La dernière mise à jour de votre application Karos est enfin disponible sur iOS et Android et elle vous réserve pas mal de belles surprises. Focus sur deux d'entre elles : la carte interactive de notre communauté de covoitureurs et Oskar, notre assistant intelligent embarqué dans l'app.
Le magazine Karos :
l'actualité du covoiturage et de l'application
Une carte pour visualiser les membres de la Kommunauté Karos autour de vous
Vous en rêviez ? Karos l'a fait ! Vous vous demandiez peut-être si d'autres personnes autour de vous covoiturent avec Karos. Et bien, il est désormais possible de voir tous les membres de la Kommunauté Karos présents près de chez vous grâce à notre nouvelle carte interactive. Explorez les lieux que vous fréquentez régulièrement, parcourez la carte et constatez comme nous que la pratique du covoiturage domicile-travail se développe un peu partout en France !
Oskar, votre nouveau guide du covoiturage
Nous vous avions déjà dévoilé sa bouille sur les réseaux sociaux et les utilisateurs Android ont déjà pu se familiariser un peu avec ce nouveau membre de l'équipe, qui se sent déjà chez Karos comme un poisson dans l'eau. Oskar est un poisson rouge très particulier : contrairement à ses congénères, connus pour leur mémoire courte, il mémorise toutes vos habitudes de déplacement pour vous trouver les meilleurs covoitureurs ! Ils vous accompagne aussi dans l'utilisation de l'app en vous prodigant quelques trucs et astuces pour utiliser au mieux les différentes fonctionnalités proposées par Karos. Alors jetez-vous à l'eau et n'hésitez pas à aller faire sa connaissance, il sera ravi de vous guider !Karos travaille chaque jour pour vous offrir la meilleure expérience utilisateur possible pour rendre le covoiturage toujours plus facile à organiser. Parce que votre avis compte beaucoup pour nous, n'hésitez pas à nous laisser des commentaires sur la page Facebook de Karos pour nous dire ce que vous pensez de ces nouveautés !
La dernière mise à jour de votre application Karos est enfin disponible sur iOS et Android et elle vous réserve pas mal de belles surprises. Focus sur deux d'entre elles : la carte interactive de notre communauté de covoitureurs et Oskar, notre assistant intelligent embarqué dans l'app.
Comme chaque été, la RATP profite de l'acalmie estivale du trafic pour entreprendre des travaux de rénovation sur les voies de ses principales lignes de RER. Cette année n'échappe pas à la règle avec des perturbations de parcours et la fermeture de nombreuses stations à prévoir sur le RER A et le RER C. Pour des millions de franciliens, les trajets quotidiens, notamment pour se rendre au travail, peuvent devenir une vraie galère malgré la mise en place de solutions alternatives.
Travaux d'été du RER A du 23 juillet au 21 août inclus
Le RER A va faire peau neuve cet été avec le renouvellement des voies entre les stations « La Défense » et « Nation ». Par conséquent, toutes les stations intermédiaires ne seront pas desservies. De plus, la branche ouest desservant Poissy à partir de Maisons-Laffitte sera totalement interrompue pendant ces dates.La RATP proposera néanmoins une offre de transport renforcée sur les lignes suivantes :
- Tranciliens L et J jusqu'à la gare de Poissy
- Métros Lignes 1, 2, 3, 6, 9, 13 et 14
- Trams T2 et T3a
- Bus 43, 73 et 275
Suite des travaux CASTOR sur le RER C du 16 juillet au 27 août inclus
Depuis 20 ans maintenant, le programme CASTOR a pour objectif le renforcement du tunnel de la ligne C du RER. Ces travaux entraîneront donc la fermeture de la ligne entre les stations "Paris Austerlitz" et "Javel", et entre "Paris Austerlitz" et "Avenue Henri Martin".Là aussi, des solutions seront mises pour les voyageurs :
- Renforcement de la ligne 10 du Métro et de la ligne de Bus 630
- Mise en place d'une navette pour ralier les sites touristiques
Des temps de trajets fortement rallongés
Malgré la mise en place de solutions alternatives, vos trajets quotidiens risquent d'être fortement rallongés si votre travail se situe dans des communes de la proche banlieue comme Cergy, Massy-Palaiseau, Saint-Quentin-en-Yvelines ou encore Saint-Germain-en-Laye.Afin d'estimer vos nouveaux temps de trajet, la RATP a d'ailleurs mis en place un simulateur qui vous permet d'évaluer le rallongement éventuel de vos déplacements en transport en commun.
