Une mention obligatoire est maintenant visible sur les publicités automobiles pour promouvoir une mobilité éco-responsable, comme le covoiturage
Le magazine Karos :
l'actualité du covoiturage et de l'application
Vous en avez entendu parler ou l’avez déjà remarqué sur les publicités de voitures, une nouvelle mention fait son apparition !
“Pour les trajets courts, privilégiez la marche ou le vélo”, “Pensez à covoiturer” ou “Au quotidien, prenez les transports en commun” : voilà les fameuses nouvelles mentions obligatoires, à l’instar du “Manger bouger”, "Éviter de grignoter entre les repas" que l’on connaît bien aujourd’hui dans les publicités alimentaires.
Mais que signifie-t-elle réellement ? Qui en est à l'origine ? Pourquoi une telle obligation ?
On répond à vos questions.
D’où vient la mention obligatoire sur les publicités automobiles ?
Depuis mars 2022, les publicités de voitures, motos ou autres véhicules à moteur font apparaître une mention. Elle est le résultat de la Loi d'Orientations des Mobilités et plus spécifiquement d’un article en particulier. Il stipule :
“Toute publicité en faveur de véhicules terrestres à moteur est obligatoirement accompagnée d'un message promotionnel encourageant l'usage des mobilités actives, telles que définies à l'article L. 1271-1 du code des transports, ou partagées, ou des transports en commun.”
Le décret d’application précise alors la mention obligatoire :
“Pour les publicités visées à l'article L. 328-1 du code de la route, les messages prévus à l'article D. 328-3 du même code sont : « Pour les trajets courts, privilégiez la marche ou le vélo », « Pensez à covoiturer », et « Au quotidien, prenez les transports en commun ».”
Le hashtag #SeDéplacerMoinsPolluer est celui aussi à utiliser sur le web.
Ce texte a été suivi par la ministre de la transition écologique, Barbara Pompili, et le ministre délégué auprès de la ministre de la transition écologique, chargé des transports, Jean-Baptiste Djebbari.
Pourquoi il y a une mention obligatoire sur les publicités automobiles ?
Cette mention obligatoire sur les publicités des véhicules à moteur (voitures, motos, etc) est là pour encourager les alternatives de mobilités. Face à la situation écologique, les gestes du quotidien sont aussi importants.
La mobilité et le transport sont polluants. En France, le transport est le premier émetteur d’émissions de CO2. C’est le trafic routier qui pollue le plus l’air et, plus précisément, la voiture individuelle. En effet, ¾ des Français l’utilisent quotidiennement pour aller au travail. Elle est donc indispensable pour de nombreux Français. Il faut donc trouver des alternatives pour chacun.
Cette mention sur les publicités permet d’informer le public sur d’autres moyens de transports ou habitudes : les transports en commun, le covoiturage au quotidien, la marche à pied, etc.
L’objectif est de faire changer les habitudes et rendre l’usage de nos voitures personnelles plus éco-responsables !
Pour covoiturer au quotidien, téléchargez Karos !
Matthieu Theurier, Vice-président de Rennes Métropole en charge des mobilités et des transports et Conseiller municipal, nous a fait le plaisir de discuter de sa vision de l'aménagement du territoire urbain et périurbain dans le cadre d'une interview.
Vous y découvrirez les choix effectués par la métropole de Rennes sur le thème de la mobilité durable et surtout concernant leur plan de restructuration des transports et des infrastructures correspondantes pour les années à venir.
Matthieu Theurier, pouvez-vous vous présenter ?
Je m’appelle Matthieu Theurier, je suis conseiller municipal de Rennes et Vice Président de Rennes métropole en charge des mobilités et des transports. Sur le plan professionnel, je viens du monde de l’économie sociale et solidaire : faire le lien entre ces deux univers me tient particulièrement à cœur.
Ce sont des fonctions que j’occupe depuis 2020, au sein d’une métropole de 450 000 habitants qui a pris l’entièreté de la compétence en termes de mobilité et voirie depuis le début de ce mandat.
Nous travaillons sur l’ensemble de la chaîne de mobilité : les modes historiques comme transports en commun, avec l’ouverture de notre nouvelle ligne de métro ou l’extension du Tramway, la création d’un réseau Express Vélo et des services associés, le développement de la marche à pied, et enfin l’optimisation des trajets voiture grâce au covoiturage.
Toutes ces actions sont bien menées en lien et en concertation avec les 43 communes de la Métropole.
Le plan Climat Air Energie Territorial de Rennes métropole est ambitieux : 80% de déplacements décarbonés sur le réseau STAR, -10% de trafic routier à horizon 2030 - quelles sont vos priorités pour y arriver ?
