Le magazine Karos :
l'actualité du covoiturage et de l'application
Tous les mois, retrouvez un portrait d’un ou d’une utilisateur.trice de Karos. Chaque membre de la communauté a un parcours différent et intéressant. Pourquoi covoiturer, les bénéfices tirés, les rencontres faites et des anecdotes : tout est là !
Aujourd’hui, découvrez le portrait Maryline, utilisatrice de Karos depuis janvier 2020. Elle nous raconte son parcours sur Karos, mais aussi les belles rencontres et amitiés qu’elle a tissé avec ses passagers et passagères !
Parlez-nous un peu de vous
J'habite à Romainville et je suis secrétaire hospitalière à Paris à Lariboisière. Je covoiture tous les jours de la semaine !
Quelles sont les circonstances qui vous ont amenée à covoiturer ?
J'ai covoituré pour la 1ère fois suite aux grèves des transports en janvier. A la fois par solidarité mais aussi parce que c'est un très bon moyen de faire de vraies économies sur ma voiture. Notre hôpital a communiqué sur la solution Karos et je l'ai trouvée super intéressante. Le fait que les passagers ne paient pas, me rassurait encore plus car je ne me sentais pas mal à l'aise d'être rétribuée par la région.
Quels bénéfices tirez-vous de Karos dans votre quotidien ?
J'ai fait des rencontres supers ! Je suis restée en lien avec certaines covoitureuses, on s'est fait un restau et des sorties. On compte bien continuer ! En général, je covoiture régulièrement avec 3 collègues de l'hôpital et une professeure en BTS. Elle nous a même offert des chocolats et a sympathisé avec ma fille de 9 ans.
D’ailleurs, ma fille aussi aime beaucoup. Pour elle, tous les matins c'est presque une aventure, la rencontre ou les retrouvailles avec les covoitureurs. Elle adore les découvrir, elle discute, elle questionne. Mes covoitureuses prennent souvent des nouvelles de ma fille, ça fait chaud au coeur.
Vos sujets de discussions phares pendant le covoiturage ?
Ces derniers temps, le coronavirus était un sujet récurrent. Mais maintenant, on discute de sujets variés, on parle de tout et de rien.
Que diriez-vous à nos lecteurs pour les convaincre d’utiliser Karos ?
Que les bouchons n'existent plus ! Une anecdote, on est resté une fois 4h dans les bouchons pendant les grèves. Le temps est passé plus vite : nous avons discuté, rigolé. Mes trajets sont vraiment plus agréables.
Vous souhaitez covoiturer avec Karos pour vous rendre au travail ? Téléchargez l’application !
Dans le contexte actuel, la voiture et son impact écologique sont de plus en plus pointés du doigt. Pourtant, elle est indispensable pour certains et reste le moyen de transport quotidien le plus utilisé. C’est pourquoi avec la Loi d’Orientation des Mobilités et le Forfait Mobilités Durables, on cherche de nouvelles alternatives. Voiture électrique, vélo, navette sont des solutions évoquées. Mais elles nécessitent des budgets parfois conséquents, ou tout simplement ne correspondent pas aux besoins réels.
Et le covoiturage alors ? Il n’oblige pas l’investissement de vos collaborateurs ou de vos administrés dans un nouveau mode de transport. Il réduit l’autosolisme et donc les émissions de CO2 émises par les voitures. Il permet de faire de nouvelles rencontres ou de renforcer les liens avec ses collègues et voisins.
Si vous vous questionnez sur le covoiturage et sur les écueils à éviter, vous êtes au bon endroit. Chez Karos, nous avons déjà pensé à tous les obstacles potentiels et aux solutions pour y faire face.
Voici donc 5 conseils pour mener à bien votre projet de covoiturage.
1. Changer les comportements
Le covoiturage implique de changer ses habitudes. Mettre en place un projet de covoiturage, c’est proposer une nouvelle façon de se déplacer à vos collaborateurs. Pour opérer ce changement de comportement, communiquer sur le projet sera essentiel.
Il faut alors identifier quels angles de communication pourront servir de leviers pour déclencher une prise de conscience. Par exemple, en 2018, selon l’INSEE, la mobilité est devenue le 1er poste de dépense des foyers français. Vos collaborateurs ont certainement ressenti le poids de leur voiture sur leur budget, mais ont-ils vraiment conscience de cet aspect ? Les informer les rendra alors plus à l’écoute du projet. Ils comprendront que le covoiturage est une alternative à portée de main.