Le covoiturage, une véritable alternative pour vos trajets quotidiens
Il existe une autre solution que Karos peut vous proposer : le covoiturage domicile-travail. Avec une forte densité d'utilisateurs dans Paris et sa banlieue, Karos est en mesure de vous proposer des conducteurs faisant le même trajet que vous et qui vous feront à coup sûr gagner du temps. Troquer le bruit et la chaleur des transports en commun pour le confort et la convivialité d'une voiture, au moins pour l'été, paraît plutôt tentant, non ?Pour covoiturer, rien de plus simple : il vous suffit de télécharger l'application Karos sur l'Appstore ou sur Google Play, de vous inscrire et ensuite Karos s'occupe de tout. L'appli vous trouve automatiquement des covoitureurs grâce à une technologie unique de matching. Vous pouvez ensuite entrer directement en contact avec eux via le chat et organiser vos covoiturages en quelques instants.Alors si vous êtes concernés par ces travaux et que le covoiturage domicile-travail avec Karos vous tente, n'hésitez pas à en parler autour de vous !
Comme chaque été, la RATP profite de l'acalmie estivale du trafic pour entreprendre des travaux de rénovation sur les voies de ses principales lignes de RER. Cette année n'échappe pas à la règle avec des perturbations de parcours et la fermeture de nombreuses stations à prévoir sur le RER A et le RER C. Pour des millions de franciliens, les trajets quotidiens, notamment pour se rendre au travail, peuvent devenir une vraie galère malgré la mise en place de solutions alternatives.
Pour la troisième année consécutive, l'EIT Digital Challenge récompensera les start-up européennes les plus innovantes et prometteuses du secteur du digital ! Les incriptions sont ouvertes et l'EIT lance un appel aux candidatures pour dénicher les nouvelles pépites tech de demain aux quatre coins de l'Europe.
Un tremplin vers l'internationalisation
L'EIT Digital est une organisation européenne, spécialisée dans l'innovation digitale, qui veut faire de l'Europe un leader en matière d'innovation numérique. Grâce à leur EIT Digital Accelerator composé de business developers et d'experts financiers présents dans 13 villes européennes et à San Francisco, près de 230 startups ont pu bénéficier de leurs services pour lever des fonds et avoir accès à de nouveaux marchés à travers le continent.Cette année encore, l'EIT Digital Challenge doit permettre de dénicher les startups de demain, suceptibles de s'attaquer au marché européen et international. Celles-ci seront en compétition dans cinq catégories:
- Industrie Digitale
- Villes Digitales
- Bien-être Digital
- Infrastructure Digitale
- Finance Digitale
Les gagnants de chaque catégorie remporteront donc un prix de 50.000€ mais aussi un accompagnement de l'EIT Digital pour leur permettre de développer leur activité au delà des frontières de leur marché d'origine et ainsi contribuer au rayonnement de l'Europe en matière d'innovation sur la scène internationale (toutes les modalités ici).
Karos, lauréat de l'EIT Digital Challenge 2015
En novembre dernier, Karos remportait le prix EIT Digital Challenge 2015 lors de la finale à Londres parmi une centaine de partipants dans la catégorie "Ville et Mobilité". Une véritable consécration pour Karos, quand on sait que cette compétition est sans doute l'une des plus importantes en Europe. Récompensée pour sa technologie révolutionnaire et son approche B2B, Karos a pu gagner en visibilité sur la scène européenne et bénéficier d'un soutien de poids dans son projet ambitieux : faire du covoiturage domicile-travail une habitude pour les salariés sur le territoire français et au-delà.
