Le magazine Karos :
l'actualité du covoiturage et de l'application
Catégorie : Lifestyle
On dit que la durée de vie d’une voiture est en moyenne de 8 ans. De belles années durant lesquelles on use les pneus, on parcourt des kilomètres. Aujourd’hui, les voitures ont beau être de plus en plus performantes, agréables et sécurisantes, elles finissent toutes par ne plus pouvoir rouler. Que deviennent ces voitures ?
Les voitures ont des composantes très polluantes
Une voiture particulière est principalement composée de métaux (principalement de l’acier : 84.8%) et de différents types de plastique. On retrouve aussi des fluides polluants (huiles moteurs, boîtes de vitesse, liquides de freins...) et des matières organiques non-recyclables.
Chaque année en France, on estime que 1, 5 millions de véhicules deviennent hors d’usage. La prise en charge de la voiture se fait par un centre agréé. C’est primordial et obligatoire par la loi pour permettre de dépolluer, de démonter et de recycler ces véhicules. Ce centre agréé aura la capacité d’isoler les déchets dangereux (batterie, liquides, huile, etc.) des déchets recyclables. Les éléments en bon état peuvent être revendus sous forme de pièces détachées, quand les éléments recyclables seront transformés en nouvelles matières premières. Une voiture pourra être revalorisée à plus de 80%.
Le recyclage d'une voiture : quelle est la marche à suivre ?
Votre voiture ne peut plus vous servir et vous souhaitez vous en débarrasser ?
Trouver un démolisseur
Pour remettre une voiture à un démolisseur agréé, il faut que celle-ci possède encore tous ces principaux équipements. Cela permettra de bénéficier de la reprise gratuite du véhicule.
En France, il y a 1 700 centres de traitement et 60 broyeurs agréés. On peut amener soi-même son véhicule au centre de traitement. Si le transport est impossible, il faut faire appel à un prestataire qui propose la collecte du véhicule dans ses prestations.
Une fois le véhicule remis au démolisseur, celui-ci remettra un certificat afin d’annuler l’immatriculation du véhicule auprès de la préfecture. Ainsi, il n'y a plus de responsable du véhicule.
Officialiser la cessation en préfecture
Une fois le certificat en poche, un délais de 15 jours donne le temps d'aller faire une déclaration de cession pour destruction à la préfecture. Le certificat sera demandé. En retour, un accusé d’enregistrement, qui valide et prouve la démarche, est délivré.
Comment se déroule le recyclage d'une voiture ?
Le recyclage d'une véhicule se fait en 5 étapes :
1 / Prise en charge et expertise du véhicule
Enregistrement réglementaire sur un livre de police et identification (traçabilité par code barre). C’est aussi à ce moment que l’on remet le certificat.
2 / Mise en sécurité
La sécurisation du véhicule permet d’éviter tout danger durant le démontage. A ce moment, les techniciens déclenchent les éléments pyrotechniques du véhicule (airbags,etc..)
3 / Dépollution
Les opérations obligatoires de dépollution sont effectuées (extraction des fluides, batteries, pots catalytiques et filtres à particules).
4 / Déconstruction ciblée
Les pièces et les matières sont démontées et triées en vue de leurs destinations finales.
5 / Commercialisation des pièces et matières
Les pièces d’occasion seront revendues à l'exportation ou sur le marché national (professionnels ou particuliers). Les pneumatiques seront orientés principalement vers la filière de valorisation énergétique ou de valorisation matière. Les autres matières comme les câbles, boîtiers électroniques, plastiques des pare-chocs seront commercialisés vers les filières de recyclage.
Finalement, recycler sa voiture est une marche à suivre assez simple, qui permet à la fois de préserver la planète et d’optimiser nos ressources, en valorisant la majeure partie des déchets !
La voiture et les transports ont un poids indéniable sur votre budget. Pourtant l'énergie que l'on consomme aussi peut se révéler pesante sur vos factures.
Chaque année, vos factures d’énergie à payer sont toujours plus élevées. En cause, le prix du gaz et de l’électricité augmente, mais pas seulement. Vos consommations elles aussi à la hausse, rentrent en compte dans l’équation : périodes de chauffage plus longues, multiplication des objets connectés à la maison, eau chaude gaspillée. Tout cela a un coût : en moyenne 2 900 euros annuels de budget énergie par ménage français. Comment moins dépenser tout en mettant de l’argent de côté ? Voici 5 manières d’allier économies financières et économies d'énergie au quotidien.
Rénover et isoler son logement
Traitons d’abord le problème à la source, à savoir les déperditions énergétiques des logements anciens et précaires. Vos fenêtres laissent entrer l’air, votre sol est constamment froid, votre toiture prend des allures de passoire thermique ? Tout indique que votre maison ou appartement rencontre des problèmes d’isolation à traiter en urgence.
Engagez rapidement des travaux de rénovation énergétique éligibles aux aides de l’État pour isoler les combles, les murs, le sol, ou étancher les portes et fenêtres. L’isolation extérieure ou intérieure vous permettra de réaliser des économies financières sur votre facture de chauffage de 10 à 30 %, selon la nature des travaux.
Régler son chauffage pour réaliser des économies d’énergie au quotidien
Le chauffage représente l’un des principaux postes de dépenses d’un ménage, après le budget automobile, sujet au cœur de notre activité Karos. On ne le dira jamais assez, mais baisser son thermostat de 1 °C réduit de 7 % la consommation de chauffage.
Chauffage au gaz, électrique, au bois : ces différents systèmes ne répondent pas aux mêmes problématiques. Le bois à brûler doit être bien sec et les radiateurs purgés. La chaudière doit elle, être contrôlée par un professionnel. Une chaudière bien entretenue, c’est 10 % d’économie d’énergie à la clé. Et pour obtenir le meilleur contrat d'énergie, comparez les fournisseurs de gaz et d'électricité sur le marché.
D’autres bonnes pratiques sont à adopter pour optimiser vos consommations de chauffage :
- limiter à 19 °C la température du logement l’hiver lorsque vous êtes présent ;
- baisser ou éteindre les radiateurs dans les pièces inoccupées ;
- installer un régulateur de température la nuit et pendant vos absences.