2. Lever les freins et interrogations de vos collaborateurs
Vos collaborateurs ont maintenant conscience que le covoiturage peut répondre à certains de leurs besoins. Mais concrètement : comment covoiturer pour venir au travail ? Il est tout à fait normal que vos collaborateurs s’interrogent maintenant sur le concret du covoiturage domicile-travail.
“Je ne veux pas rallonger mon temps de parcours ?” “Comment va se passer le partage des frais ?” “Que se passe-t-il si mon covoiturage du soir est annulé ?”
Voici les questions les plus récurrentes. Là encore, il faudra communiquer clairement sur la solution de covoiturage. Notre solution permet d’y répondre concrètement. Par exemple, notre application comprend le trajet habituel grâce à l’intelligence artificielle. Elle se base sur ce trajet pour proposer des covoitureurs sans détours ou perte de temps.
En tant qu’expert de mobilité, nous connaissons ses freins et notre solution est développée pour toujours y répondre au mieux.
3. Avoir une mise en relation efficace
Connaissez-vous les collaborateurs qui habitent à moins de 3 kilomètres de chez vous ? Quels collaborateurs se trouvent sur le trajet d’un autre ?
La mise en relation entre conducteurs et passagers est primordiale. Si celle-ci se fait de manière fluide (des propositions automatiques et adaptées, du choix dans les propositions, etc.), l’usage se développera. À l’inverse, si elle demande trop d’efforts (recherche par soi-même des covoitureurs disponibles, rédaction de l'annonce, etc.), elle découragera les utilisateurs.
Aujourd’hui des solutions technologiques (comme Karos) simple d’utilisation, nécessitant aucune infrastructure technique, vous aide sur la mise en relation et l’organisation des trajets.
4. Transformer le covoiturage en projet vertueux
Pour mener à bien votre projet de covoiturage, il est indispensable de le voir comme un projet vertueux. Pour cela, il faut créer une dynamique positive autour du covoiturage avec des avantages (places de parking réservées, financement des trajets, assistance retour, etc.) Il faut animer votre communauté de collaborateurs covoitureurs (jeu concours, défis, challenge collectif, etc.) Cette dynamique va montrer que vous donnez des moyens pour que ce projet réussisse, donc que vous vous souciez de la mobilité de vos collaborateurs. Cette démarche va développer le sentiment d’appartenance et l’engagement de vos collaborateurs.
5. Mesurer l’impact RH & RSE
Pour mener à bien votre projet de covoiturage, il est indispensable de pouvoir mesurer son efficacité et ses résultats. Chez Karos, nous mettons à votre disposition de façon transparente une série d’indicateurs. Ils ont pour objectif d’être représentatif de la pratique de covoiturage. Vous trouverez ces résultats sur notre plateforme SaaS afin de voir :
- le nombre de covoiturages réalisés sur une période choisie
- la distance du trajet moyen
- les émissions de CO2 évitées
- le nombre d’inscrits
Nos clients peuvent alors enrichirent leurs rapports RSE et confirment leur report modal.
“Dans nos rapports RSE, nous valorisons les émissions de CO2 évitées grâce à la solution de covoiturage Karos”.
Baptiste Vassor, Responsable Innovation à l’UGAP
Aussi, il est important de mesurer les gains de vos collaborateurs : gain en pouvoir d’achat, temps gagné, etc. L’objectif est de suivre les effets positifs du covoiturage sur leur quotidien. Il sera aussi bon de leur communiquer ses résultats afin d’entretenir l’envie de covoiturer.
Ces 5 conseils sont une bonne base pour lancer votre projet de covoiturage. Mais il faut aller plus loin dans la réflexion : comprendre les habitudes de mobilité de vos collaborateurs, les accompagner dans la pratique au quotidien, maintenir l’usage, etc. Pour comprendre ces enjeux, nous vous invitons à découvrir notre solution Karos Entreprises :
Se questionner sur sa mobilité devient de plus en plus répandu et ce pour diverses raisons : environnement, économie, bien-être, etc. Certains optent pour la marche à pieds, d’autres à la trottinette ou encore au vélo. Pourtant la voiture reste le moyen de transport privilégié des Français : ¾ des Français l’utilisent quotidiennement pour aller au travail. C’est pourquoi des alternatives se développent pour permettre à la pratique de la voiture de changer et de répondre aux nouvelles problématiques des Français.
Aujourd’hui, on entend parler de covoiturage domicile-travail et d’autopartage, mais quelle différence y a-t-il vraiment entre ces deux pratiques ?
L’autopartage ou le car sharing : ne pas posséder de voiture
L'autopartage consiste à utiliser un véhicule à plusieurs, par le biais de :
- stations de voitures que l'on peut réserver à l'avance
- de sites de partage de voiture entre particuliers
Généralement, l'opérateur prend en charge la facturation et l'assurance en contrepartie d'une commission.