Pour la troisième année consécutive, l'EIT Digital Challenge récompensera les start-up européennes les plus innovantes et prometteuses du secteur du digital ! Les incriptions sont ouvertes et l'EIT lance un appel aux candidatures pour dénicher les nouvelles pépites tech de demain aux quatre coins de l'Europe.
Un article du projet de loi “Modernisation de la Justice du XXIème siècle" laisse entendre que les autorités pourraient accéder aux données stockées dans les ordinateurs de bord du véhicule à des fins de verbalisation. Au-delà de ce cas particulier, l'enregistrement des données d'usage par les ordinateurs de bord des véhicules pose de nouvelles questions techniques et éthiques sur leur utilisation potentielle.
Contrôle de vitesse permanent : fausse rumeur mais vrai débat ?
C'est une information qui a fait le tour des médias français il y a quelques jours : le Figaro a annoncé qu’un article du projet de loi de “Modernisation de la Justice du XXIème siècle" allait permettre aux policiers d’avoir accès en permanence aux données des véhicules, permettant ainsi un contrôle de vitesse en continu et une sanction en conséquence.L’article en question explique que "Les agents compétents pour rechercher et constater les infractions au présent code, dont la liste est fixée par décret en Conseil d'État, ont accès aux informations et données physiques et numériques embarquées du véhicule afin de vérifier le respect des prescriptions fixées par le présent code". A première vue, il semblerait que ce texte donne effectivement le droit aux forces de l’ordre d’accéder aux données de la voiture - dont la vitesse - et donc de pouvoir verbaliser les automobilistes à chaque fois qu’ils franchiraient les limites autorisées.Pourtant, l'association 40 Millions d’automobilistes, d’habitude peu prompte à défendre les mesures du gouvernement, parle de "fantasme absolu", dénonçant l’interprétation erronée faite par les journalistes du Figaro. Cet accès aux données de l’OTB (Ordinateur du tableau de bord) serait uniquement possible dans le cadre du contrôle d’un véhicule suspect et potentiellement volé. On est donc bien loin du flicage à la Big Brother annoncé. Tout le monde est tout de même d’accord pour dire que le texte de loi reste très peu clair quant aux limites de cet accès aux données des véhicules.
Des véhicules de plus en plus connectés
Si l’information a aussitôt été démentie, elle pose néammoins de vraies questions sur la sécurité des données des automobilistes et sur leur possible exploitation. Deux chercheurs avaient ainsi fait le buzz l’année dernière en piratant une voiture à distance à l’aide d’un simple ordinateur. Ils étaient parvenus à prendre totalement le contrôle du véhicule, allant même jusqu’à couper le moteur de la voiture. Cette vidéo a servi notamment à alerter les constructeurs et le public aux risques liés à la multiplication des objects connectés à Internet et aux failles de sécurité qui peuvent potentiellement exister au sein de ces systèmes embarqués.Il n’y a jamais eu autant de technologie dans les voitures qu'aujourd'hui avec toujours plus de fonctionnalités disponibles pour les utilisateurs : géolocalisation, connexion avec le smartphone, limitateur de vitesse, aide au stationnement, alerte de franchissement de ligne blanche, etc...Les constructeurs vont même encore plus loin avec le lancement de voitures autonomes, qui sont passées de lubie futuriste à perspective crédible. On estime que les premières voitures autonomes devraient circuler sur nos routes d’ici 2025. La voiture sans chauffeur sera donc bientôt une réalité et la course à l’innovation est déjà lancée parmi les géants du net et de l’automobile. Google et Tesla semblent être les plus avancés mais des rumeurs disent qu’Apple préparerait également un véhicule autonome dans le plus grand secret. En attendant, la désormais célèbre “Google Car” a obtenu l’autorisation de rouler en Californie et dans le Nevada. De nombreuses questions restent cependant en suspens comme la question de la responsabilité en cas d’accident (le conducteur, le constructeur, l’éditeur du logiciel ?) ou encore si les automobilistes feront suffisamment confiance à l’intelligence artificielle pour lâcher le volant ou tourner le dos à la route.Quoi qu’il en soit, la mobilité de demain réservera sans doute de nombreuses surprises et soulèvera de nouvelles problématiques pour les automobilistes et les autorités. Une chose est certaine : la technologie y jouera un rôle central. C'est précisément le point de vue de Karos : l'intelligence artificielle et le Big Data permettent en effet de proposer les meilleurs covoiturages possibles sans que les utilisateurs n'aient à les chercher eux-mêmes. Simplifier le covoiturage pour faire de la voiture un transport en commun comme les autres à l'aide de la technologie, c'est aussi cela le futur de la mobilité.