Réduire sa consommation d’eau chaude
L’eau chaude sanitaire représente 13 % du budget alloué à l’énergie par les ménages dans l’hexagone, selon l’ADEME.
Encore faut-il purger et détartrer régulièrement son chauffe-eau électrique et bien régler son thermostat : entre 55 et 60 °C. Les ballons qui chauffent en continu dépensent de l’énergie à perte. Les chaudières dont la mise en route est instantanée sont en revanche réputées économes. Les chauffe-eaux thermodynamiques, bien que coûteux à l’achat, consomment encore moins d’énergie : 2 à 3 fois moins qu’un ballon classique.
Aussi, l’installation d’un mitigeur sur votre robinet et d’un pommeau de douche économe dans votre salle de bain, réduira le volume d’eau consommée. Tâchez également d'identifier et de faire réparer les fuites d’eau qui peuvent alourdir la facture (robinet qui goutte).
Bien utiliser ses appareils électroménagers
Dès l’achat de l’appareil, l’étiquette énergie renseigne des consommations d’électricité attendues. Mais une fois installé à la maison, comment réaliser des économies d’énergie au quotidien ?
Adoptez le mode économique comme votre nouveau programme par défaut (sèche-linge, lave-linge, lave-vaisselle). Il vous fera économiser 20 à 30 % d’énergie (eau et électricité).
En cuisine, la cuisson sous couvercle et l’entretien du réfrigérateur et du congélateur sont vivement recommandés. Évitez d’installer des sources chaudes au contact de sources froides. Dépoussiérez aussi les grilles à l’arrière du frigo et videz le congélateur des couches de glace formées. Très sollicité, cet appareil électroménager peut rapidement surchauffer et dépenser de l’énergie à perte.
Débrancher ses appareils électroniques en veille
Les petits appareils branchés en continu dans votre logement (chargeur, enceinte, blender, décodeur TV, etc.) consomment en toute discrétion. Cette consommation qui pourrait être évitée, est estimée à 180 kWh par an et par foyer. Des services tiers proposent un suivi de consommation pour analyser sa consommation. Des appli de fournisseurs, d’objets connectés ou par exemple Hello Watt le conseiller énergie des particuliers vous renseigne du prix de l’électricité au kWh et vous aide à maîtriser votre consommation.
Contrairement à ce que l’on peut croire, le mode veille est loin d’être économe. Il représente jusqu’à 10 % du montant de la facture d’électricité hors-chauffage.
On l’a dit, un ménage consacre une bonne partie de ses revenus aux dépenses d’énergie ; en moyenne 8,5 % des revenus annuels. Nos pistes d’économies d’énergie au quotidien ? L’isolation du bâtiment, la régulation du chauffage et de l’eau, les usages limités et modes économiques des appareils électroménagers et électroniques contribuent à réduire votre facture.
Nous nous sommes demandé comment montrer facilement l’impact du covoiturage dans nos vies. La réponse est simple : une démonstration selon des critères précis ! Nous avons donc développé notre propre calculatrice de bénéfices. Une expérience simple et rapide pour vous montrer comment le covoiturage via Karos peut changer votre quotidien.
3 questions pour vous simplifier la vie
Pour commencer, nous vous posons seulement 3 questions. Elles sont précises : votre rôle, l’adresse de votre domicile et l’adresse de votre travail. L’objectif est de se focaliser sur l’essentiel. Il nous suffit de ces 3 informations pour comprendre votre situation.
Une visualisation interactive des résultats
Notre algorithme calcule ensuite les bénéfices adaptés à votre situation. Une visualisation interactive vous permet de prendre connaissance des résultats. En faisant défiler des cartes, vous découvrez une vision complète des avantages du covoiturage domicile-travail. Chaque carte présente un bénéfice. Ils peuvent concerner :
- le gain de temps,
- les économies faites grâce à la contribution des passagers,
- les avantages liés à un territoire partenaire ou une entreprise cliente,
- la réduction d’émissions de CO2, etc.
A la fin de la consultation de vos résultats, vous pouvez télécharger notre application et commencer à planifier vos trajets.
Découvrez vos avantages en covoiturant avec Karos !
Vous vous demandez d’où vient notre nom, Karos ? Et aussi comment on le prononce ? L’explication est très simple, et prend racines aux prémices des enjeux de mobilité, au 17è siècle !
Des carrosses comme transport en commun
L’idée était très simple : « des carrosses qui feraient toujours les mêmes trajets d’un quartier à l’autre […] et partiraient toujours à heures réglées, quelque petit nombre de personnes qui s’y trouvassent, même à vide s’il ne se présentait personne, sans que ceux qui se serviraient de cette commodité fussent obligés de payer plus que leurs places. »
Cette idée est née des problèmes de circulation dans Paris. Les embouteillages ne sont pas de notre époque mais datent bien depuis que circulent des carrosses dans la ville.
Le système est institué en janvier 1662 par un arrêt du Conseil du Roi, Louis XIV, qui se réjouit de ce nouveau moyen donné au peuple de se mouvoir plus rapidement et plus confortablement pour un coût raisonnable. Le 18 mars 1662, une première ligne est ouverte permettant de rejoindre le jardin du Luxembourg depuis la porte Saint Antoine. Les véhicules s’arrêtent pour laisser monter ou descendre les usagers tout au long de son itinéraire, à la demande de ces derniers.
Un manque de soutien du Parlement de Paris
Mais le Parlement de Paris ne voit pas d’un œil si favorable cette invention. Il impose de nombreuses restrictions, ainsi qu’une hausse des tarifs. Contre l’avis du roi, il est prévu que les « soldats, pages, laquais et autres gens de livrée, même les manœuvres et gens de bras, ne pourront entrer lesdits carrosses, pour la plus grande commodité et liberté des bourgeois et des gens du mérite. » Résultat : les carrosses ne sont plus ouverts à tous mais seulement à une partie de la population…
Le marché devient trop restreint, les carrosses disparaissent définitivement en 1677. La mobilité confortable et rapide de Blaise Pascal pour un coût raisonnable n’avait pas fait long feu.