L’autopartage permet de repenser sa consommation de la voiture. L’idée est de ne pas posséder sa propre voiture, mais d’en avoir une à disposition et de l’utiliser à plusieurs. D’après une étude de l’ADEME, chaque voiture en autopartage remplace 10 voitures particulières et libère 9 places de stationnement. A besoin de mobilité constant, l'autopartage permet de réduire de 30 % en moyenne le nombre de véhicules de fonction ou de service d'une flotte d'entreprise
Le covoiturage quotidien : optimiser ses trajets en voiture
Le covoiturage est le fait de partager sa propre voiture avec quelqu’un qui réalise le même trajet en totalité ou partie. Le partage de frais est une des principales raisons d’être du covoiturage. Le conducteur perçoit une contrepartie et le passager réalise aussi des économies par rapport à d’autres moyens de transports. La seconde raison peut être écologique. Partager sa voiture permet de lutter contre l’autosolisme, c’est-à-dire le fait d’être seul dans sa voiture. En moyenne, on compte 1.1 personnes par voiture. Grâce au covoiturage, le nombre de voitures en circulation réduit.
Seulement, il ne faut pas que le covoiturage soit considéré comme une contrainte : recherche de passagers ou conducteurs, heure de rendez-vous, calcul du partage des frais, etc. C’est pourquoi, chez Karos, nous proposons une application de covoiturage intelligente qui comprend les habitudes de nos utilisateurs. Ainsi, c’est notre algorithme qui combine les meilleurs trajets possibles : pas de besoin de se casser la tête à trouver soi-même des covoitureurs ! L’intelligence artificielle analyse les trajets prévus pour les optimiser et faire gagner du temps à tout le monde.
Passer son permis est pour beaucoup d’entre nous un combat dès les prémices jusqu’à son obtention : budget, inscription, code de la route, heures de conduite accumulées, examen final, etc. Il est parfois difficile de se lancer sachant que cela va nous coûter cher, nous prendre du temps et de l’énergie. Pourtant avoir son permis de conduire est aussi synonyme de liberté, pouvoir aller où l’on veut quand on veut, sans être dépendant des trains ou des copains volontaires.
Aujourd’hui, des solutions vous rendent ce projet plus facile à réaliser. Tour d’horizon de celles-ci !
Financer votre permis avec votre Compte Formation
Une option pour financer votre permis de conduire est de passer par votre Compte de Formation. Ce compte vous permet de cumuler des droits pour valider des formations tout au long de votre carrière professionnelle. L’apprentissage de la conduite fait partie des formations que vous pouvez financer avec votre compte. En effet, le permis B, donc pour conduire une voiture personnelle, est devenu un atout pour votre vie professionnelle. C’est pourquoi il remplit les critères des formations validées par le Compte de Formation.
Il faut cependant remplir quelques critères, à savoir :
- Avoir acquis suffisamment de droits formations sur leur compte CPF
- Expliquer en quoi le permis de conduire permet de sécuriser ou développer votre parcours professionnel
- Choisir une auto-école agréée organisme de formation
- Ne pas avoir fait l’objet d’une suspension de permis B, ni d’une interdiction de le repasser
La Navette : l’auto-école qui vous fait gagner du temps
Les délais pour obtenir son permis de conduire sont parfois très longs, depuis l’apprentissage pour le code de la route jusqu’à l’obtention finale du permis. C’est pourquoi de nouvelles auto écoles viennent bousculer les schémas classiques avec de nouveaux modèles d’apprentissages.
C’est le cas de La Navette par exemple. Leur objectif est que vous obteniez votre permis le plus rapidement possible. En effet, vous pouvez avoir votre permis de conduire en une semaine ! Cela est possible car elle propose donc des formations intensives et rapides, et elle a un grand nombre de places d’examen. La Navette est l’auto-école qui en a le plus sur Paris. Le passage de l’examen de conduite se fait la semaine qui suit celle de la formation.
Pour mettre toutes vos chances de votre côté, un suivi personnalisé permet de vous former selon vos capacités.
Ornikar, l'auto-école en ligne qui révolutionne le permis
De nombreuses auto-écoles en ligne sont apparues au cours des dernières années, proposant des formules simplifiées pour passer le code et le permis plus rapidement et à moindre coût.
C'est le cas d'Ornikar, qui permet à ses utilisateurs d’accéder à un cours de Code de la route complet composé de séries thématiques, tout en leur offrant la possibilité de réviser à n'importe quel moment de la journée et à l'endroit de leur choix. Le passage du permis de conduire quant à lui est facilité grâce à des enseignants de la conduite indépendants disponibles à des heures flexibles. De plus, l'auto-école en ligne Ornikar propose également le financement du permis de conduire via le CPF, de quoi ravir les jeunes actifs ayant encore peu de moyens.