Un article du projet de loi “Modernisation de la Justice du XXIème siècle" laisse entendre que les autorités pourraient accéder aux données stockées dans les ordinateurs de bord du véhicule à des fins de verbalisation. Au-delà de ce cas particulier, l'enregistrement des données d'usage par les ordinateurs de bord des véhicules pose de nouvelles questions techniques et éthiques sur leur utilisation potentielle.
Dernièrement nous avons présenté notre technologie Fastmatch qui accélère considérablement les temps de calcul. À la manière de Sherlock Holmes et Dr Watson, FastMatch fonctionne en duo avec notre service MyWay qui s’occupe de l’enquête pour identifier les routes empruntées.
Un covoiturage “haute couture”, qui colle à vos habitudes
Un bon conducteur pratique le covoiturage. Un bon covoiturage propose un bon parcours. Enfin, un bon parcours est un parcours qui tient compte de votre itinéraire habituel. Vous l’avez compris : MyWay permet d’analyser les routes que vous préférez pour adapter automatiquement les propositions de covoiturage.
La technique dans tout ça ?
L’information utilisée pour reconstituer vos trajets provient de la géolocalisation. Celle-ci est souvent capricieuse : faible précision, fréquence d’envoi irrégulière, erreurs de position… Nos algorithmes font donc preuve de discernement pour sélectionner les localisations fiables. Ils utilisent différents filtres et règles heuristiques calibrées grâce à des données d’apprentissage.Le cœur de la technologie repose ensuite sur la capacité à déduire le trajet le plus vraisemblable à partir des localisations retenues. Il s’agit d’identifier les segments de route auxquels rattacher le conducteur. Simple en théorie mais dans la pratique de nombreux cas soulèvent des ambiguïtés ! Par exemple, pour des localisations à proximité d’une sortie d’autoroute, l’algorithme doit déterminer si le conducteur a effectivement emprunté cette sortie ou s’il s’agit d’une imprécision (cf. illustration ci-dessous).
Pour résoudre ce problème, une approche probabiliste itérative est mise en œuvre. Elle dérive le trajet le plus rapide en corrélant des informations sur la typologie des routes et les données géolocalisées pour détecter et corriger chaque détour. MyWay est ainsi capable d’identifier plus de 90% des segments de route empruntés.Et maintenant ? Nous préparons bien sûr la suite avec MyWay 2 qui prendra en compte vos multiples itinéraires. En fonction des jours et de la circulation, vos trajets peuvent varier. Karos va le comprendre et s’adapter toujours mieux à vos habitudes !
Dernièrement nous avons présenté notre technologie Fastmatch qui accélère considérablement les temps de calcul. À la manière de Sherlock Holmes et Dr Watson, FastMatch fonctionne en duo avec notre service MyWay qui s’occupe de l’enquête pour identifier les routes empruntées.
Karos participera à la Conférence Smart Mobilité 2016 sur le thème du Big Data et des objets connectés. Les solutions digitales peuvent-elles permettre d'améliorer le trafic routier en réduisant sensiblement les bouchons ? Chez Karos, on pense que oui et nous sommes certains que notre technologie peut contribuer au désengorgement des grands axes routiers.