Aujourd'hui, les Karos sont de retour
Plus de trois siècles plus tard, où en sommes-nous ? Bien sûr, les transports en commun se sont largement développés dans les grandes agglomérations et l’utilisation de l’automobile, transport individuel par excellence, s’est généralisée tout au long du 20è siècle. Mais l’histoire est têtue ! Et le problème que cherchait à adresser Blaise Pascal perdure.
Si aujourd’hui une partie de la population ont les moyens de s’offrir une mobilité quotidienne personnalisée, avec une voiture personnelle, une autre partie de la population doit se tourner vers les transports en commun. Mais 65% des Français n’ont pourtant pas accès aux transports en commun, et donc sont obligés d’investir dans la voiture personnelle (près de 6000€ par an).
C’est pourquoi chez Karos, nous voulons permettre aux autosollistes de prendre des personnes dans leur voiture, en contrepartie d’un partage des frais. Notre objectif : rendre le confort de la voiture individuelle accessible à un plus grand nombre et diminuer les frais liés à la voiture.
Quatre siècles après, toutes les voitures sont des carrosses. Notre technologie d’intelligence artificielle rend le covoiturage domicile-travail simplissime. Chaque siège libre est exploité et partagé efficacement avec la communauté pour que chacun puisse rejoindre sa destination rapidement, confortablement, sans payer le prix fort.
Aujourd'hui, les carrosses de Blaise Pascal prennent leur revanche !
La question peut paraître bateau et sa réponse évidente. Pourtant, il n’a pas toujours été question de rouler à droite, même en France. En effet, rouler à gauche fût pendant longtemps la norme sur les routes du monde. Aujourd'hui encore, un tiers des pays dans le monde roulent à gauche de la chaussée.
Mais alors pourquoi avoir changé de côté ? Retraçons ensemble l’histoire du sens de la route !
Commençons par la gauche
Pendant l'Antiquité, la coutume de circuler à gauche peut être retracée jusqu'en Grèce, Égypte et Rome antique ! Les soldats et les cavaliers, principalement droitiers, marchaient à gauche, portant bouclier et fourreau à gauche, afin de pouvoir dégainer leur épée plus facilement.
Au Moyen Âge, une explication courante relate que les cavaliers, comme ceux de l'Antiquité, circulaient sur la gauche des chemins. En effet, ils tenaient les rênes de la main gauche afin de pouvoir plus facilement tirer leur épée avec leur main droite en cas d'attaque ou d'adresser plus aisément d'amicales salutations.
Autre théorie : ils circulaient à gauche pour éviter que les épées ne se touchent, signe de provocation amenant au duel. On ne tient pas vraiment compte des chevaliers gauchers…
Avec le Conestoga, on passe à droite
À la fin du XVIIIè siècle, apparaît sur le marché américain un nouveau type de chariot : le Conestoga. Tiré par 6 à 8 mules attelées par paire et muni de 4 grandes roues, il est robuste et maniable. Il devient donc vite un indispensable du transport fonctionnel (destiné à l'origine au transport du blé en Pennsylvanie).
Ce chariot se répand vite dans tous les pays voisins et des engins similaires apparaissent également en Europe. Caractéristique principale du Conestoga : il ne comporte pas de siège pour le cocher. Cet apparent détail va bouleverser les habitudes de la route. Afin de contrôler au mieux l'attelage, le cocher se place sur le cheval de gauche de la dernière paire (tenant le fouet de la main droite). Ces chariots se mettent alors naturellement à rouler à droite, afin que le cocher puisse surveiller, lors des croisements, le côté exposé aux frôlements possibles par un autre chariot et que le fouet se déploie du côté du champ, et non sur les personnes croisant le chariot.
C’est ainsi qu’en 1792, la Pennsylvanie officialise la conduite à droite : nous y voilà ! Les autres états américains lui emboîtent le pas. En Europe, ce chariot devient célèbre et la même pratique se développe.
À la fin du XVIIIè, la France roule donc à droite. On porte souvent à Napoléon 1er le crédit d'avoir imposé à l'Europe conquise l'obligation de conduire à droite, par opposition aux Britanniques. Napoléon aurait entraîné ses troupes à commencer l'attaque par le flanc droit pour les surprendre. Mais cette explication semble fantaisiste, car il n'y a aucune relation entre le sens de circulation sur les routes et les dispositions tactiques au combat.
Cette tendance de rouler à droite se poursuit avec les premières automobiles. Elles avaient le frein à main à l'extérieur, du côté droit afin qu'il soit serré par la main droite avec plus de force. Le poste de conduite se trouvait donc à droite. À cette époque, la manœuvre du croisement était délicate : sur des routes étroites, les véhicules devaient s'éloigner l'un de l'autre autant que possible. Pour réaliser au mieux cette opération, le conducteur devait se tenir du côté du bas-côté de la route afin d’éviter toutes sorties de route. Le poste de conduite étant à droite, les voitures roulaient donc sur le côté droit de la chaussée.
Plus tard, le frein à main s'est retrouvé au centre de l'habitacle. Certains fabricants d'automobiles ont déplacé le poste de conduite à gauche pour que le frein reste accessible par la main droite, d'autres (comme les Britanniques) n'ont rien changé.
Les anglais persistent à gauche
Le Royaume-Uni n'apprécia que peu le Conestoga. Pour des raisons géographiques, ni les besoins en matière de transports terrestres de marchandises, ni la configuration du réseau routier n'étaient adaptés à ce nouvel engin.
On lui préféra un modèle plus petit, muni d'une seule paire de chevaux et surtout d'un siège de postillon (équivalent du cochet). Afin de ne pas gêner le passager par son fouet, le conducteur se plaçait à droite (le fouet dans la main droite), et pouvait surveiller ainsi les manœuvres sur le côté exposé. Les Britanniques continuèrent donc naturellement à rouler à gauche de la chaussée.
Le "Dagen H"
Dimanche 3 septembre 1967 à 5 heures du matin : la Suède passait de la conduite à gauche à la conduite à droite. Ce fut le "Dagen H", le jour H, pour "Högertrafik", circulation à droite en suédois. Le gouvernement prit cinq années à organiser ce changement dont 85 % des Suédois ne voulaient pas. Pourtant, tous les pays riverains de la Suède (Finlande, Norvège et Danemark) roulaient déjà à droite et la quasi-totalité des voitures avait le volant à gauche.