Optimiser vos trajets avec le covoiturage quotidien
Une fois le permis obtenu, pensez à vos trajets quotidiens ! Le trajet domicile-travail est celui que vous allez le plus répéter, alors pourquoi ne pas réaliser des économies grâce à eux et au covoiturage via Karos ? Nos utilisateurs conducteurs économisent jusqu’à un plein d’essence par mois en moyenne. Découvrez le témoignage d’Alexandre qui nous explique les bénéfices d’être conducteur, juste ici !
Nous avons lancé le 19 septembre 2018 une nouvelle offre de transports pour les 38 000 salariés de la zone aéronautique de Toulouse. Transdev et nous sommes lauréats de l’appel d’offre lancé par l’aéroport de Toulouse-Blagnac, Airbus, Safran et ATR dans le cadre du projet Européen COMMUTE, coordonné par Toulouse Métropole.
Les objectifs de ce partenariat sont multiples : offrir une meilleure desserte des sites tout en réduisant les émissions de CO2 de la zone d’activité de Blagnac, amoindrir la congestion automobile aux heures de pointe et optimiser la mobilité des 38 000 salariés en apportant un enrichissement majeur de l’offre de transport déjà existante.
Proposer une nouvelle solution de mobilité quotidienne
L'objectif du projet COMMUTE est de mener des actions pour améliorer notre impact écologie au quotidien. La mobilité est une question centrale. L'enjeu est donc de proposer une solution complète et alternative à la voiture individuelle.
Anne Julia, Responsable Environnement à l’aéroport de Toulouse-Blagnac et cheffe de projet du projet COMMUTE, témoigne des réflexions menées dans le choix de la solution :
"On s’est rendu compte que le covoiturage quotidien domicile-travail n’adressait pas les mêmes questions et les mêmes freins psychologiques que prendre un covoiturage de façon ponctuelle pour aller en vacances ou retrouver des amis."
Aujourd'hui, grâce à Karos, les collaborateurs qui sont utilisateurs de Karos, signifient avec plus de 95% être satisfaits de cette application, mais Anne Julia voit plus loin :
"Notre enjeu maintenant est que l’on doit gagner de nouveaux utilisateurs, mieux faire connaître l’application et porter la bonne parole autour du covoiturage."
"Je ne connaissais pas le covoiturage domicile-travail, Karos a changé cette vision-là."
Grâce à Karos, Marie, salariée à l'Aéroport Toulouse-Blagnac, effectue un gain de temps considérable. Avant Karos, elle devait effectuer un trajet à pieds de 15 minutes pour ensuite rejoindre les transports qui l’amenaient en 45 minutes à l'aéroport. Depuis qu'elle utilise l'application, elle se rend au travail en seulement 20 minutes.
Si vous voulez en savoir plus, vous pouvez visionner le témoignage en intégralité :
Ces derniers jours, notre rythme de vie a été pour le moins chamboulé. Sorties très réduites, travail en pause ou en télétravail, école à la maison, etc. Vous aviez réussi à vous organiser pendant le confinement, mais aujourd’hui cela vous semble compliqué ?
On tente de vous donner quelques conseils pour trouver un nouveau rythme avec le déconfinement.
Chouchouter votre sommeil
Pendant le confinement, de nombreuses personnes ont témoigné d’un sommeil décalé et des difficultés à s’endormir. C’est pourquoi, retrouver un rythme de sommeil plus stable est nécessaire pour reprendre un rythme de vie normal, sans être fatigué.
Pour soigner vos nuits et la qualité de votre sommeil, vous pouvez :
- Ne pas dîner trop tard : on recommande un minimum de 3 heures de digestion avant de se mettre au lit
- Vous méfier des écrans : la lumière bleue produite par vos écrans stimule votre activité cérébrale et peut décaler votre heure d’endormissement
- Reprendre une routine : brossage de dents, douche tiède, tisane, lecture… ces différentes étapes répétées quotidiennement créent un conditionnement mental bénéfique. Cela permet d’indiquer à votre organisme qu’il est temps d’aller se coucher pour trouver le sommeil
Bien séparer les activités de la semaine et celles du week-end
Pendant le confinement, vie privée et vie pro ont dû cohabiter : avancer sur vos missions professionnelles, en étant dans votre salon, gérer l’école à la maison, les courses, les réunions, etc.