La technologie au service de la mobilité
Depuis de nombreuses années, les embouteillages au sein des grandes agglomérations sont devenus un vrai casse-tête pour les automobilistes qui perdent leur temps et leur argent, bloqués dans leur véhicule. Au-delà de ces dérangements quotidiens, ces embouteillages favorisent également l'émission de CO2, hautement néfaste pour l'environnement et la santé des habitants des zones urbanisées.Pourtant des solutions existent et elles passent bien souvent par l'utilisation de nouveaux outils comme le Big Data. La première étape pour faire diminuer les bouchons est bien sûr de réduire le nombre de voitures en circulation. Rien qu'en Île-de-France, on compte chaque jour près de 15 millions de trajets en voiture pour environ 40 millions de sièges vides. On peut aisément imaginer à quel point la circulation serait plus fluide dans les grandes agglomérations avec une optimisation des places disponibles.
Karos, une solution durable pour des routes désengorgées
Dans le cadre de cette conférence, le président et co-fondateur de Karos, Olivier Binet, interviendra pour expliquer en quoi Karos s'intègre parfaitement dans le panel de solutions existantes pour venir à bout des bouchons, grâce à une technologie unique et précise. En utilisant le Big Data pour révolutionner la mobilité quotidienne, Karos parvient à proposer des covoiturages à des personnes faisant le même trajet aux mêmes heures. Rendre le covoiturage simple et accessible à tous : voici la mission de Karos.Plusieurs représentants de villes européennes comme Copenhague, Bologne ou encore Bruxelles viendront eux aussi parler des initiatives mises en place dans leur agglomérationpour endiguer la saturation des routes grâce à la technologie et à l'innovation.Venez nombreux le 14 juin prochain pour découvrir comment en finir avec les bouchons, vous risquez d'être surpris ! #HackonslesBouchons
Karos participera à la Conférence Smart Mobilité 2016 sur le thème du Big Data et des objets connectés. Les solutions digitales peuvent-elles permettre d'améliorer le trafic routier en réduisant sensiblement les bouchons ? Chez Karos, on pense que oui et nous sommes certains que notre technologie peut contribuer au désengorgement des grands axes routiers.
Karos s'associe à Total pour développer le covoiturage domicile-travail sur l'île de la Réunion. L'objectif affiché ? Faire adopter cette nouvelle pratique aux réunionnais, qui font face chaque jour à des embouteillages importants et à la pollution liée à la circulation routière.
Karos, un nouveau réseau de transport à la Réunion
Pour le lancement de notre application Karos à la Réunion, Total s'est engagé à nos côtés pour promouvoir notre service dans les 36 stations réparties aux quatre coins de l'île et sur les canaux web officiels de l'entreprise. Pour favoriser l'adoption de Karos, un jeu-concours sera également mis en place avec 1500€ de bons d'achat Total à la clé chaque mois. Avoir le soutien d'un grand partenaire comme Total est à la fois un honneur et un atout pour nous implanter dans ce nouveau territoire et relever le défi du covoiturage à la Réunion.« Nous sommes ravis de lancer notre service innovant sur La Réunion et tenons à remercier le Groupe Total de s’engager à nos côtés car c’est une chance de faire connaitre et adopter rapidement Karos par les réunionnais. Nous espérons d’ailleurs qu’ils participeront en nombre à cette nouvelle pratique collaborative aux vertus multiples : moins d’embouteillages, de stress et de pollution et plus de pouvoir d’achat », explique Olivier Binet, co-fondateur de Karos.
Le covoiturage, la solution pour une mobilité durable
Avec 400.000 voitures pour 800.000 habitants, la Réunion doit sans cesse faire face à des problèmes d'embouteillages sur ses principaux axes routiers. En cause, un réseau de transport en commun peu développé (utilisé par seulement 5% des actifs) qui pousse la plupart des travailleurs à utiliser leur véhicule pour se rendre à leur travail dans les principaux bassins d'emploi. A titre d'exemple, près de 150.000 voitures convergent chaque jour vers Saint-Denis de la Réunion.Avec 80% de réunionnais seuls au volant pour aller travailler et l'appui d'un partenaire comme Total, le potentiel du covoiturage domicile-travail semble énorme et peut apporter une solution viable aux problémes de congestion du trafic et de pollution tout en faisant faire des économies aux réunionnais.» Lire le communiqué de presse complet
Karos s'associe à Total pour développer le covoiturage domicile-travail sur l'île de la Réunion. L'objectif affiché ? Faire adopter cette nouvelle pratique aux réunionnais, qui font face chaque jour à des embouteillages importants et à la pollution liée à la circulation routière.