Les enjeux de mobilité sont au croisement des enjeux environnementaux, et des enjeux de solidarité. La mobilité, quand elle est contrainte, notamment pour la voiture individuelle, a des conséquences fortes en termes de pouvoir d’achat.
Ce qui anime notre politique c’est d’apporter une réponse aux deux enjeux en même temps. Le levier du changement principal de mon point de vue reste le levier économique, tant pour les particuliers que pour les entreprises, même s’il faut embarquer les populations et accompagner le changement.
Le point de départ de notre politique c’est l’apaisement des espaces, tant en secteur urbain que dans des communes rurales. Il faut casser le mythe de la personne qui vit à 50 kilomètres de son lieu de travail et qui doit faire des allers-retours tous les jours, elles existent, mais elles sont minoritaires.
Ensuite, on a une politique ambitieuse sur le vélo parce qu'on estime qu'on a un fort potentiel de développement de ce côté-là. On est un territoire qui a fait une partie du boulot, et on est dans le déploiement de notre réseau express vélo. On a adopté notre référentiel d'aménagement la semaine dernière, avec en particulier des règles de sécurisation des carrefours et de priorité des cyclistes. L'enjeu c'est bien de mettre des gens qui ne sont pas forcément cyclistes aujourd'hui sur les vélos.
Après effectivement on a des investissements lourds sur le développement des transports en commun avec la livraison de notre 2nde ligne de métro et dans la foulée la potentielle construction de 5 lignes de Tram, bus. Le métro c'est un très bon outil de transport en commun en milieu urbain dense : il est automatisé et permet des fréquences à 2 Min. Aujourd’hui, on transporte 145 000 voyageurs/jour sur la ligne A. Mais il coûte cher donc c'est là que le trams/ bus ont vocation à venir compléter l'offre de métro. L'ouverture de la ligne B du métro nous permet d'effacer des lignes de bus urbains et de les redéployer première et 2nd couronne.
Concernant le changement des comportements, on développe des programmes d'accompagnement qui ont pour but d’aider les gens à réduire leur impact écologique. Et là le covoiturage peut s’avérer être une alternative. Aujourd'hui sur nos heures de pointe, quand on a 100 voitures qui circulent sur la rocade rennaise en heure de pointe, elles transportent 102 passagers. Donc l'enjeu pour nous, c'est d'augmenter les taux de remplissage. On estime que si on arrivait à passer de 102 passagers au lieu de 110, on éliminerait tout phénomène de congestion. En réduisant de 6 % la circulation automobile sur la rocade sur le mois de juin 2020 plus du tout eu de phénomène de congestion.
Le problème c’est que ça se fait souvent dans des situations un peu contraintes où en fait, on voit les taux de remplissage voiture augmenter quand le prix de l'essence et du gazole augmente. Du coup je suis ouvert à ce qu'on teste plein de solutions parce que pour l'instant nous n’avons pas trouvé comment arriver à massifier. On est dans une logique d'ouverture des bandes d'arrêt d'urgence des pénétrantes qui irriguent la rocade aux bus dans un premier temps (la première en juin de cette année) et au covoiturage dans un 2nd temps, au travers partenariat avec l'État. De la même façon, les parcs relais du métro sont équipés d'un système de caméra que l’on expérimente depuis 2 ans, et qui nous permet de réserver tout ou une partie de nos parcs-relais à des covoitureurs. L'idée c'est de progressivement donner des avantages concurrentiels au covoiturage par rapport à la voiture individuelle en évitant les bouchons et en évitant de galérer à trouver une place quand on arrive dans le cœur urbain.
Quelle est la place du vélo aujourd'hui dans votre politique de mobilité durable ? Et jusqu’où l’infrastructure peut-elle vous permettre de monter la part modale du vélo dans les années à venir ?
Il a une belle place prioritaire aujourd'hui. Ceci dit, on a souvent considéré que le vélo ne coûtait pas cher, mais finalement on a parfois sous-investi dans les infrastructures pour en faciliter l’usage. Au contraire, l'idéal c’est de travailler sur un plan de circulation, en rendant l'espace plus accessible pour la marche et le vélo. Dans le centre-ville de Rennes, on a fermé les quais nord à la circulation, et on est passé de 6000 voitures jour à 5500 vélos/ jour en 6 mois. Par contre, dans les endroits où on n'a pas la possibilité de pousser la voiture, on est en train de construire un réseau express vélo de 105 km qui devrait être prêt pour 2024 pour lequel un budget d’une quarantaine de millions d'euros est investi aujourd'hui sur de la construction d'infrastructures. L’accent est vraiment mis sur la sécurité des cyclistes (priorisation des vélos, ralentissement des voitures, marquages au sol spécifiques). A côté nous avons un schéma directeur vélo qui fait 500 km d’aménagements et on estime qu’il y en a 200 qui sont déjà existantes et 200+ qui restent à faire ou à améliorer. On a également intégré à notre délégation de service public les services associés au vélo.