La veille du jour H, tous les panneaux et feux de signalisation pour la conduite à droite étaient en place, emballés dans du plastique noir, prêts à être dévoilés à l'heure dite. À 4 h 50, tous les véhicules eurent l'obligation de se garer sur le côté droit avant d'être autorisés à repartir à 5 heures... à droite. Le lundi 4 septembre, on dénombrait 125 accidents, aucun mortel. Les lundis précédents, on en avait compté entre 130 et 198. L'Islande suivra l'exemple suédois le 26 mai 1968.
Découvrez Karos : notre application de covoiturage pour aller au travail et calculez les avantages que vous pouvez en tirer !
Se questionner sur sa mobilité devient de plus en plus répandu et ce pour diverses raisons : environnement, économie, bien-être, etc. Certains optent pour la marche à pieds, d’autres à la trottinette ou encore au vélo. Pourtant la voiture reste le moyen de transport privilégié des Français : ¾ des Français l’utilisent quotidiennement pour aller au travail. C’est pourquoi des alternatives se développent pour permettre à la pratique de la voiture de changer et de répondre aux nouvelles problématiques des Français.
Aujourd’hui, on entend parler de covoiturage domicile-travail et d’autopartage, mais quelle différence y a-t-il vraiment entre ces deux pratiques ?
L’autopartage ou le car sharing : ne pas posséder de voiture
L'autopartage consiste à utiliser un véhicule à plusieurs, par le biais de :
- stations de voitures que l'on peut réserver à l'avance
- de sites de partage de voiture entre particuliers
Généralement, l'opérateur prend en charge la facturation et l'assurance en contrepartie d'une commission.
L’autopartage permet de repenser sa consommation de la voiture. L’idée est de ne pas posséder sa propre voiture, mais d’en avoir une à disposition et de l’utiliser à plusieurs. D’après une étude de l’ADEME, chaque voiture en autopartage remplace 10 voitures particulières et libère 9 places de stationnement. A besoin de mobilité constant, l'autopartage permet de réduire de 30 % en moyenne le nombre de véhicules de fonction ou de service d'une flotte d'entreprise
Le covoiturage quotidien : optimiser ses trajets en voiture
Le covoiturage est le fait de partager sa propre voiture avec quelqu’un qui réalise le même trajet en totalité ou partie. Le partage de frais est une des principales raisons d’être du covoiturage. Le conducteur perçoit une contrepartie et le passager réalise aussi des économies par rapport à d’autres moyens de transports. La seconde raison peut être écologique. Partager sa voiture permet de lutter contre l’autosolisme, c’est-à-dire le fait d’être seul dans sa voiture. En moyenne, on compte 1.1 personnes par voiture. Grâce au covoiturage, le nombre de voitures en circulation réduit.
Seulement, il ne faut pas que le covoiturage soit considéré comme une contrainte : recherche de passagers ou conducteurs, heure de rendez-vous, calcul du partage des frais, etc. C’est pourquoi, chez Karos, nous proposons une application de covoiturage intelligente qui comprend les habitudes de nos utilisateurs. Ainsi, c’est notre algorithme qui combine les meilleurs trajets possibles : pas de besoin de se casser la tête à trouver soi-même des covoitureurs ! L’intelligence artificielle analyse les trajets prévus pour les optimiser et faire gagner du temps à tout le monde.
Passer son permis est pour beaucoup d’entre nous un combat dès les prémices jusqu’à son obtention : budget, inscription, code de la route, heures de conduite accumulées, examen final, etc. Il est parfois difficile de se lancer sachant que cela va nous coûter cher, nous prendre du temps et de l’énergie. Pourtant avoir son permis de conduire est aussi synonyme de liberté, pouvoir aller où l’on veut quand on veut, sans être dépendant des trains ou des copains volontaires.
Aujourd’hui, des solutions vous rendent ce projet plus facile à réaliser. Tour d’horizon de celles-ci !
Financer votre permis avec votre Compte Formation
Une option pour financer votre permis de conduire est de passer par votre Compte de Formation. Ce compte vous permet de cumuler des droits pour valider des formations tout au long de votre carrière professionnelle. L’apprentissage de la conduite fait partie des formations que vous pouvez financer avec votre compte. En effet, le permis B, donc pour conduire une voiture personnelle, est devenu un atout pour votre vie professionnelle. C’est pourquoi il remplit les critères des formations validées par le Compte de Formation.
Il faut cependant remplir quelques critères, à savoir :
- Avoir acquis suffisamment de droits formations sur leur compte CPF
- Expliquer en quoi le permis de conduire permet de sécuriser ou développer votre parcours professionnel
- Choisir une auto-école agréée organisme de formation
- Ne pas avoir fait l’objet d’une suspension de permis B, ni d’une interdiction de le repasser
La Navette : l’auto-école qui vous fait gagner du temps
Les délais pour obtenir son permis de conduire sont parfois très longs, depuis l’apprentissage pour le code de la route jusqu’à l’obtention finale du permis. C’est pourquoi de nouvelles auto écoles viennent bousculer les schémas classiques avec de nouveaux modèles d’apprentissages.
C’est le cas de La Navette par exemple. Leur objectif est que vous obteniez votre permis le plus rapidement possible. En effet, vous pouvez avoir votre permis de conduire en une semaine ! Cela est possible car elle propose donc des formations intensives et rapides, et elle a un grand nombre de places d’examen. La Navette est l’auto-école qui en a le plus sur Paris. Le passage de l’examen de conduite se fait la semaine qui suit celle de la formation.
Pour mettre toutes vos chances de votre côté, un suivi personnalisé permet de vous former selon vos capacités.
Ornikar, l'auto-école en ligne qui révolutionne le permis
De nombreuses auto-écoles en ligne sont apparues au cours des dernières années, proposant des formules simplifiées pour passer le code et le permis plus rapidement et à moindre coût.
C'est le cas d'Ornikar, qui permet à ses utilisateurs d’accéder à un cours de Code de la route complet composé de séries thématiques, tout en leur offrant la possibilité de réviser à n'importe quel moment de la journée et à l'endroit de leur choix. Le passage du permis de conduire quant à lui est facilité grâce à des enseignants de la conduite indépendants disponibles à des heures flexibles. De plus, l'auto-école en ligne Ornikar propose également le financement du permis de conduire via le CPF, de quoi ravir les jeunes actifs ayant encore peu de moyens.
