Le plus répété quotidiennement est celui pour se rendre au travail, un trajet qui est donc régulier et obligatoire. Il représente 2/3 des trajets réalisés entre le lundi et le vendredi.
Aujourd’hui, ce trajet quotidien se fait la majorité du temps en transport individuel. En général, c’est la voiture qui est utilisée : 70% des Français se rendent au travail en voiture.
En moyenne, la voiture coûte 6 063€ à l’année. Cette somme comprend les frais d’entretien, les frais de carburant, l’assurance et d’éventuels frais supplémentaires comme la location d’un parking. Cependant, la voiture est souvent perçue comme étant plus confortable, offrant une liberté de circulation et de l‘autonomie sur ses horaires et ses habitudes. C’est pourquoi, elle est souvent utilisée par un seul individu. En effet, on compte en moyenne seulement 1.06 personnes par voiture. L’autosolisme est donc une pratique majoritaire. Cela engendre un questionnement sur l’impact environnemental de la voiture et de ces trajets quotidiens. Le transport est le 1er secteur émetteur de gaz à effet de serre (30% du total) et la voiture individuelle alimente fortement cette part.
Chez Karos, nous soutenons l’idée que les sièges vides des voitures individuelles représentent une opportunité pour la mobilité quotidienne et pour l’environnement. En moyenne avec Karos, nous comptons 2.3 personnes par voiture. Le covoiturage permet aux conducteurs de mettre à disposition leurs sièges vides et aux passagers de bénéficier des avantages de la voiture. En réduisant le nombre d’automobilistes seuls dans leur voiture, nous pouvons réduire aussi les émissions polluantes.
L’exemple de Vienne (Autriche) et d’Hambourg (Allemagne) : gérer la circulation quotidienne
Vienne a développé des programmes de « capteurs citoyens » : les automobilistes sont équipés de capteurs qui aident à réguler la circulation mais aussi, entre autres, la qualité de l'air. Toutes les données récoltées sont ensuite rendues publiques. L’objectif est d'informer ses habitants sur la circulation et de limiter les embouteillages.
Le port d'Hambourg affiche clairement son ambition de devenir le premier « port intelligent » au monde. Ce objectif est en bonne voie grâce à des capteurs dont le but de s'affranchir d'un de ses problèmes majeurs : les embouteillages sur les quais. La ville dispose également de capteurs dans les parkings informant les conducteurs de camions, via une tablette, de l'heure d'arrivée de leur livraison. Ils sont aussi informés si un emplacement est libre pour charger la marchandise, libérant ainsi les routes et facilitant la circulation des automobilistes.
La technologie pour simplifier la mobilité
Aujourd’hui, les technologies font partie de notre quotidien. Elles viennent nous aider et répondre à des besoins. Pour aller plus loin, des outils sont spécialement pensés pour des questions précises, comme la mobilité. L’enjeu pour les territoires est de proposer des services de mobilité accessibles par tous les citoyens et répondre à leurs différents besoins.
La solution proposée par Karos se base sur une intelligence artificielle. Développée en interne par nos ingénieurs et Data scientistes, elle permet de comprendre les habitudes de mobilité de nos utilisateurs. Notre algorithme comprend d’où l’on part, où l’on va et permet aussi d’indiquer un itinéraire préféré. A partir de cette analyse, Karos propose des passagers ou conducteurs qui correspondent à chacun de nos utilisateurs. Ce sont en moyenne 12 profils qui sont proposés et disponibles pour covoiturer. Notre intelligence artificielle se nourrit de chaque trajet réalisé. Elle comprend nos habitudes. Par exemple si un utilisateur va tous les mercredi à la piscine avant de rentrer chez lui, elle va lui proposer des trajets qui prennent en compte cette étape.
Notre technologie va aussi plus loin. Au-delà de comprendre les habitudes, elle va aussi les anticiper. La prédiction est primordiale pour accompagner nos utilisateurs au quotidien. La prédiction permet de mieux calculer les propositions de trajets en prenant en compte toutes les data collectées (les adresses renseignées, les habitudes, les itinéraires réalisés,...). L’objectif est de coïncider au mieux avec les habitudes de nos utilisateurs afin de rendre le covoiturage simple, rapide et efficace.
Penser la Smart City au-delà des centres urbains
La définition de Smart City restreint souvent les réflexions aux centres urbains. La notion d’agora reste encore ancrée et les frontières entre les centres-villes, les périphéries urbaines et les zones rurales demeurent imperméables. Les Smart Cities peuvent aller plus loin que les centres-villes en matière de développement et d’innovation. Les centres villes peuvent représenter le point de départ de projets innovants, mais aujourd’hui, il faut penser les actions à l’échelle du territoire. Ne pas se limiter à des Smart City, mais développer des territoires intelligents et faire rayonner les ondes positives des projets le plus loin possible. Il faut avoir une vision englobante pour pouvoir prendre en considération les enjeux de chaque typologie des zones. Afin de commencer cette démarche, un projet de plus grande échelle va inclure plus de monde. Par conséquent, il réduira la fracture entre les habitants d’un même territoire : créer un sentiment d’appartenance plus large et une adhésion au projet plus forte. Comme évoqué précédemment, la mobilité est une préoccupation très présente pour tous les Français. Elle peut donc être le sujet d’un projet transverse entre les centres-villes et les périphéries. De plus, la mobilité permet de répondre à plusieurs objectifs de Smart City : impact écologique, amélioration du bien-être des habitants, pouvoir d’achat,...