Et du coup à votre avis, jusqu'où peut-on porter la part modale ?
Notre plan de déplacement urbain (adopté en janvier 2020) est fixé à un objectif de 9% de parts modales à l'horizon 2030 même si gouvernement a depuis fixé cet objectif de 9% à l'échelle nationale pour 2025. On préfère rester prudents parce qu'il y a toujours cette différence entre l'augmentation du volume de déplacements et la part modale. C’est un sujet prioritaire pour nous.
Si l’on caricature, le vélo peut être une solution pour les déplacements de centre ville. La métropole de Rennes englobe des communes qui sont moins denses dans la grande périphérie. Comment est-ce qu'on fait de la mobilité durable dans ces territoires ?
Je fais une réponse que souvent mes collègues où nos concitoyens ont parfois un peu de mal à entendre : je ne distingue pas les problématiques de mobilité entre le secteur urbain et le secteur rural. Quand on regarde les typologies de déplacements, ils sont plus longs pour les habitants de la ville de Rennes que quand vous habitez à Bruz ou à Miniac. A une nuance près, c'est qu'en fonction de l'intensité de service public ou de services commerciaux que vous avez sur votre commune là, on peut avoir des variations.
Donc, pour moi, le premier enjeu sur les espaces plus ruraux en matière de mobilité, c'est d'abord la présence de services qui soient publics, commerciaux pour justement limiter le déplacement contraint et le temps de déplacement. Le deuxième c’est l’infrastructure, dans le centre de Rennes, vous avez un trottoir qui vous amène depuis chez vous jusqu'à là où vous voulez quand alors qu’effectivement quand vous habitez en campagne, vous prenez la voiture pas que pour une question de distance, mais une question de sécurité.
Aussi, nous expérimentons le covoiturage, notamment avec une ligne de covoiturage qui essaie de se rapprocher de la logique qui est celle qu'on a sur le transport en commun, c'est-à-dire de la fréquence de passage et de l'amplitude horaire, dans une logique de ligne.
Enfin, sur le périurbain il y a un sujet dont je n'ai pas parlé, qui me tient à cœur, c’est l'optimisation des étoiles ferroviaires sur les grands bassins urbains. Il a beaucoup d’optimisation à aller chercher dans les prochaines années pour mieux desservir ces territoires périurbains avec du transport en commun et du covoiturage.
Covoiturez gratuitement au quotidien avec Karos grâce à votre carte de transport, votre employeur, votre campus, etc
Depuis quelques mois, l’actualité est marquée par une hausse des prix du carburant et une inflation globale. Cela pousse les Français à trouver des alternatives et des astuces pour économiser sur leurs dépenses quotidiennes, notamment leur plein d'essence ou de diesel.
Selon l’Insee, la voiture est le 1er pôle de dépense. Elle pèse lourd sur les budgets des ménages Français (6000 € en moyenne par an.) Mais la voiture reste incontournable : ¾ des Français l’utilisent quotidiennement pour aller au travail. A noter aussi que seuls 35% des emplois sont aujourd’hui télétravaillables.
Le covoiturage domicile – travail est alors adopté par de plus en plus de conducteurs et de passagers ! Pourtant beaucoup ignorent qu’ils peuvent économiser encore plus en bénéficiant du covoiturage gratuit.
Salariés, travailleurs précaires, étudiants, détenteurs d’une carte de transport public,… Voici comment profiter de cette gratuité !
Salariés : découvrez le « covoiturage de fonction »
À défaut d’avoir un véhicule de fonction, chaque salarié a droit à du « covoiturage de fonction » entièrement offert au sein de leur entreprise.
Depuis le 1er janvier 2022, les salariés peuvent obtenir de la part de leur entreprise des “titres mobilité”, l’équivalent du ticket resto mais pour se déplacer. La Loi d’Orientation des Mobilités incite en effet les entreprises à promouvoir les mobilités douces dont le covoiturage domicile – travail.
Si la plupart connaissent le Forfait Mobilités Durables (500 € / an pour un salarié), elles sont moins nombreuses à savoir que les solutions de covoiturage domicile – travail offrent des dispositifs encore plus avantageux : Karos peut par exemple proposer 6 mois de covoiturages passagers gratuits et entièrement rémunérés pour les conducteurs.
Travailleurs précaires : profitez de la fonctionnalité « cœur-voitureurs »
Pour marquer leur solidarité auprès des personnes les plus modestes, certains covoitureurs refusent de se faire rémunérer par les passagers.