Aujourd’hui, pour retrouver votre rythme habituel, il faut redéfinir les limites. L’objectif est de vous sentir moins submergé. Pour cela, vous pouvez établir des listes de tâches et bien délimiter les temps de travail des temps de vie personnelle. La semaine est allouée à votre travail, et le week-end à vos loisirs. L’objectif est d’éviter toute surcharge mentale en devant gérer plusieurs choses en même temps.
Repenser ses trajets pour aller au travail
Maintenant que vous pouvez retourner à votre bureau, identifiez vos anciennes habitudes de travail. Vous allez pouvoir confirmer ou non leur efficacité selon ce que vous avez appris du confinement. De plus, retrouver un environnement familier vous aidera à retrouver vos marques rapidement.
C’est donc l’occasion de repenser votre manière de vous rendre au bureau : transports en commun, voiture, vélo, covoiturage, etc. Pour y voir plus clair en cette période particulière, nous avons réalisé une infographie présentant les avantages et les inconvénients de chacun. Vous pouvez la consulter ici.
La Loi d’Orientation des Mobilités a été votée l’année dernière, le mardi 19 novembre 2019. Cette loi a pour vocation de repenser la mobilité dans sa globalité : covoiturage, voitures électriques, régulation de la circulation, forfait mobilité. Elle s’adresse à la fois aux territoires et aux entreprises. L’enjeu est politique, social et environnemental, bien sûr.
Le 9 mai 2020, un décret dédié au Forfait Mobilités Durables (FMD) a été publié au Journal Officiel. Ce forfait a pour objectif d’aider les entreprises à accompagner leurs collaborateurs dans leur mobilité quotidienne, en valorisant des alternatives à la voiture individuelle.
Concrètement, comment ce forfait peut être mis en place et comment Karos vous accompagne ?
Le Forfait Mobilités Durables pour favoriser la mobilité responsable
Par ce forfait, les entreprises sont encouragées à aider leurs collaborateurs à changer leurs habitudes de mobilité pour tendre vers des alternatives éco-responsables. Pour le mettre en place et en définir les contours, les entreprises peuvent passer par des négociations, un accord d’entreprise, un accord de branche ou une décision unilatéral de l’employeur avec concertation du CSE.
Ce forfait peut prendre la forme d’un montant forfaitaire conditionné à une pratique ou d’une prise en charge des frais engagés : location, partage de frais, tickets de transport hors abonnement, ou d’un Titre Mobilité. Il permet la prise en charge des frais de transport par l’employeur, et ce, jusqu’à 600€ par collaborateur. Les moyens de transports pouvant bénéficier de cette participation financière sont :
- le covoiturage
- le vélo
- l’autopartage
- la voiture électrique
- l’hybride
- le transport en commun
- les engins de déplacement en libre service (trottinette, vélo, scooter)
L’enjeu est aussi de répondre aux besoins des équipes avec des alternatives adaptées. Par exemple, mettre à disposition des trottinettes si vos collaborateurs habitent trop loin n’est pas une solution idéale. De plus, il faut aussi les outils pour suivre les performances afin d’être certain de leur efficacité. C’est pourquoi Karos met en place différents leviers pour vous proposer une solution complète : une application mobile dédiée au covoiturage domicile-travail et une plateforme SaaS pour paramétrer votre forfait et suivre les performances.
Une mise en place rapide et un reporting en temps réel
L’un des enjeux du Forfait Mobilités Durables est de le mettre facilement en place et de mesurer son efficacité. Cette réflexion nous la menons déjà chez Karos auprès de nos clients. En effet, notre plateforme SaaS leur permet de suivre l’usage du covoiturage domicile-travail via plusieurs métriques, comme par exemple :
- le nombre d'inscrits
- le nombre de covoiturages réalisés
- les émissions de CO2 évitées
Elle leur permet aussi de personnaliser les avantages de leurs collaborateurs, comme :
- l’assistance retour
- les places réservées
- les cadeaux personnalisés dans la machine à cadeaux
Aujourd’hui, nous allons plus loin en permettant une mise en place du Forfait Mobilités Durables de A à Z et un accès à un reporting complet.
Ainsi, nos entreprises partenaires peuvent choisir les modalités de leur Forfait : montant, liste des collaborateurs concernés, choix des identifiants de connexion (pour plus de sécurité, nous recommandons d’utiliser l’email professionnel), etc. Il est aussi possible de paramétrer le plafond annuel du forfait et la date de réinitialisation des forfaits.
L’accès aux informations est alors complété avec celles du FMD. Ces données sur l’usage de l’application servent de preuve de covoiturages afin de justifier l’utilisation du forfait.
Toutes ces informations sont protégées, puisque nous respectons scrupuleusement la réglementation en vigueur concernant la protection des données personnelles.