Optimiser vos trajets avec le covoiturage quotidien
Une fois le permis obtenu, pensez à vos trajets quotidiens ! Le trajet domicile-travail est celui que vous allez le plus répéter, alors pourquoi ne pas réaliser des économies grâce à eux et au covoiturage via Karos ? Nos utilisateurs conducteurs économisent jusqu’à un plein d’essence par mois en moyenne. Découvrez le témoignage d’Alexandre qui nous explique les bénéfices d’être conducteur, juste ici !
Ces derniers jours, notre rythme de vie a été pour le moins chamboulé. Sorties très réduites, travail en pause ou en télétravail, école à la maison, etc. Vous aviez réussi à vous organiser pendant le confinement, mais aujourd’hui cela vous semble compliqué ?
On tente de vous donner quelques conseils pour trouver un nouveau rythme avec le déconfinement.
Chouchouter votre sommeil
Pendant le confinement, de nombreuses personnes ont témoigné d’un sommeil décalé et des difficultés à s’endormir. C’est pourquoi, retrouver un rythme de sommeil plus stable est nécessaire pour reprendre un rythme de vie normal, sans être fatigué.
Pour soigner vos nuits et la qualité de votre sommeil, vous pouvez :
- Ne pas dîner trop tard : on recommande un minimum de 3 heures de digestion avant de se mettre au lit
- Vous méfier des écrans : la lumière bleue produite par vos écrans stimule votre activité cérébrale et peut décaler votre heure d’endormissement
- Reprendre une routine : brossage de dents, douche tiède, tisane, lecture… ces différentes étapes répétées quotidiennement créent un conditionnement mental bénéfique. Cela permet d’indiquer à votre organisme qu’il est temps d’aller se coucher pour trouver le sommeil
Bien séparer les activités de la semaine et celles du week-end
Pendant le confinement, vie privée et vie pro ont dû cohabiter : avancer sur vos missions professionnelles, en étant dans votre salon, gérer l’école à la maison, les courses, les réunions, etc.
Aujourd’hui, pour retrouver votre rythme habituel, il faut redéfinir les limites. L’objectif est de vous sentir moins submergé. Pour cela, vous pouvez établir des listes de tâches et bien délimiter les temps de travail des temps de vie personnelle. La semaine est allouée à votre travail, et le week-end à vos loisirs. L’objectif est d’éviter toute surcharge mentale en devant gérer plusieurs choses en même temps.
Repenser ses trajets pour aller au travail
Maintenant que vous pouvez retourner à votre bureau, identifiez vos anciennes habitudes de travail. Vous allez pouvoir confirmer ou non leur efficacité selon ce que vous avez appris du confinement. De plus, retrouver un environnement familier vous aidera à retrouver vos marques rapidement.
C’est donc l’occasion de repenser votre manière de vous rendre au bureau : transports en commun, voiture, vélo, covoiturage, etc. Pour y voir plus clair en cette période particulière, nous avons réalisé une infographie présentant les avantages et les inconvénients de chacun. Vous pouvez la consulter ici.
Vous vous demandez quel moyen de transport privilégier pour vous rendre au travail avec la reprise progressive ? Chez Karos, nous avons conscience des questions que posent déjà vos trajets habituels, alors pendant cette période particulière, nous voulions vous accompagner plus encore. C’est pourquoi nous avons préparé cette infographie pour vous aider à y voir clair !
Vous pouvez cliquer dessus pour la voir en plus grand :
Si vous êtes en télétravail, rien de mieux que les podcasts ! Ce support audio à écouter partout quand nous le souhaitons est devenu un format de plus en plus apprécié. Les sujets sont variés pour répondre aux questions de tous. Chez Karos, on a nos sujets fétiches : mobilité, tech, écologie, qualité de vie au travail, etc. On vous présente nos préférés, à écouter chez vous ou en vous rendant au travail.
Pourquoi on aime les podcasts ?
Commençons par le début. Le podcast audio s’écoute sur internet. Il peut se rapprocher de l’émission de radio, mais n’est pas lié à la date et l’heure de diffusion.
Aujourd’hui les grandes radios postent sur leurs sites leurs émissions pour permettre à leurs auditeurs de les écouter quand ils le souhaitent. Des sociétés de productions se sont développées, comme Binge Audio ou Louie Média, qui proposent leurs propres podcasts et émissions, selon leur ligne éditoriale.
L’avantage du podcast c’est évidemment de l’écouter quand cela nous convient et dans les conditions que l’on choisit. A la maison, en travaillant, lors de vos trajets : à vous de trouver votre moment podcast. Les thématiques, le format, la durée : il y en a pour tous les goûts !
La mobilité : comment la conjuguer au présent et au futur ?
C’est bien évidemment notre sujet de prédilection et auquel on réfléchit tous les jours. Pour rester à l’affût, on écoute plusieurs podcasts qui questionnent et présentent des solutions pour la mobilité d’aujourd’hui et de demain. Voici nos préférés :
Mobtr, Ré-inventons les mobilités
Mobtr questionne la mobilité d’aujourd’hui et de demain au travers de rencontres et d’interviews. On y découvre des idées et des innovations pour s'approprier la mobilité.
On aime : Les sujets sont variés, cela permet de voir la mobilité sous différents angles : il y en a forcément un pour vous ! Du vélo au pétrol, en passant la data, ce podcast vous aidera à mieux définir votre mobilité.
Fréquence de parution : Hebdomadaire
Durée d’un épisode : 30 minutes
Lost in Transportation
Le bureau d'études 6t, spécialisé dans les mobilités durables, et Nicolas Louvet vous emmènent à la découverte des usages de la mobilité. Se déplacer, c’est réaliser des activités, parcourir des quartiers, rencontrer des gens, etc. Ici on tente de comprendre pourquoi et comment se déplace-t-on ? Comment les pratiques de mobilité changent-elles avec la ville, et la ville avec les nouvelles mobilités ?