Il est possible de covoiturer gratuitement avec eux pour aller à son travail, comme si l’on faisait du stop. Sur notre application Karos, on surnomme ces généreux conducteurs les “cœur-voitureurs”, du même nom que notre fonctionnalité qui active la gratuité. Ils font le plein de sens en aidant ceux qui n’ont plus les moyens de faire le plein d’essence.
Étudiants : allez en cours gratuitement avec Karos
Suite à la crise du Covid, de très nombreux étudiants n’ont pas eu les moyens de trouver un logement proche de leur université et peinent à boucler les fins de mois.
Chez Karos, nous voulons aider les étudiants en leur apportant un gain de pouvoir d’achat et une solution plus écologique pour se déplacer. Nous avons donc conçu le programme 3 Millions de Covoit’ (3MC) à destination des campus. Il permet aux étudiants de profiter de trajets entièrement gratuits en tant que passager et d’une rémunération attractive en tant que conducteurs. 35 établissements supérieurs partout en France l’ont déjà testé. Face aux premiers succès, l’opération va se déployer plus largement en 2022.
C’est la vente de Certificats d’Économies d’Énergie (autrement dit les entreprises polluantes) qui finance entièrement ce dispositif solidaire et rémunère de manière attractive les conducteurs.
Si un étudiant souhaite profiter du covoiturage gratuit, il lui suffit de demander à son BDE de contacter nos équipes Karos Campus.
Abonnés au transport public : prenez un covoit comme un bus
Trop peu de personnes le savent mais de plus en plus de collectivités locales en France encouragent le covoiturage domicile – travail. Elles l’intègrent comme un transport en commun à part entière.
Les possesseurs de cartes de transport ont donc bien souvent accès à du covoiturage gratuit sans même le savoir ! Par exemple, en Île-de-France, tous les détenteurs d’un pass Navigo peuvent covoiturer gratuitement avec Karos.
Des milliers de trajets sont désormais disponibles chaque jour et maillent encore plus finement le territoire. Ce réseau de transport « augmenté » peut aussi servir de plan B en cas de travaux ou de grèves sur le réseau de transport public.
Karos travaille de plus en plus en étroite collaboration avec différents territoires, pour s’adapter à leurs spécificités de mobilité quotidienne. Retrouvez ici tous nos territoires partenaires !
Faites des économies : un treizième mois pour les conducteurs
Plus les passagers seront nombreux à profiter de ces covoiturages gratuits et plus de conducteurs pourront être rémunérés. Contrairement aux idées reçues, les gains sur ces trajets courts, cumulés quotidiennement, sont loin d’être négligeables. Sur l’application Karos, les conducteurs touchent en moyenne une centaine d’euros par mois. Pour un salarié au SMIC, c’est donc l’équivalent d’un treizième mois ! D'autant plus depuis le 1er janvier 2023 avec la prime de 100€ pour les conducteurs. Grâce à cette prime, les passagers bénéficient de leurs 10 premiers trajets offerts.
Calculez vos gains personnalisés selon votre situation en testant notre calculatrice Karos !
Pour faire des économies et profitez de trajets conviviaux, testez Karos !
Après avoir testé le covoiturage avec plusieurs entreprises à la Réunion depuis 2017, la Région Réunion a choisi la solution Karos Territoires afin de construire un réseau de transport alternatif et durable pour tous les habitants de l’île. L’objectif est de motiver un maximum de personnes à covoiturer au quotidien grâce à un service efficace et financièrement intéressant et ainsi de réduire les embouteillages. Aujourd’hui, Karos est la seule application spécialisée dans le covoiturage à s’étendre sur tout le territoire de la Réunion, proposant ainsi ses services sur place à plus de 850 000 personnes.
Covoiturage à la réunion : Karos une solution simple pour faire des économies
Notre solution a été pensée pour permettre un accès simplifié et agréable pour tous les utilisateurs qui souhaitent covoiturer au quotidien et s’assurer ainsi de nombreux avantages. Pour ce faire, il suffit de télécharger l’application à partir de l’App store/ Play store, de renseigner son domicile et son lieux de travail et l’application fait le reste et vous propose uniquement les meilleurs trajets qui vous permettront de réduire au maximum votre temps de transport. Conducteur ? Inscrivez-vous dès maintenant pour faire des économies de carburant tout en égayant vos trajets du quotidien sans même avoir à changer vos habitudes.
De plus, nos services sont maintenant facilités à la Réunion, grâce au soutien de la région qui a décidé d’agir en faveur de la mobilité durable en ouvrant plus de 400 places de parking réservées et en proposant des tarifs préférentiels aux utilisateurs. Ainsi, les conducteurs pourront toucher au moins 2€ par passager sans faire exploser les coûts pour ce dernier (à partir de 0.50€).