Le Forfait Mobilités Durables directement intégré dans l’app Karos
Les collaborateurs utilisateurs de notre application mobile pourront directement activer leur Forfait depuis leur profil. Aujourd’hui, ils peuvent déjà se rattacher à leur entreprise. Nous leur permettons maintenant de débloquer leur FMD et d’avoir accès aux informations laissées par leurs employeurs.
Pour ce faire, l’utilisateur se rend dans ses avantages et clique sur Forfait Mobilités Durables. Ici, il pourra renseigner l’identifiant choisi par son entreprise. Notre algorithme procède à la vérification grâce au fichier fourni par l’employeur pour débloquer le forfait. En deux clics, l’utilisateur a accès aux informations relatives à son forfait (montant, date de remise à zéro, explications adaptées selon s’il est conducteur ou passager, etc). Cela lui sera aussi indiqué lors de la prévisualisation des trajets, avec les avantages que lui apportent son FMD.
L'accompagnement de nos utilisateurs est complet afin qu’ils comprennent de quoi il s’agisse. Le design de l’application et les étapes sont aussi pensés pour faciliter l’expérience utilisateur. Il ne faut pas que cela rende l’utilisation de l’application lourde. Le covoiturage domicile-travail avec Karos c’est simple et efficace.
Pour plus d’informations sur la LOM et le Forfait Mobilités Durables, n’hésitez pas à consulter notre ebook :
ous les mois, nous vous présentons un membre de l’équipe Karos ! Aujourd’hui, découvrez Assirem, notre data scientist, fan de foot et du PSG, qui s’applique à ce que passagers et conducteurs se trouvent via Karos.
Si tu devais résumer ton parcours (scolaire et pro) en 3 lignes ?
Bac scientifique, j’étais le genre d’élève avec les meilleures notes en maths. Puis j’ai fait des maths approfondis, parfois compliqué, parfois passionnant, il fallait s’accrocher. Et j’ai fini par me spécialiser dans le machine learning.
Au niveau professionnel, j’ai commencé dans une start up géniale qui veut développer du court voiturage et j’y suis encore hehe
Qu’est-ce que tu fais exactement chez Karos ?
Je suis data scientist. Je m’occupe principalement du matching, des algorithmes qui associent passager et conducteur. Et on a tout plein d’autres projets intéressants qui gravitent autour pour améliorer l’expérience utilisateur.
Ma journée type consiste à faire avancer le projet sur lequel je suis, à discuter avec mon équipe de sujets complexes mais passionnants. Souvent utile de faire des dessins au tableau pour expliquer une idée.
Ton objectif principal ?
Contribuer à la brique technologique de haut niveau de la boîte. Et surtout travailler dans la bonne humeur.
Pourquoi voulais-tu rejoindre Karos ?
Pour deux raisons, le projet m’a beaucoup parlé. Rendre les trajets de tous les jours plus efficaces en utilisant les sièges vides des voitures.
Quand on prends du recul deux secondes, c’est dingue qu’un potentiel pareil soit si peu utilisé. De plus, y’a eu un bon fit dès le départ et je voulais découvrir le monde des starts up.
Qu’est-ce que tu aimes chez Karos ?
La passion qui anime chacun dans l’objectif de développer du covoiturage. Il y a une réelle sincérité, une volonté de résultats, de voir cette pratique grandir. On cherche à tirer dans le même sens et c’est motivant. Puis, j’ai développé de belles affinités dans la boîte, c’est génial.
Ta voiture parfaite, elle a quoi comme fonctionnalité que les autres n’ont pas ?
Les fonctionnalités d’aide à la conduite, je trouve ça génial. J’ai découvert le détecteur d’angle mort l’été dernier. Une lumière rouge illumine le pare brise quand on veut tourner et qu’un véhicule approche rapidement dans la zone de l’angle mort. Au début, c’est assez déroutant. Mais au final, ça crée davantage de sécurité. Mais bon, soyons réaliste, la voiture parfaite est autonome !
“Aimer ses trajets” ça rime avec …?
Ecouter de la bonne musique !
Ta photo sur ton permis de conduire : honteuse ou pas honteuse ?
Joker !
Pour télécharger Karos, c’est par ici !
Et pour découvrir l’équipe, rendez-vous sur notre page Welcome to the Jungle !
Dans le contexte actuel, les relations entre collaborateurs évoluent. Le télétravail mis en place depuis les deux derniers mois fait réfléchir à la gestion d’équipe à distance, à la qualité de nos échanges et à l’engagement de chacun.