De nouvelles mesures anti-pollution ont été annoncées en Île-de-France mais également sur l'ensemble du territoire, avec de nombreuses conséquences pour les automobilistes. Karos vous propose un petit tour d'horizon de ce qui va changer dans les mois à venir.
Les véhicules anciens bannis de la capitale
A compter du 1er juillet 2016, les véhicules datant d'immatriculés avant 1997 ne seront plus autorisés à circuler dans Paris. Après de longues négociations, la mairie de Paris, le GART (groupement des autorités de transports) et la ministre de l'environnement, Ségolène Royal, sont enfin parvenus à un accord dans le cadre d'un vaste plan anti-pollution adopté par le Conseil de Paris en février 2015. Cette interdiction s'accompagne de la mise en place de vignettes automobiles, qui font leur grand retour après avoir été mises de côté à la fin de l'année dernière. Ces pastilles de couleur seront au nombre de six et désigneront les véhicules en fonction de leur degré de pollution. A partir de la rentrée, des amendes seront distribués aux véhicules ne respectant pas la réglementation.Les automobilistes qui le souhaitent pourront en faire la demande mais ce dispositif ne sera pas obligatoire, sauf pour les véhicules qui circuleront dans Paris ou dans n'importe quelle autre agglomération ayant mise en place ce système de circulation restreinte. D'autres villes comme Grenoble ou Strasbourg ont également fait part de leur intérêt pour ce projet. Si certains dénoncent une mesure discriminante pour les conducteurs les plus modestes, la majorité des habitants semble plutôt favorable à cette série de mesure alors que de nombreux pics de pollution frappent les grandes métropoles françaises depuis plusieurs années.
Le covoiturage : une solution alternative
Cependant, d'autres solutions existent pour réduire durablement le trafic automobile et donc les émissions de CO2. Si l'interdiction des véhicules les plus anciens et par conséquent les plus polluants est un premier pas vers des villes plus propres, cela ne concernera qu'environ 10% du parc automobile parisien. Avec un taux moyen d'occupation de 1.1 personne par voiture, de nombreux progrès peuvent encore être accomplis au quotidien pour rentabiliser le nombre de places disponibles sur les trajets domicile-travail. En changeant seshabitudes de déplacement, chacun peut contribuer à désengorger les routes tout en faisant des économies de temps et d'argent. C'est pourquoi Karos s'efforce de vous proposer chaque jour les meilleurs covoituragesgrâce à satechnologie unique. Rendre le covoiturage le plus simple possible aidera sans doute à faire évoluer les mentalités et à faire rentrer le "court-voiturage" dans la mobilité de demain.Avis aux amateurs !
De nouvelles mesures anti-pollution ont été annoncées en Île-de-France mais également sur l'ensemble du territoire, avec de nombreuses conséquences pour les automobilistes. Karos vous propose un petit tour d'horizon de ce qui va changer dans les mois à venir.
Le 8 février dernier, Monsieur le Député Pascal Terrasse a remis au Premier Ministre son rapport sur les enjeux de l’économie collaborative. Dans ce rapport, l'élu dévoile une série de propositions pour encadrer légalement cette nouvelle forme d’économie basée sur le partage, sans pour autant freiner son développement. Nous avons donc souhaité en savoir plus sur sa vision de l’économie collaborative, en particulier dans le secteur de la mobilité, ainsi que ses préconisations pour l’avenir de ce nouveau modèle.
Karos : Le rapport que vous avez remis au Premier ministre dresse un bilan globalement positif de l'économie collaborative. En quoi ces nouvelles pratiques sont-elles vecteur de progrès social ?