“C’est la première fois en Outre mer que le covoiturage est subventionné à l’échelle de tout un territoire, permettant ainsi une mobilité vertueuse et accessible à tous ses habitants''
Irshad Akhoune, représentant de Karos à La Réunion.
Un réseau d’entreprises engagées pour le covoiturage qui ne cesse de s’agrandir
Tout cela n’aurait jamais été possible sans le soutien des entreprises avec lesquelles nous travaillons depuis maintenant près de 3 ans et qui nous ont renouvelé leur confiance malgré les incertitudes liées au Covid. Et cela est notamment dû aux efforts de chacun en ce qui concerne le respect des gestes barrières (port du masque) et la flexibilité de l’application qui permettent à chaque utilisateur de se sentir en sécurité lors de ses covoiturages quotidiens.
Et ce n’est pas fini ! La communauté des employeurs pro-covoiturage à la Réunion continue de s’élargir avec l’adhésion du SGAR à la solution Karos et sa mise en place pour près de 1000 agents de l’Etat présents à la Réunion (majoritairement à Saint-Denis et Saint-Pierre). L’objectif à long terme aura un un impact très bénéfique pour de nombreux automobilistes grâce à un désencombrement progressif des axes nationaux N1 et N2.
Découvrez le classement des radios préférées des Français pour covoiturer : NRJ, Nostalgie, Skyrock !
Avec le contexte économique et écologique actuel, le covoiturage domicile – travail prend de l’ampleur. Perçu comme une réelle alternative de mobilité quotidienne, les automobilistes changent leurs habitudes !
Alors que “trajet en voiture” rime souvent avec “écouter de la musique” et “chanter à tue-tête”, nous avons posé la question à nos utilisateurs : mais alors est-ce aussi le cas lors de covoiturages ? 🤔 Nous avons reçu plus de 1000 réponses de conducteurs pratiquant du covoiturage domicile-travail, sur l’application Karos pour en savoir plus.
Nous pouvons donc établir pour la première fois un classement des radios les plus écoutées en covoiturage. Et les résultats vont vous surprendre !
Arrivent en tête sur le podium, les radios NRJ, Nostalgie et Skyrock !
Musique et bonne humeur privilégiées par les covoitureurs
Assurément, les conducteurs privilégient la bonne ambiance, avec des passagers d’âges parfois très différents et qui ne se connaissant pas forcément entre eux.
Les radios généralistes et d’informations en continu (France Inter, RTL, France Info) s’avèrent les grandes perdantes de ce classement au profit des radios plus musicales comme NRJ, Nostalgie, Skyrock et Chérie FM.
Ça peut en étonner plus d'un, mais la jeune génération (18-25 ans) ne boude pas Nostalgie ! Elle arrive 3ème, derrière NRJ et Skyrock. Peu importe les questions de générations, la musique rassemble. La bonne humeur est donc de mise !
Le commentaire d’Adrien, un conducteur régulier, résume à lui seul les nombreux retours reçus lors de l’enquête :
« Seul, j’ai tendance à écouter France Info ou France Inter. Avec des passagers, j’évite les infos anxiogènes et les sujets clivants ou politiques. Je préfère NRJ pour la musique et surtout la bonne humeur. »
Des conducteurs qui écoutent (et font écouter) davantage la radio en voiture
Alors que le covoiturage domicile – travail est en pleine explosion, cette nouvelle manière de se déplacer a des conséquences directes pour l’audience des radios.
Des passagers en covoiturage qui n’écoutaient pas habituellement la radio sont susceptibles de devenir par la suite des auditeurs plus réguliers.
Les conducteurs les plus actifs qui accueillent de nombreux passagers très différents jouent donc le rôle de prescripteurs. Cela va créer de nouvelles habitudes d'écoute à la fois chez le conducteur (qui adapte sa radio selon ses covoiturages) et chez les passagers (écoutent la radio plus régulièrement).
Les trajets domicile-travail se réinventent et peuvent aussi influencer des habitudes au-delà de la voiture !
Voici le classement complet des radios préférées pour covoiturer :
Peguy est responsable E-CRM chez Karos. Son objectif : aider nos utilisateurs à covoiturer sans problèmes
Tous les mois, nous vous présentons un membre de l’équipe Karos ! Aujourd’hui, découvrez Peguy, notre Responsable E-CRM qui veille à ce que tout se passe bien pour les équipes.
Si tu devais résumer ton parcours ?