On aime : avec les questionnements émis et les réponses apportés, on réfléchit véritablement à notre mobilité.
Fréquence de parution : Mensuel
Durée d’un épisode : 15 minutes
"J’ai un Plan" de mobilité
Ce podcast, réalisé par Laure Wagner, part à la rencontre de responsables RH ou RSE qui prennent leur Plan de mobilité au sérieux pour une transition rapide vers la mobilité durable. Les sujets varient pour trouver des moyens d’y parvenir : favoriser les changements de mode, réduire la fréquence des trajets, réduire les distances, etc.
On aime : la mise en relation de la mobilité et du monde du travail. La relation entre les deux est enfin bien évidente. Ce podcast permet de questionner nos trajets domicile-travail.
Fréquence de parution : Mensuel
Durée d’un épisode : 20 minutes
Autour de l’environnement : des alternatives et des rencontres
Les consciences se réveillent sur notre impact sur l’environnement. On comprend de plus en plus comment notre façon de vivre peut dégrader notre planète ou au contraire lui faire du bien. Chez Karos, c’est une thématique clé. Depuis le début, un de nos objectif est de proposer une solution plus éco-responsable pour les trajets domicile-travail. On essaie aussi de vous partager des astuces et des idées pour, petit à petit, rendre notre empreinte environnementale la moins lourde possible !
L’univers des podcasts s’est très bien investi dans cette thématique, voici notre sélection et pourquoi on les écoute :
Basilic
Basilic est un podcast consacré à l’environnement et aux initiatives positives. Chaque semaine, Jeane Clesse, juriste en droit de l’environnement de formation, reçoit un invité qui œuvre pour la protection de l’environnement. Les sujets abordés sont variés : numérique, zéro déchet, pollution, énergie renouvelable…
On aime : la bienveillance et l’optimisme de ce podcast. On y découvre des initiatives positives, qui nous aide à garder espoir. La diversité des thèmes est aussi très appréciables pour découvrir de nouveaux domaines : joaillerie, média, énergie, etc.
Fréquence de parution : Hebdomadaire
Durée d’un épisode : entre 30 et 50 minutes
De cause à effets, le magazine de l'environnement
Produit par France Culture et Aurélie Luneau, De cause à effets est une émission entièrement consacrée à l'environnement. Le titre est évocateur, on y découvre la relation de diverses choses avec l’environnement.
On aime : la diversité des sujets et leur traitement approfondi. Ici, les invités vont au bout des réflexions pour que l’on puisse vraiment comprendre le sujet dans sa globalité.
Aussi, en milieu d’émission, il y a le choix musical d’un des invités, un doux rappel que l’on est à la radio et l’occasion de faire des découvertes musicales.
Fréquence de parution : Hebdomadaire et en direct le dimanche de 16H à 17H
Durée d’un épisode : 1 heure
Les mouvements zéro
Lancée en 2015, le but des Mouvements Zéro est de sensibiliser à la transition écologique et aux gestes éco-responsables. On suit Justine Davasse, la fondatrice, qui part à la rencontre des acteurs de la transition écologique. On y parle de consommation alternative, d’alimentation durable ou de zéro déchet.
On aime : la découverte des initiatives permet vraiment de se mettre à son rythme à sa transition écologique. On y apprend, on réfléchit et on s’inspire. C’est dans cette optique que le plus grand nombre pourra s'approprier ce sujet et participer de bon coeur à la question environnementale. Et pour aller plus loin, des ateliers et des conférences sont aussi organisés par la fondatrice, Justien Davasse.
Fréquence de parution : Hebdomadaire
Durée d’un épisode : de 30 à 50 minutes
Côté tech : penser l’avenir et développer sa veille
On n’aurait pas créé un application si le monde de la tech ne nous passionnait pas un minimum, cela fait aussi parti de l’ADN de Karos. Nous tâchons de rester en veille dans ce domaine, en constante évolution. Un régal d’informations et de découverte !
Nouveau Monde
Jérôme Colombain s'intéresse aux innovations, aux produits high-tech, aux nouvelles technologies. Produit par franceinfo, les thématiques sont très ancrées dans l’actualité. Ainsi, on nous éclaire sur le lien entre les nouvelles technologies et notre quotidien. Et oui ! C’est déjà aujourd’hui que le numérique impacte nos vies.
On aime : l’ancrage dans l’actualité qui rend les problématiques très concrètes pour chacun. On y apprend et on se questionne aussi sur l’avenir, avec un format court mais complet.
Fréquence de parution : Quotidien
Durée d’un épisode : 5 minutes
Les Technos
Ce podcast propose deux formats : les épisodes hebdomadaires où deux chroniqueurs partagent leur veille technologique sous la forme d’une revue de presse. Et les hors série qui développent différentes thématiques telle que les véhicules électriques, les logiciels libres, la domotique,…
On aime : la variété des thématiques et des formats. Ce podcast complet permet de maintenir une vraie veille sur différents sujets.
Fréquence de parution : Hebdomadaire
Durée d’un épisode : 1 heure
Silicon Carne
Ce podcast décrit dans la bonne humeur les dernières actualités de la Silicon Valley et donc toutes les thématiques qui gravitent autour. Un format qui nous permet de nous tenir informer de l’évolution de ce milieu qui peut paraît très opaque.
On aime : le lien fait avec l’actualité et le ton de ce podcast. Le format long permet de vraiment comprendre le thème abordé.
Fréquence de parution : Hebdomadaire
Durée d’un épisode : 1 heure
La vie au bureau : être bien pour être performant
On vous parle souvent de qualité de vie au travail, de RSE et de bien-être. Le travail occupe une part importante dans nos quotidiens. S’y rendre à a réel impact sur la suite de notre journée. C’est aussi pour cela que notre application existe, pour faciliter vos trajets et vous permettre de connaître vos collègues.
Le sujet étant riche, voici les podcasts que l’on écoute régulièrement :
Le bureau
Indispensable est ce podcast produit par Welcome to the jungle, média spécialisé dans le monde du travail. Chaque épisode est présenté sous la forme d’une discussion intimiste. On écoute une personne qui témoigne d’une problématique liée au monde du travail : la recherche d’emploi, la peur de son boss, la gestion de l’open space, etc. Des questions souvent dures et sans réponses, jusqu’à maintenant. Sans langue de bois, Welcome to the jungle veut vous aider à gérer des situations délicates.