P. Terrasse : Le rapport fait deux constats. Tout d’abord, l’économie collaborative n’est pas synonyme d’« uberisation » de la société. C’est avant tout l'économie des communs, du partage et de l'échange. C’est aussi une forme nouvelle d’intelligence collective dans la gestion des ressources et l’organisation des échanges. Deuxièmement, l’économie collaborative supprime l’intermédiation et donc des coûts pour les prestataires et les usagers. Elle soutient donc le pouvoir d’achat des consommateurs et améliore les opportunités d’emploi de personnes qui peuvent en être éloignées.Le véritable progrès social de l’économie collaborative réside dans le fait qu’elle repose sur un modèle de développement beaucoup plus horizontal. Les nouvelles générations en ont assez du système hiérarchique. Elles se détournent petit à petit de la propriété et privilégient désormais l’usage. De nouvelles aspirations sociétales apparaissent : limiter le gaspillage, donner une seconde vie aux objets, favoriser les circuits-courts…L’appétit de consommation se double à présent d’une conscience assez claire que la planète ne pourra pas le supporter durablement. Le consumérisme tel qu’on l’a connu va disparaître au profit d’une société plus solidaire.
Karos : Votre rapport évoque à plusieurs reprises la notion de « travail ». Pourtant, il y a bien des activités de l’économie collaborative, comme partager un trajet en covoiturage ou louer sa voiture un week-end, qui ne relèvent pas d’une prestation travaillée, soumise au droit social ?
P. Terrasse : Les plateformes qui proposent effectivement des initiatives collaboratives abritent essentiellement des particuliers qui louent, prêtent ou vendent leurs biens (voiture, appartement, meubles etc.) de manière occasionnelle. Ils interviennent donc en marge de leur activité principale, de laquelle ils tirent l’essentiel de leurs revenus (salarié, étudiant, retraité…). Dans ce cas, on ne peut pas parler de « travail ».Le rapport distingue bien ce qui relève d’une part, de l’activité d’un particulier qui, occasionnellement, va faire de l’autopartage, louer sa résidence principale quelques semaines par an, ou vendre des biens de seconde main. Et d’autre part, l’activité de professionnels.La médiatisation du cas « Uber » a en fait polarisé le débat autour des « travailleurs » de l’économie collaborative, alors que la question soulevée (nature du lien entre la plateforme et les chauffeurs) est plus spécifique à la profession de chauffeur de taxi que véritablement représentative du secteur de l’économie collaborative. En définitive, seuls 5% des Français tirent plus de 50% de leurs revenus de l’économie collaborative.
Karos : Suite à votre rapport, quelles sont les prochaines étapes attendues en vue de sécuriser le cadre législatif et juridique de l'économie collaborative ?
P.Terrasse : Bien que nous ne disposions pas, comme en Italie ou en Angleterre, d’un dispositif de transaction, un travail est actuellement en cours pour que les grands opérateurs de l’économie collaborative et du numérique s’acquittent de leurs impôts en France. Dans ce sens, Google vient par exemple d’être redressé à hauteur de 1,6 milliard d’euros. Les organisations internationales et l’Union européenne doivent maintenant faire prévaloir l’acquittement des impôts dans les États où s’exerce l’activité. La question de l’amélioration des conditions de protection sociale et d’emploi des personnes qui ont recours aux plateformes de l’économie collaborative est également prioritaire. Le Compte personnel d’activité est en cela une très bonne réponse. Il a déjà introduit une révolution véritable en déconnectant les droits des statuts pour les rattacher à un individu. En matière de formation, de pénibilité, etc., l’individu emportera ses droits, quel que soit son statut futur. C’est une avancée majeure.Enfin, pour plus de lisibilité, il faudra qu’à terme l’administration fiscale clarifie sa position sur la distinction entre revenu et partage de frais et que l’administration sociale en fasse de même sur la notion d’activité professionnelle.
Le 8 février dernier, Monsieur le Député Pascal Terrasse a remis au Premier Ministre son rapport sur les enjeux de l’économie collaborative. Dans ce rapport, l'élu dévoile une série de propositions pour encadrer légalement cette nouvelle forme d’économie basée sur le partage, sans pour autant freiner son développement. Nous avons donc souhaité en savoir plus sur sa vision de l’économie collaborative, en particulier dans le secteur de la mobilité, ainsi que ses préconisations pour l’avenir de ce nouveau modèle.