Jusqu’à maintenant, les instances politiques n’envisageaient la mobilité qu’à travers de longs et coûteux projets : réhabilitation de tronçons de rails de trains, développement de nouvelles lignes de transports en commun, investissement dans des infrastructures lourdes. Des projets qui ne concernaient qu’une partie de la population et qui créaient une réelle fracture territoriale entre les centres urbains et les zones rurales. Aujourd’hui, elles cherchent à contrebalancer cela, la Loi d’Orientation des Mobilités (LOM) en est la preuve. Pour plus de détails sur la LOM, nous vous invitons à lire notre article Loi d’Orientation des Mobilités & covoiturage. Cette loi s’adresse à la fois aux territoires et aux entreprises. L’enjeu est politique, social et environnemental bien sûr. Cela montre l’opportunité de construire des territoires intelligents en phase avec les préoccupations réels de leurs habitants.
On dit que la durée de vie d’une voiture est en moyenne de 8 ans. De belles années durant lesquelles on use les pneus, on parcourt des kilomètres. Aujourd’hui, les voitures ont beau être de plus en plus performantes, agréables et sécurisantes, elles finissent toutes par ne plus pouvoir rouler. Que deviennent ces voitures ?
Les voitures ont des composantes très polluantes
Une voiture particulière est principalement composée de métaux (principalement de l’acier : 84.8%) et de différents types de plastique. On retrouve aussi des fluides polluants (huiles moteurs, boîtes de vitesse, liquides de freins...) et des matières organiques non-recyclables.
Chaque année en France, on estime que 1, 5 millions de véhicules deviennent hors d’usage. La prise en charge de la voiture se fait par un centre agréé. C’est primordial et obligatoire par la loi pour permettre de dépolluer, de démonter et de recycler ces véhicules. Ce centre agréé aura la capacité d’isoler les déchets dangereux (batterie, liquides, huile, etc.) des déchets recyclables. Les éléments en bon état peuvent être revendus sous forme de pièces détachées, quand les éléments recyclables seront transformés en nouvelles matières premières. Une voiture pourra être revalorisée à plus de 80%.
Le recyclage d'une voiture : quelle est la marche à suivre ?
Votre voiture ne peut plus vous servir et vous souhaitez vous en débarrasser ?
Trouver un démolisseur
Pour remettre une voiture à un démolisseur agréé, il faut que celle-ci possède encore tous ces principaux équipements. Cela permettra de bénéficier de la reprise gratuite du véhicule.
En France, il y a 1 700 centres de traitement et 60 broyeurs agréés. On peut amener soi-même son véhicule au centre de traitement. Si le transport est impossible, il faut faire appel à un prestataire qui propose la collecte du véhicule dans ses prestations.
Une fois le véhicule remis au démolisseur, celui-ci remettra un certificat afin d’annuler l’immatriculation du véhicule auprès de la préfecture. Ainsi, il n'y a plus de responsable du véhicule.
Officialiser la cessation en préfecture
Une fois le certificat en poche, un délais de 15 jours donne le temps d'aller faire une déclaration de cession pour destruction à la préfecture. Le certificat sera demandé. En retour, un accusé d’enregistrement, qui valide et prouve la démarche, est délivré.
Comment se déroule le recyclage d'une voiture ?
Le recyclage d'une véhicule se fait en 5 étapes :
1 / Prise en charge et expertise du véhicule
Enregistrement réglementaire sur un livre de police et identification (traçabilité par code barre). C’est aussi à ce moment que l’on remet le certificat.
2 / Mise en sécurité
La sécurisation du véhicule permet d’éviter tout danger durant le démontage. A ce moment, les techniciens déclenchent les éléments pyrotechniques du véhicule (airbags,etc..)
3 / Dépollution
Les opérations obligatoires de dépollution sont effectuées (extraction des fluides, batteries, pots catalytiques et filtres à particules).
4 / Déconstruction ciblée
Les pièces et les matières sont démontées et triées en vue de leurs destinations finales.
5 / Commercialisation des pièces et matières
Les pièces d’occasion seront revendues à l'exportation ou sur le marché national (professionnels ou particuliers). Les pneumatiques seront orientés principalement vers la filière de valorisation énergétique ou de valorisation matière. Les autres matières comme les câbles, boîtiers électroniques, plastiques des pare-chocs seront commercialisés vers les filières de recyclage.
Finalement, recycler sa voiture est une marche à suivre assez simple, qui permet à la fois de préserver la planète et d’optimiser nos ressources, en valorisant la majeure partie des déchets !