On aime : la proximité avec l’invité.e et la vérité des mots nous fait du bien. Ce podcast nous permet aussi de nous questionner sur nous-même et nous amène à mieux gérer la vie de bureau. Une boîte à outils très utile !
Fréquence de parution : Bimensuel
Durée d’un épisode : 30 minutes
Le Gratin
Ce podcast, créé par Pauline Laigneau, vous présente des success story qui donnent envie ! Aucune pression à l’écouter, juste des interviews où chaque personne présente son histoire. Ils présentent aussi des conseils que l’on peut décider de s’appliquer à soi-même.
On aime : ce podcast est un petit coup de boost ! Il motive et rappelle que l’on peut tous réussir, on nous propose des clefs pour y parvenir. Comme le dit sa créatrice : “Ce podcast est ma manière de vous aider à devenir la meilleure version de vous-même”.
Fréquence de parution : Hebdomadaire
Durée d’un épisode : 40 minutes à 1 heure
Mon idée QVT
Produit par My Happy Job, ce podcast nous donne mille idées pour se sentir bien au travail. La Qualité de Vie au Travail est un sujet de plus en plus mit en lumière. Ce podcast apporte donc des idées, des astuces et des solutions pour parvenir à se sentir bien à et dans son travail. Les sujets abordés sont riches : aménagement des espaces, cohésion d'équipe, développement des compétences, prévention santé, relations humaines, reconnaissance, quête de sens, etc.
On aime : le format court permet de vraiment consommer rapidement ce podcast. Malgré le peu de temps, on en ressort à une solution concrète à adopter ! Ce podcast est efficace et se complète avec toutes une série de podcast : Bien dans mon job, ça fait débat et ça me travail, tous produits par My Happy Job.
Fréquence de parution : Hebdomadaire
Durée d’un épisode : 5 minutes
Bonus : les foodcasts qui nous régalent
Et enfin, parce que chez Karos on adore aussi la bonne bouffe et partager nos dernières recettes, voici nos 3 foodcasts préférés !
Bouffons
“Bouffons” décortique un sujet culinaire par épisode en compagnie de deux invités passionnés par le thème, professionnels du milieu ou pas. C’est un podcast dédié à la “bouffe” produit par Nouvelles Écoutes qui explore une multitude de sujets dans une ambiance positive et conviviale.
On aime : l’ambiance justement où chacun échange et peut exposer son point de vue. On apprend, on se questionne, on découvre !
Fréquence de parution : Hebdomadaire
Durée d’un épisode : 20 minutes
À Poêle
C’est le podcast qui met à nu les chef.fe.s de cuisine. Il nous permet de découvrir des grands noms de la restauration, mais aussi des food-entrepreneur.se.s qui marquent notre époque. Des portraits à la fois d’hommes et de femmes qui vont vibrer nos papilles.
On aime : le format portrait et découvrir ce qui anime ces figures du monde de la food. Les discussions sont douces et permet de libérer la parole.
Fréquence de parution : Hebdomadaire
Durée d’un épisode : 45 minutes
Produit par Binge Audio et débutée en 2018, l’émission Casseroles, avec Zazie Tavitian aux manettes, nous fait découvrir des recettes de ses proches, nous invitant dans leur cuisine. On y comprend alors le lien entre les recettes et les souvenirs : comment la cuisine raconte des histoires personnelles. Dans la seconde saison, Casseroles ouvre des problématiques plus vastes, avec toujours au cœur de ses préoccupations la question de l’identité culinaire.
On aime : l’ambiance avec les bruits de cuisine, les petites histoires racontées autour de la recette présentée. Et aussi cette thématique de la cuisine et de l’histoire personnelle, qui a amené Zazie Tavitian à produire un podcast plus intime sur son arrière-arrière-grand-mère déportée, ayant légué un livre de recettes : ce podcast c’est A la recherche Jeanne.
Fréquence de parution : Hebdomadaire
Durée d’un épisode : 45 minutes
Si une semaine lui est dédiée depuis 2001, c’est bien parce que la courtoisie a tendance à disparaître au volant. Injures, impatience, gestes déplacés, coups de klaxons,... Autant de signes qui prouvent notre manque de politesse sur la route.
Les incivilités au volant augmentent en France malgré les efforts de la Sécurité routière et de l’Association française de Prévention des Comportements au volant (AFPC). D’après une étude Ipsos pour Vinci en février 2018, près de 70% des conducteurs reconnaissent qu’il leur arrive d’injurier les autres automobilistes. C’est pourquoi depuis 2016, la courtoisie au volant fait partie des enseignements obligatoires dispensés aux jeunes conducteurs et est évaluée lors de l’examen du permis de conduire.
Bien sûr, la courtoisie concerne aussi les piétons et tous les individus se déplaçant (trottinettes, vélos, motos...). L’enjeu est de réussir à cohabiter ensemble pour limiter les accidents.
Pour y parvenir, voici les 5 gestes recommandés par la Sécurité Routière pour adopter la courtoisie au volant !
La courtoisie en gardant toujours vos distances de sécurité
Les distances de sécurité sont là pour vous laisser le temps d’agir en cas de freinage brutal ou pour anticiper les gestes du véhicule devant vous. Si celui-ci est trop lent pour vous, ne vous collez pas à lui ! Cela ne fera que renforcer votre frustration. Prenez plutôt de la distance pour pouvoir optimiser votre visibilité de la route et pourquoi pas doubler ce véhicule. Un moyen aussi de garder la circulation fluide.
La courtoisie grâce au développement de votre empathie
Une voiture bloque la route depuis 5 minutes, car elle reprend pour la 6ème fois son créneau ? La personne au volant est sûrement stressée et commence à paniquer en voyant la file de voitures s’accumuler. Klaxonner ne l'encouragera pas, au contraire… Vous avez peut-être vous-même déjà connu cette situation. Personne n’est irréprochable ! Se mettre à la place de l’autre vous aidera à ne pas réagir agressivement. Parfois, un simple sourire peut aider la personne à réussir sa manœuvre.