Diplômée de l'Ecole de Commerce de Dijon, je suis venue à Paris pour un stage et je ne suis jamais vraiment repartie. J'ai mis un pied dans l'univers automobile lors d'un stage chez Midas et j'ai été très curieuse ensuite d'assister de plus près à la transformation de ce secteur. C'est ainsi que je me suis retrouvée en 2016 chez Karos, un des précurseurs des nouvelles mobilités !
Qu'est-ce que tu fais exactement chez Karos ?
Nous étions 12 lorsque je suis arrivée alors je suis passée par plusieurs postes. D'abord en charge du service utilisateur, puis de l'usage de l'application chez nos partenaires, j'occupe depuis 4 mois le poste de Responsable E-CRM.
Mon rôle consiste à trouver des scénarios dans lesquels l'utilisateur pourrait rencontrer des difficultés, puis essayer de l'accompagner avec le bon message au bon moment. Il y a 2 volets à ce métier : un volet analytique, pour mesurer la conversion ce qu'on fait ; et un volet plus créatif où l'on réalise des contenus efficaces. C'est plutôt un bon équilibre !
Ton objectif principal ?
Mon objectif principal est de m'assurer que l'utilisateur soit bien accompagné. Je veille à ce que chaque message soit adapté à sa problématique.
Pourquoi voulais-tu rejoindre Karos ?
Le projet m'a paru challengeant et ça s'est confirmé. Et surtout mon entretien d'embauche ressemblait davantage à une discussion intelligente entre 2 personnes qu'à un interrogatoire comme j'avais pu en avoir par le passé. J'ai apprécié l'ambiance et la personnalité alors j'ai dit banco !
Qu’est-ce que tu aimes chez Karos ?
Sur le plan externe, j'aime que chaque utilisateur ait une solution de covoiturage adaptée à son mode de vie. En gros que le covoiturage s'intègre à son quotidien et non l'inverse.
Sur le plan interne, j'ai apprécié faire monter en compétences plus d'une dizaine de collaborateurs stagiaires. Plusieurs sont en poste aujourd'hui et même chez Karos. Ils m'ont fait grandir et j'espère les avoir aidés d'une manière ou d'une autre.
Ta voiture parfaite, elle a quoi comme fonctionnalité que les autres n’ont pas ?
Ma voiture parfaite est intelligente et autonome ; elle évite les bouchons et ne freine JAMAIS brusquement. En gros, elle vole ☁
Le petit plus, les sièges sont massants.
“Aimer ses trajets” ça rime avec …?
Gérer ses budgets !
Ta photo sur ton permis de conduire : honteuse ou pas honteuse ?
Question suivante !
Disons juste que ce n'est pas mon meilleur profil…
Un fun fact sur toi ?
En voici 2 :
Mon 2è prénom c'est Audrey... comme Audrey de Karos... Je vous laisse à vos hypothèses !
J'ai le rire très facile. Même dans des situations délicates, je ne peux me retenir. Je crains la crise diplomatique un jour 😬
Pour télécharger Karos, c'est par ici !
Et pour découvrir l'équipe, rendez-vous sur notre page Welcome to the Jungle !
Karos raises 7 million euros to starts its conquest of Europe, with the support of MACIF and the European Commission.
This is a very big step for Karos! The MACIF and the European Commission are investing in Karos, with a 7-million-euro fundraising. These funds will enable us to begin our European, starting with a partnership in Denmark.
We are excited to share this news, which demonstrates that carpooling for daily commuting is a sustainable mobility solution for the future.
A new round of financing of 7 million euros
It's official: we have completed a €7 million financing round with Macif, and the European Commission's EIC Fund!
Macif's commitment, via its VC Fund Macif Innovation, reflects the willingness of a major player for French people, with 5.5 million members, to support forward-looking companies with impactful projects, such as Karos.
"Macif is proud to support the deployment of Karos, thus contributing to the development of a new kinf of shared transport that makes daily commuting easier for people while limiting the ecological impact," says Erwann Bertheleme, Director of Macif Innovation.
The European Commission has chosen Karos to make its second investment in France, via the EIC Accelerator programme. The objective of this programme is to accelerate the rise of the most promising technologies. Supporting these new technologies is also a lever to address the major challenges of the European Union. With Karos, we are actively participating in the reduction of greenhouse gas emissions.
"We are very pleased to support Karos through the EIC Fund to make daily mobility habits evolve. This fundraising will help Karos to contribute to reducing greenhouse gas emissions in urban areas, and to accelerate the transition to sustainable mobility in cities" said Kerstin Bock, member of the EIC Fund Committee.
Furthermore, we are very grateful that our historical investors have renewed their support. The investment funds Aster, Eiffel Investment Group and Aglaé Ventures are still contributing to our development, which confirms the positive growth of Karos.