Avant la pandémie, 6 salariés sur 10 disaient qu’il leur arrivait de se sentir isolé au sein de leur entreprise, alors que 82% étaient en open space ou en bureaux partagés, d’après l’étude de Paris WorkPlace sur les relations au travail.
Malgré la multiplication des interactions, le sentiment d’isolement continue de se développer chez les collaborateurs. Cet isolement est représentatif de la sur sollicitation que les outils de communication virtuels peuvent engendrés. L’isolement est alors possible et réel.
Isolement : du stress à la perte d’engagement
Un stress accentué par la crise sanitaire
D’après l’étude de Paris WorkPlace 2019, 52% des collaborateurs qui se sentent isolés sont souvent ceux qui écoutent le plus souvent de la musique. Contre 32% pour les personnes se sentant rarement voir jamais isolé. Cette tendance montre le cercle vicieux de l’isolement. On ne se sent pas intégré, voir isolé du reste de l’équipe, donc on se réfugie dans sa bulle, se coupant encore plus de ses collaborateurs.
Aujourd’hui face à la crise, 44% des salariés français présentent une détresse psychologique, selon une enquête menée par Empreinte Humaine. Les plus impactés ? Ceux en chômage technique partiel (1/5 en détresse élevée).
Les principales sources de stress sont l’hyper connexion, la surcharge de travail, des difficultés à concilier la vie professionnelle et personnelle, la fatigue mentale et cognitive, etc. Aussi, beaucoup de télétravailleurs peinent également à trouver un endroit où travailler dans de bonnes conditions. Seuls 45 % peuvent ainsi s’isoler toute la journée si besoin. Environ 60 % travaillent dans leur salon, et 25 % dans une pièce fermée qui n’est, initialement, pas prévue pour le travail, comme une chambre. C’est donc des conditions moins adaptées que le bureau et le cadre qu’il offre.
Un engagement de moins en moins fort
Cet isolement va aussi provoquer une insécurité au travail chez le collaborateur concerné. En effet, il craint 20 fois plus d’être licencié. 40% de ceux qui se sentent isolés déclarent avoir peur du licenciement, contre 2% de ceux qui se sentent rarement ou jamais isolés.
Par conséquent, les collaborateurs isolés se projettent beaucoup moins dans leur entreprise : 70% déclarent se projeter pour moins de 5 ans.
Le stress de la crise ne fait qu’aggraver cette tendance. La motivation professionnelle se dégrade au fil des semaines pour près d’un quart des salariés (24 %), un taux qui atteint les 50 % pour ceux qui se sentent en situation de détresse élevée.
Des performances au travail en berne
Les performances des collaborateurs isolés sont aussi moins brillantes. Ils estiment à 6.9/10 leur efficacité au travail en auto-évaluation. Les personnes qui se sentent intégrées s’évaluent à 8.4/10. Cela illustre aussi l’impact psychologique et sur l’image que les collaborateurs perçoivent d’eux-mêmes. Une désévaluation de leur part n’est pas à ignorer. Ils peuvent du fait d’une perte de confiance, se trouver beaucoup trop inefficace. A l’inverse, un collaborateur intégré et valorisé au sein de son équipe va se sentir reconnu pour son travail. Sa confiance en lui sera alimentée, permettant un travail véritablement performant.
D’après l’Anact et leur étude sur le télétravail en période de confinement, les répondants se sentent moins efficaces qu’à l’ordinaire. Ce sentiment résulte du fait que la charge de travail n’a pas toujours était adaptée à la situation. Et surtout, le télétravail ne dispense pas des échanges entre manager et équipe afin de faire avancer les projets et s’entraider. Le travail à distance peut faire oublier que nous interagissons avec de vraies personnes.
Le télétravail : loin des yeux, loin du coeur
Aujourd’hui, la pratique du télétravail se démocratise et va peut-être pour certain devenir courante. Souvent, ce mode de travail à distance est valorisé car il permet aux collaborateurs de mieux se concentrer et de ne pas perdre de temps en trajet domicile-travail. En d’autres termes, il permet de meilleures performances et d’améliorer le bien-être de vos collaborateurs.
Pourtant, le télétravail peut multiplie par 2 le sentiment d’isolement : 36% des télétravailleurs se sentent isolés et souvent seul. Seulement 19% ressentent la même chose pour ceux qui ne télétravaillent jamais, toujours d’après l’étude Paris Work Place.
Les changements des derniers temps vont cependant faire du télétravail un mode d’organisation récurrent. Il est donc important de mettre en place des actions pour limiter l’isolement des collaborateurs. Ainsi, l’organisation classique du management est bousculée. On peut parler de télémanagement qui consiste à maintenir la dynamique de groupe à distance. Le confinement a aussi permis de tester de nouvelles actions et de nouveaux outils (comme Zoom, Teams, etc) qui ont permis de créer le lien autrement. La situation ne fait qu’accélérer les nouvelles manières de manager aujourd’hui.