Si vous voyez que la personne n’y arrive vraiment pas, faites lui un signe (aimable) pour lui faire comprendre qu’un embouteillage est en train de bloquer tout le monde, qu’elle peut se mettre de côté pour laisser passer les véhicules.
La courtoisie en respectant le code de la route, même dans les situations délicates
Nous sommes parfois confrontés à des situations délicates sur la route : embouteillages, accidents, travaux,... Mais ce n’est pas pour autant qu’il faut en oublier son code de la route. C’est souvent dans ces situations qu’un respect des règles établies permet de garder la circulation la plus sécurisante pour tout le monde.
Exemple lors d’un embouteillage sur l’autoroute : n’empruntez pas la voie d’urgence pour remonter la file. Vous pourrez en effet bloquer une personne en réel besoin de la voie et donc vous vous mettriez vous-même et les autres personnes en danger.
La courtoisie en remerciant les autres individus sur votre route
Si simple et si souvent oublié ! Un petit signe de main permet de remercier l’automobiliste ou le piéton et donc d’être poli. C’est la base de la courtoisie au volant.
Si l’on vous cède la priorité, un remerciement confirmera à l’autre automobiliste qu’il a bien fait d’être poli avec vous.
En tant que piéton, lorsqu’un véhicule s’arrête pour vous laisser passer, un geste de remerciement de la main et un sourire en prime ne seront jamais de trop.
La courtoisie en prenant le temps de respirer
On souffle et on garde son calme. Si la courtoisie disparaît une fois au volant, c’est parce que l’on perd notre calme et l’on se laisse submerger par l’agacement. Alors, prenez le temps de souffler 2 secondes avant de vous emporter. Et souvenez vous que le plus important est d’arriver à bon port !
La courtoisie partout, tout le temps (un conseil supplémentaire pour la route)
La courtoisie au volant devrait devenir un état d’esprit à adopter tout au long de l’année, et pas seulement lors de la semaine dédiée en mars. Et pourquoi pas, être courtois et bienveillant aussi dans la vie de tous les jours. Comment ? Le covoiturage c’est déjà de la courtoisie et c’est facile avec Karos !
Aujourd’hui, le contexte environnemental est propice au développement de nouvelles manières de se déplacer, plus respectueuses de l’environnement. La mobilité verte, ou mobilité du futur, c’est une mobilité responsable, soucieuse de son impact environnemental. La mobilité verte se pense aussi au-delà des moyens de transports (métro, bus, covoiturage,...). Elle touche notre consommation d’énergie, qu’elle soit fossile ou renouvelable.
Cette mobilité plus éco-responsable peut, par ailleurs, nécessiter un investissement pour ceux qui souhaitent changer d’énergie ou de moyen de transport. Pourtant, certains fournisseurs d’énergie tentent de donner le change avec des offres adaptées à vos besoins. Et les comparateurs se multiplient pour vous accompagner dans votre démarche.
Alors, comment se mettre au vert tout en évitant le rouge ?
Se tourner vers l’énergie verte
L’énergie verte provient de sources d’énergies renouvelables comme l’hydroélectricité, l’éolien ou le solaire. Avec ce type d’énergie, vous réduisez votre impact sur l’environnement, car elles ne génèrent pas, voir très peu, de CO2 dans l’air et n’utilisent aucun carburant pour fonctionner. Il faudra néanmoins prêter attention à la provenance de cette énergie. Certains fournisseurs sont transparents sur l'origine de l’énergie et mettent l’accent sur le local. En effet, si votre énergie est produite près de chez vous, cela aura un double impact positif :
- un faible coût de livraison et de transport
- une empreinte carbone moins lourde
De plus en plus de fournisseurs d’énergie verte se développent comme Direct Energie, Planète Oui, EkWateur, Mint Energie ou encore Eni.
Cependant, il reste parfois difficile d’y voir clair...
Comparer pour mieux régner
Les fournisseurs d’énergie l’ont bien compris ! Aujourd’hui, comparer les offres est devenu un réflexe pour tout consommateur. Ainsi, ils développent de plus en plus d’offres pour tenter de répondre à vos besoins et correspondre à votre budget. Par exemple, Ohm Energie propose une offre "soir et week-end" afin de suivre au mieux votre consommation d’énergie selon votre présence chez vous.
Plusieurs comparateurs se développent pour vous accompagner dans votre réflexion énergétique. Hello Watt se présente comme votre conseiller énergie pour vous présenter les offres qui pourraient vous correspondre. L’objectif est de vous simplifier la vie : ne pas passer des heures à essayer de comprendre vos factures, à suivre le cours du kilowatt ou à éplucher tous les devis des fournisseurs d’énergie.
Comparer les offres permet de choisir celle qui sera la plus adaptée à votre consommation et donc, idéalement, réaliser des économies. En revoyant votre consommation d’énergie, vous pouvez réaliser jusqu’à 200€ d’économies sur vos factures de gaz et d’électricité.
Revoir sa manière de se déplacer au quotidien
La mobilité est aussi un enjeu clef pour l’environnement. C’est le premier secteur émetteur de gaz à effet de serre. Et au quotidien, la voiture représente le moyen de transport le plus utilisé pour se rendre au travail, mais l’on compte en moyenne 1.6 personnes par voiture. L’autosolisme, le fait d’être seul dans sa voiture, est une source d'embouteillages et contribue à la pollution de l’air.
Certains automobilistes réfléchissent donc à adapter leur façon de se déplacer pour limiter leur impact environnemental. Plusieurs options sont possibles comme changer de voiture pour une voiture électrique. Des aides de l’Etat peuvent compléter cet investissement. Comme vu précédent, le choix du fournisseur pourra aussi avoir un impact sur votre budget pour recharger votre voiture.
Si vous ne pouvez pas changer de voiture, d’autres options existent. Chez Karos, nous vous proposons de partager vos trajets domicile-travail. L’objectif est double :
- réduire l’autosolisme
- partager vos frais pour réaliser des économies facilement
Chez Karos, nous arrivons à faire passer la moyenne à 2.3 personnes/voiture. L’impact positif sur l’environnement est aussi là : nos utilisateurs ont déjà évité plus de 150 tonnes d’émissions de CO2.