On the way to Europe with a first contract in Denmark
Since our creation, we have proven the efficiency of our concept with more than 400,000 users and more than 150 corporate and local authority clients in France.
With the support of the European Commission, it is time for us to move forward with our expansion abroad.
And it' s starting now! We have signed our first major contract with FDM to deploy our know-how in Denmark. Founded in 1909, FDM is the Danish motorists' association. The partnership aims at providing all our technological and methodological services to individuals, employers and local authorities under the local brand Ta'Med.
"We are proud that FDM have the opportunity to play a leading role in the development of carpooling. With this new collaboration, FDM brings French experience and technology to the Danes. For the benefit of the Danish society," says Thomas Møller Thomsen, CEO of FDM.
Finally, we would like to thank you. This fundraising is a great step forward for us and confirms that our daily work is relevant. We would like to thank all the people who have supported us, but also our users for their encouragement.
On a l’impression qu’il existe depuis toujours, qu’il a toujours réglementé nos comportements sur la route, il s’agit bien sûr du Code de la Route ! Mais qu’en est-il vraiment ? Qui l’a mis en place ? Qui s’occupe de l’actualiser ? Comment a-t-il été défini ? Depuis quand existe ce code ?
Après la lecture de cet article, vous saurez tout sur le Code de la Route !
Depuis quand existe le Code de la Route ?
La création du Code la Route tel que nous le connaissons aujourd’hui à demander du temps.
En 1909, une commission est créée pour travailler sur un projet visant à instaurer des règles de circulation. C’est après la guerre, en 1921 que cette commission reprend son travail, en s’inspirant des travaux de Jules Perrigot. Le Code de la Route sera alors créé et promulgué le 27 mai 1921.
A noter que l'instauration de règles est bien antérieure à l'apparition des premiers véhicules à moteur. Et la première règle fut instaurée en 1804, lorsque Napoléon Bonaparte rend obligatoire de circuler sur la partie de droite de la chaussée.
Qui a inventé le Code de la Route ?
C’est Jules Perrigot qui a inventé le premier Code de la Route en 1904. C’était un inconditionnel de l’automobile, il était même le président de l’Automobile Club Vosgien.
C’est à la suite d’un incident personnel au volant qu’il souhaitera mettre en place un Code de la Route.
En 1904, dans un tournant en haut d’une côte, il se trouve nez à nez avec une autre voiture. C’est l’accident ! L’événement le frappa et lui posa le problème de l’avenir.
La construction automobile va se développer et avec les performances des voitures. Comment instaurer un vivre-ensemble sur les routes ?
Jules Perrigot édite en 1904 le Code la Route. Il comprend 10 articles qui tiennent sur 5 pages. Ces règles sont peu à peu appliquées, sans être réellement officielles. La réputation et la motivation de Jules développent l’autorité naturelle de ce premier code.
En 1921, l’appel de Jules Perrigot est entendu lorsqu’est promulguée « la Réglementation de l’Usage des Voies Ouvertes à la Circulation Publique ». Le Code de la Route entre dans le droit français !
Qui modifie le Code de la Route aujourd’hui ?
Le Code de la Route évolue en suivant nos nouvelles habitudes et besoins. L’objectif est de rester cohérent avec nos comportements et les nouvelles performances de nos voitures.
Aujourd’hui, c’est le ministère de l'Intérieur et la délégation à la Sécurité Routière qui peuvent modifier la réglementation du Code de la Route.
Pourquoi passer le Code de la Route ?
L’apprentissage du Code de la Route est indispensable pour avoir son permis de conduire. C'est la première étape à valider avant de pouvoir commencer à apprendre à conduire un véhicule. Apprendre le Code de la Route permet de maintenir une organisation sur les routes et de rendre nos déplacements agréables et sécurisés.
Pour encadrer cet examen, des auto-écoles sont créées en 1917. L’objectif du Code de la Route est d’organiser la circulation, d’établir des règles de fonctionnement et de limiter au maximum les accidents. A cela s’ajoute aussi la notion de Sécurité Routière, qui travaille à rendre nos trajets les moins dangereux possibles et à sensibiliser tout le monde aux dangers de la route.
Pourquoi le permis de conduire est-il rose ?
La couleur rose a été choisie pour les permis de conduire afin d’éviter les fraudes et falsifications. Depuis 2013, ce sésame à trois volets est remplacé par un nouveau format façon carte d’identité.
Comment passer le Code de la Route ?
Pour passer l’examen du Code de la Route, vous pouvez vous inscrire dans une auto-école. Ensuite, vous pouvez participer à des stages ou à des cours pour apprendre les règles du Code la Route. Cela peut se passer en présentiel ou en ligne.
Aujourd'hui, les auto-écoles se multiplient, vous pouvez donc trouver celle qui vous convient le mieux.