Le bureau physique : l’agora de votre entreprise
L’étude Paris WorkPlace met en lumière le besoin de plus en plus grand des interactions physiques. 77% des collaborateurs interrogés préfèrent les échanges en face-à-face en comparaison au téléphone (10%) et ou par mail/messagerie (13%). Le bureau reste donc le lieu privilégié pour diminuer l’isolement de vos collaborateurs et favoriser les interactions positives.
Selon une étude de BNP Paribas Real Estate menée pendant le confinement, 38% des actifs souhaitent retourner sur leur lieu de travail, avec un rythme adapté, et 32% sont favorables à un entre-deux : retourner en partie sur leur lieu de travail tout en conservant des jours de travail à distance.
Le podium des motivations :
- le souhait d’une reprise de l’activité de l’entreprise (38%)
- les conditions matérielles de leur lieu de travail (32%)
- l’envie de revoir ses collègues après 2 mois à distance (31%)
Après le confinement et le télétravail imposé, le siège social va ainsi devenir un camp de base de passage. Le travail va se répartir sur différents lieux adaptés aux usages de chacun entre le home office, des espaces de coworking ou de corpoworking dédiés à la collaboration interne ou externe. On parle alors de travail multi sites. Cette décentralisation va nécessiter des outils spécifiques pour organiser les déplacements et les interactions réelles entre les équipes et ainsi maintenir le lien et la culture d’entreprise.
Le bureau gardera cette image de l’endroit où l’on se rassemble et où les interactions peuvent se créer. Ce n’est d’ailleurs pas étonnant que les bureaux soient devenus un critère important dans le choix d’une entreprise. En 2019, 43% des interrogés par Paris WorkPlace confirmaient cette tendance (contre, 30% en 2017).
Pensez aussi que le travail mené pour développer les interactions au bureau peut se prolonger au delà de celui-ci.
Les trajets domicile-travail offrent un créneau idéal pour faire interagir ses collaborateurs dans un espace différent du bureau. Nos clients l’affirment, le covoiturage via Karos favorise les relations entre les collaborateurs et renforce le lien social.
Interaction positive : se voir moins mais mieux
Face à l’isolement et au stress, les interactions humaines semblent être la bonne solution. La crise que nous traversons montre à quel point se voir en chair et en os est précieux. Les études montrent combien les interactions humaines sont nécessaires au développement individuel et collectif. Cependant, nous prenons aussi conscience que la quantité ne fait pas qualité. On se verra moins, mais mieux afin d’éviter toutes les sur-sollicitations contre-productives.
Chacun percevra désormais mieux la valeur d’être présent physiquement. Des qualités comme l’empathie, la capacité de transmettre, l’engagement, la solidarité ont pu ainsi se développer et pourront se consolider après la crise.
Il ne faudra pas négliger les impacts psychologiques que le confinement a pu avoir. D’après l’étude d’Empreinte Humaine, seul 1 salarié sur 3 dit que son entreprise met en place des actions autour la sécurité psychologique et la prévention des risques psychosociaux. Christophe Nguyen, Président d’Empreinte Humaine, recommande la mise en place d’un programme de sécurité psychologique et d’un soutien psychologique. Cela peut se faire à différents niveaux par des actions d’abord simples puis de plus en plus poussées selon les besoins de vos équipes : règles sanitaires au bureau, alternatives de mobilité, horaires adaptés, psychologue à disposition, etc.
Le sentiment d’isolement est à éradiquer, le dialogue est à réinstaurer. Cette volonté de se voir physiquement reflète cet instinct que nous avons : nous sommes des êtres sociaux qui ont besoins d’interactions directes, nous avons besoin d’appartenir à un groupe social.
Dans le contexte actuel, les relations entre collaborateurs évoluent. Le télétravail mis en place depuis les deux derniers mois fait réfléchir à la gestion d’équipe à distance, à la qualité de nos échanges et à l’engagement de chacun.
Avant la pandémie, 6 salariés sur 10 disaient qu’il leur arrivait de se sentir isolé au sein de leur entreprise, alors que 82% étaient en open space ou en bureaux partagés, d’après l’étude de Paris WorkPlace sur les relations au travail.
Malgré la multiplication des interactions, le sentiment d’isolement continue de se développer chez les collaborateurs. Cet isolement est représentatif de la sur sollicitation que les outils de communication virtuels peuvent engendrés. L’isolement est alors possible et réel.