Ensuite, entraînez-vous afin de ne plus faire de fautes. L’objectif est de faire moins de 5 fautes pour valider votre examen du Code de la Route. Au-dessus de 5 fautes, vous devez repasser l’examen. Une fois l’examen du code obtenu, il sera valide pendant 5 ans, le temps de passer votre permis de conduire !
Une fois votre Code de la Route et permis de conduire obtenus, n'hésitez pas à covoiturer avec Karos !
Plusieurs moyens existent pour covoiturer au quotidien ; les applications dédiées comme Karos, les petites annonces sur des forums, etc.
Covoiturer au quotidien c’est partager sa voiture sur des trajets courts et réguliers. A l’inverse, du covoiturage longue distance, nous pouvons aujourd'hui covoiturer aussi sur des distances plus courtes, par exemple, pour aller au travail.
L’avantage du covoiturage quotidien est de compenser ses frais de voiture tout au long de l’année. C’est aussi l’occasion de faire un geste pour réduire son empreinte carbone. En covoiturant, nous réduisons le nombre de voitures sur les routes et donc les émissions polluantes. C’est aussi un avantage pour les passagers qui peuvent retrouver le confort de la voiture et gagner des minutes (voir des heures) sur leur temps de trajet.
C’est pourquoi il y a plusieurs façons de covoiturer au quotidien. Des méthodes plus ou moins faciles, efficaces et flexibles. Faisons le tour de la question ensemble.
Covoiturer avec les petites annonces
Pour covoiturer au quotidien, il existe toujours la méthode des petites annonces. Largement démocratisée, cette technique est souvent utilisée sur les sites web des villes et des communes, sur des forums ou des groupes sur les réseaux sociaux, comme Facebook.
Le principe est simple : on poste son trajet et on attend que quelqu’un nous réponde. Seul problème, cette technique demande d'anticiper son besoin et n’offre aucune flexibilité en cas de contretemps de dernière minute. Aussi, le système de petites annonces ne donne aucune visibilité sur les personnes disponibles avant de poster l’annonce. C’est comme jeter une bouteille à la mer et attendre une réponse.
Covoiturer grâce à une application dédiée
Pour covoiturer au quotidien, les applications dédiées font leurs preuves ! Elles ont été pensées pour rendre l’expérience la plus fiable et efficace possible.
Les avantages de l’application Karos sont multiples.
En covoiturant avec une application comme Karos, vous n’avez plus besoin de chercher vous-même vos covoitureurs. Pour cela, téléchargez notre l’application mobile, puis inscrivez-vous en renseignant votre adresse de domicile et de travail. Notre algorithme s’occupe de trouver les autres utilisateurs disponibles sur cet itinéraire selon vos besoins (horaires, jour, etc). Vous n’avez plus qu’à choisir celui qui vous convient le plus. Vous pouvez même covoiturer avec quelqu’un de différent chaque jour.
Karos s’occupe aussi du calcul des frais. Tout se fait automatiquement chaque mois, dont le versement de la cagnotte directement sur le compte banquaire concerné.
Avec Karos, vous faites des économies, vous gagnez du temps, vous rencontrez de nouvelles personnes et vous agissez pour la planète. Alors calculez vos avantages personnalisés !
Ce sont nos utilisateurs qui l’expliquent le mieux :
Le covoiturage soutenu par votre territoire et/ou votre employeur
Les villes et les employeurs sont de plus en plus investis sur la question de la mobilité. Que ce soit pour leurs administrés ou pour leurs collaborateurs, chacun cherche de nouvelles alternatives à proposer. Le covoiturage quotidien fait partie de ces alternatives. Il devient une réelle solution de mobilité soutenue par les élus et les employeurs.
Chez Karos, nous travaillons avec de plus en plus d’entreprises et de territoires.
Côté territoire, le covoiturage est complémentaire du réseau de transport en commun. Il vient compléter le réseau, là il peut manquer des lignes de bus, métro ou tramway. Il est considéré comme un transport en commun et s’appuie sur les mêmes tarifs, voir est gratuit (comme en Ile-de-France ou en Normandie).
Côté entreprise, le covoiturage permet de proposer aux collaborateurs une alternative pour venir au travail, de les aider sur leur frais de voiture et de faire se rencontrer les équipes. Pour les collaborateurs, ils covoiturent avec des avantages spécifiques (places de parking réservées, tarifs préférentiels, cadeaux à gagner, etc). Aussi, la mise en place de Forfait Mobilités Durables se démocratise, permettant à l’employeur de financer les alternatives comme le covoiturage.
Pour aller au travail en covoiturant facilement et efficacement, téléchargez Karos !